LYON CONFLUENCE - PHASE 1 & 2

Conférence de presse du 23 juin 2009 sur la phase 2 du Confluent:

http://www.lyon-confluence.fr/data/presse/090623_DP_Choix_des_urbanistes-paysagistes_phase_2.pdf

Tate Modern et le stade national de Beijing, ces mecs ne sont pas n'importe qui!

« Confluence 2 » : les premiers plans rendus en novembre


Le cabinet d'architecte suisse, Herzog & de Meuron, a été retenu pour aménager la deuxième phase de Confluence. Pour l'instant, plus de questions que de réponses. Ils rendront plans et maquettes en novembre

A quoi ressemblera le plan d'aménagement de la deuxième phase de Lyon Confluence, côté Rhône ? Pour le savoir, il va falloir encore patienter plusieurs mois. Car même si l'équipe lauréate, Herzog & de Meuron, associée à Michel Desvignes, présentait son projet hier à Paris, dans les locaux de la représentation parisienne du Grand Lyon, on n'en sait pas davantage.

Choisis le 11 juin à l'issue d'une consultation internationale, les architectes suisses ne sont, pour l'instant, qu'au début de leurs travaux. Ils ne sont donc pas arrivés devant la presse avec des réponses, mais avec des questions. Celles qui vont conditionner une réflexion qui façonnera leur projet, qu'ils rendront, théoriquement, en novembre. La zone d'aménagement concerté devrait être créée début 2010, et les premières grues ne devraient pas apparaître avant 2012.

À défaut de projet ficelé pour les 24 hectares de la deuxième phase de Confluence, Pierre de Meuron a détaillé la méthode de travail de son cabinet, et surtout la vision qu'il a de Lyon. Cela a donné lieu à certains lieux communs : « Nous voyons Lyon comme un entonnoir. La spécificité de la ville est d'avoir deux fleuves : c'est un Y marquant ». Mais aussi à des débuts de solutions : pour lui, une ville « est le produit de ses conflits et de ses contradictions ». L'A7 et le TGV sont des conflits très forts qui détermineront la typologie du projet. Il s'agira notamment d'offrir, le long du quai de Perrache, une protection contre le bruit autoroutier mais aussi de créer des logements et des espaces de travail de grande qualité. Cerise sur le gâteau : les îlots construits devront aussi permettre, selon Pierre de Meuron, une perméabilité vers les rives du Rhône, dans la perspective d'un réaménagement des bords du fleuve à (très) long terme.

Sur les 24 hectares de la deuxième phase de Confluence, 17 sont sur le territoire de l'ancien marché gare. Pierre de Meuron a avoué qu'il ne privilégierait pas « la solution table rase » : « Nous allons garder certains éléments de qualité », a-t-il dit, sans toutefois dire lesquels.

Il a aussi lâché qu'il verrait bien la pointe de la confluence vierge d'une « structure de ville normale ». Et le musée des Confluences du conseil général alors ? « Il n'est pas faux de penser que le musée pourrait être là », a suggéré l'architecte, assurant être « le plus ouvert possible ». Un musée des Confluences qui, Gérard Collomb l'a rappelé hier avec une pointe d'ironie, est « comme l'horizon, projeté depuis longtemps ».

A Paris, Nathalie Mauret

Les architectes du Nid d'oiseau, le stade olympique de Pékin

Le cabinet Herzog & de Meuron figurait dans la short list de quatre équipes, avec Bruno Fortier, Treuttel-Garcia-Treuttel (TGT), et MVRDV/territoires (Winy Maas).

Pierre de Meuron et Jacques Herzog ont 59 ans et sont installés à Bâle, en Suisse. Des filiales sont implantées à Londres, Hambourg, New-York, Barcelone et Pékin.

Sur leur CV, figurent notamment la Maison bleue à Oberwil en Suisse et l'entrepôt Ricola, à Laufen, qui a marqué la percée internationale de l'agence. Ils sont surtout reconnus pour avoir converti la centrale électrique implantée au bord de la Tamise pour y accueillir la Tate modern en 2000 et pour le Nid d'Oiseau, le stade olympique de Pékin. Ils travaillent actuellement sur le Miami art museum.

N. M.

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/lyon/article/1729870,185/Confluence-2-les-premiers-plans-rendus-en-novembre.html

Ce jour, je me suis rendu aux visites guidés des chantiers de la Confluence... (initié par la société qui gère le site avec des guides de Robin des Villes). La visite se limitait aux ilots immobiliers et visite d'un appartement témoin de LYON ISLAND, avec un petit tour sur la passerelle de la place nautique...
En début de visite, je m'apprêtais à prendre quelques clichés ET OH GRAND MALHEUR, quelle ne fut pas ma déception lorsque je me rendis compte que je n'avais pas placé ma batterie dans mon appareil photo... Grrrr !

Si quelqu'un d'entre vous à participer à ces visites... n'hésitez pas à placer ici vos clichés !

Bref, cette visite était intéressante... Par contre on parle encore beaucoup trop de mixité sociale dans ce cœur immobilier... alors que pour moi, issue d'une classe moyenne, il m'est impossible (avec ma compagne) d'avoir un appartement sérieux (je parle par exemple d'un T3 supérieure à 60 m2) à des prix raisonnables... ! Les gens sont devenus !

je viens de m'inscrire sur le forum suite a ma visite du chantier de l'hotel de région hier.
J'ai été très surpris de voir que le bâtiment que j'ai visité ne correspond pas exactement a celui du projet initial. Je ne sait pas comment mettre une image dans le message donc j'essaie de faire ce que je peut avec mon clavier:
vu de dessus, le projet ressemble a un rectangle dont ont aurait pris un des grand coté pour le rapprocher du centre: ca c'est une vue de dessus avec le sud en bas, le nord en haut.
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Le bâtiment en construction n'a pas 2 barres nord-sud mais 3, voila a quoi il ressemble

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ca sort d'où ce changement de projet?

j'ai voté

C'est drôle, mais comme ça en chantier ça ressemble aux affreux bâtiments de béton construits dans les années 60 à 80.

Petit clin d'oeil depuis la rive droite de la Saône ( quai Jean Jacques Rousseau ).


























Le Golden gate bridge......

Merci Gégé !! alors ça y'est, la Sucrière est en ravalement ? Je trouve que le bâtiment orange qui prend forme, pourrait bien devenir un des symboles de la ville... J'imagine déjà la photo de ce bâtiment au premier plan avec Fourvière au second !!

Enclavé entre Rhône et Saône, le parking des Archives mettra bientôt à disposition des automobilistes quelque 640 places

Désormais, maçons, électriciens ascensoristes s'activent à apporter la touche finale au monstre de béton.

Enclavé entre le Rhône et la Saône, le parking des Archives a connu de légers problèmes d'eau qui ont été résolus au niveau -8 par un radier drainant. « Sous ce radier ont été installées des pompes permettant de remonter l'eau au niveau 0 afin de la renvoyer dans le terrain naturel par le biais de puits de rejet », explique Bruno Branly, chef de chantier de l'entreprise Chagnaud Construction. Encore présents sur le chantier, quatorze maçons terminent le gros œuvre, crépissent les défauts de parois, achèvent les butes roues des rampes d'accès aux étages. « À ce jour, il reste encore quelques m3 de béton à couler au niveau 0 et surtout à terminer la rampe de sortie. Celle-ci ne sera achevée qu'en août », précise le chef de chantier. Les ascenseurs d'accès aux étages sont déjà posés. Maintenant, ce sont une quinzaine d'électriciens qui continueront de tirer les derniers câbles des soixante kilomètres nécessaires. Huit cents luminaires éclaireront le monstre de béton. Un chantier qui constituera une bonne expérience dans le domaine du génie civil pour Justine, en alternance ici, pour préparer un BTS de travaux publics. Un parking qui, en supportant la place des Archives, donnera une autre physionomie au sud de la gare.
Un chantier débuté en avril 2007

Après quelques déboires, les travaux du parking n'ont réellement commencés qu'en avril 2007. Un ouvrage d'envergure, qui a obligé son constructeur à s'adapter. Des aléas géotechniques liés au sous-sol et non pris en charge avant la construction ont généré quatre mois de retard. Trente-cinq drains de décharge ont du être réalisés pour permettre la poursuite du gros œuvre et du terrassement jusqu'au niveau - 8, à 25 mètres de profondeur. Piloté par Q-Park, ce parking « haut de gamme » offrira 640 places.

Le Progrès

Les abords de la Sucrière s'aménagent pour la Biennale d'art contemporain

Le rendez-vous très attendu débute le 16 septembre, et se déroulera en partie dans le quartier du Confluent. Pour faciliter sa tenue et améliorer les accès, les travaux s'accélèrent aux abords du site

Sous les grues qui construisent le quartier Confluence, le quai Rambaud prend forme. Autour de l'immense entrepôt de la Sucrière, les ouvriers s'activent pour les derniers revêtements de sols. Le mobilier des futures rues avoisinantes, lampadaires, bancs et poubelles, se dresse.

« Tout devrait être terminé pour la Biennale. Nous sommes dans les délais.

Les abords de la Sucrière seront très proches d'une configuration classique d'espace public. Il s'agira là d'une préfiguration de ce que sera le futur quai Rambaud », affirme Maxime Valentin, chef de projet de Lyon Confluence. La Sucrière va en effet accueillir à partir du 16 septembre une partie de la dixième Biennale d'art contemporain de Lyon et les travaux du quartier ne devraient pas entraver la tenue de l'événement.

« Une promenade en bord de Saône a d'ores et déjà été finalisée. Une autre promenade devrait également aboutir », explique Maxime Valentin. Les « placettes » aux alentours du lieu seront-elles aussi terminées à temps pour la Biennale, à l'instar de celle située près du restaurant du chef étoilé Nicolas Le Bec, La rue Le Bec, qui sera « mise en eau et végétalisée ». La date du 14 septembre est avancée pour la fin de ces travaux.

Même si les aménagements dans le secteur de la Sucrière ont été réalisés, les chantiers à traverser pour parvenir à la Sucrière restent encore nombreux.

Certains projets immobiliers comme le bâtiment des Salins, en construction sur la partie Sud du quai Rambaud, en sont encore à leurs balbutiements. Cela ne semble pas rebuter les organisateurs, pour qui la Biennale peut cohabiter avec les ouvrages à ciel ouvert du nouveau quartier. « Malgré les travaux dus au site Confluence, l'accès à la Sucrière sera indiqué et facilité, tout autant pour les piétons que pour les voitures », informe-t-on du côté de l'organisation de la manifestation.

À travers la ville, une signalétique devrait être mise en place par la municipalité. Dans le cas de la Sucrière, « le piéton pourra dès sa sortie du tramway T1, à l'arrêt Montrochet, suivre les panneaux jusqu'à l'entrée du site ». Concernant l'accès routier, plus problématique à première vue, il devrait néanmoins se faire « sans difficultés jusqu'au parking de la Sucrière situé au niveau de l'établissement baptisé Chez Francis ». « Les enclaves de chantiers n'empêcheront pas la circulation piétonne et automobile », assure également Maxime Valentin. À défaut d'être une œuvre d'art, la première ébauche du quai Rambaud devrait être suffisamment contemporaine pour participer à la Biennale.

Adrien Paredes
Le Progrès

Quelques clichés de ce jour 21 Septembre :



















































La Futur galerie marchande du pôle de Loisirs et de Commerces

merci beaucoup, ca avance bien

Je remarque ques les rails du faisceau du Port ont étés conservés !

Vivement la remise en état des 2 grues portiques

Milles merci ! j'ai savouré tes photos. Quelle chance avez vous de vivre à Lyon !

Confluence : 5 000 habitants et salariés de plus, d'ici à un an

le 24.09.2009 04h00



Ils arrivent par vagues. 60 familles prendront possession de leur logement d'ici à un mois, très attendues par la mairie, l'aménageur, les associations et la paroisse. Le siège d'Eiffage, lui, s'est rempli

Entre septembre 2009 et juillet 2010, le Confluent accueillera 1 500 habitants et 3 500 salariés supplémentaires.

Ce sont tout d'abord 62 foyers qui s'installeront d'ici à octobre, puis 150 autres arriveront en décembre, autant en janvier, puis au printemps et enfin à l'été. Ce mois-ci, 350 employés de chez Eiffage viennent « remplir » le bel immeuble Hélianthe, à la pointe en matière d'économie d'énergie. Un groupe de pionniers s'était déjà installé en juillet.

Organiser l'accueil des nouveaux habitants fait partie des préoccupations de l'aménageur la SEM Lyon Confluence, de la mairie, des associations… et même des promoteurs qui, se voulant ici exemplaires, ont annoncé qu'ils accompagneront l'installation des « Confluenciers ».

Une quasi-concurrence est d'ailleurs à l'œuvre pour capter ce nouveau flux. Les distributeurs du journal paroissial ont, eux aussi, reçu des consignes pour distribuer la bonne parole avec parcimonie et conserver des exemplaires pour les nouveaux venus dans une Confluence terre promise…

Un document destiné à faciliter l'accueil est également prévu par la SEM Lyon Confluence et des soirées seront organisées à chaque poussée démographique. Accueillir plus de monde pose, de façon cruciale, la question des déplacements et du stationnement. Le tramway, la navette, les Vélov', une navette fluviale (à l'étude) sont ou seront des moyens alternatifs au tout voiture, sachant que le cours Charlemagne sature déjà avec l'arrivée de salariés, le démarrage de la Biennale et l'ouverture de restaurants.

Lors d'une réunion organisée en juillet par l'aménageur, une représentante de la Région dont les salariés arriveront au nombre de mille au printemps 2010 , a fait part des inquiétudes qui existent déjà quant à la façon de rallier le futur lieu de travail, lors du départ de Charbonnières. Pour ceux qui vivent dans l'Ouest lyonnais, pas moins de trois ruptures de charge (train + navette + tramway) seront nécessaires pour gagner le Sud de la presqu'île. Au siège d'Eiffage, on s'interroge aussi. « Les gens parlent surtout du stationnement puisqu'il n'y a pas une place pour tout le monde. Sinon avec le tramway, il n'y a pas de problème », signalait hier une standardiste.

En ce jeudi annoncé noir, le quartier tout nouvellement « grouillant » va connaître sa première grève des transports en commun. Verdict ce soir.

Dominique Menvielle

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/lyon/article/2009128,185/Confluence-5-000-habitants-et-salaries-de-plus-d-ici-a-un-an.html

Voilà une petite video présentant la Rue Le Bec au Confluent :

http://videos.tf1.fr/jt-we/on-n-est-jamais-mieux-servi-que-par-soi-meme-4761632.html

Ils essuient les plâtres de la Confluence
Créé le 12.10.09 à 07h05

Depuis sa terrasse, il bénéficiera bientôt d'une vue imprenable sur le jardin d'eau du parc de Saône. Mais pour profiter de ce paysage bucolique, Benjamin Revol doit pour le moment faire preuve d'imagination. Car depuis la livraison de son appartement, il y a dix jours, c'est avec le bruit des engins de chantier qu'il doit composer. Ce Lyonnais de 29 ans fait partie de la centaine de premiers riverains en cours d'installation dans les résidences Saône Park du Confluent (2e). Un quartier en construction entre Rhône et Saône qui, il y a quelques mois encore, ressemblait à un immense no man's land. « Je savais qu'en habitant dans le premier immeuble livré, ce serait le chantier, explique le jeune homme, propriétaire d'un T3 dans le bâtiment Yucca. Mais j'ai acheté il y a trois ans. Après un si long délai, je m'attendais à ce que les aménagements extérieurs soient plus aboutis. »

« Mais c'est un pari sur l'avenir », note Benjamin Revol, emballé par l'emplacement stratégique de son nouveau quartier, situé à l'entrée de Lyon et à deux pas du centre-ville. Une situation géographique qui a également incité son voisin, le champion du monde de patinage artistique Olivier Schoenfelder, à investir ici. « Je travaille tout près, à la patinoire Charlemagne. Quand nous avons su que le quartier allait se transformer, on a eu envie d'en être », explique-t-il. D'ici à la fin 2010, les grues auront laissé place à un vaste pôle de loisirs, avec une quinzaine de restos, des moyennes surfaces, 60 boutiques, un multiplexe... Et de nombreux commerces devraient ouvrir au pied des nouveaux immeubles. « Mais pour le moment, il y a très peu de magasins. C'est le seul hic », note Benjamin Revol qui, comme l'ensemble des arrivants, a payé le prix fort (entre 4 000 et 5 000 euros le m2).

Les Delmas, un couple de retraités, ont vendu leur maison dans le Beaujolais pour venir au Confluent. « L'idée de vivre dans ce quartier nouvellement pensé, où beaucoup d'efforts ont été faits en matière de développement durable, nous a séduits », indique Chantal. Dans sa résidence, où les parties communes sont encore en travaux, des panneaux solaires et un mur végétalisé ont été installés. « Si tout ce qu'ils ont promis se réalise, ça va être magnifique », ajoute cette sexagénaire qui, dès cette semaine, devrait voir le bassin du parc de Saône enfin mis en eau.

Elisa Frisullo

Source:
http://www.20minutes.fr/article/353891/Lyon-Ils-essuient-les-platres-de-la-Confluence.php

Des soirées avec le maire pour accueillir les résidents

D'ici à la fin 2010, les 400 000 m2 de la première tranche du Confluent devraient véritablement s'animer. Des milliers d'habitants et de salariés sont attendus sur les îlots A, B et C, situés au nord de la place nautique. Sur le programme Saône Park, où trois immeubles sont désormais habités, « trois autres résidences seront livrées en décembre et un dernier immeuble en mars prochain », indique Nexity Apollonia, promoteur immobilier de ce chantier.

A ces 220 appartements s'ajouteront, l'an prochain, les 292 logements du programme Lyon Islands (îlot B), porté par Bouwfounds Marignan et Alliade. Puis les 152 appartements du Monolithe (îlot C) construit par Atemi. Le quartier devrait également commencer à attirer de nombreux visiteurs et badauds avec l'achèvement de la promenade aménagée en bord de Saône, l'ouverture du pôle de loisirs et de commerces et de la darse, prévue courant 2010. Mais en attendant, le quartier compte plus d'ouvriers au mètre carré que de résidents. Aussi, pour faciliter l'intégration des nouveaux arrivants, la Maison de la Confluence a prévu d'organiser en leur honneur, début novembre, plusieurs soirées d'accueil. Le maire PS de Lyon, Gérard Collomb, a prévu d'y participer. W

E. F.

Source:
http://www.20minutes.fr/article/353893/Lyon-Des-soirees-avec-le-maire-pour-accueillir-les-residents.php

And the winner is... GDF Suez qui s'implante dans cet immeuble dont j'attends le résultat visuel avec impatience.

http://www.webizimmo.fr/rs-le_monolithe_pour_gdf_suez-zoom--246-1.html

Vue d'ensemble du Chantier ! (photo de teukiwalki PSS)

Webizstef, merci pour l'information.
Je me permet de copier ton article ici, c'est plus pratique pour les lecteurs du forum:

Le Monolithe pour GDF Suez

* 19/10/2009
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GDF Suez a pris en location 8.430 m² de bureaux (avec 103 places de parking) dans "Le Monolithe", quartier Confluence à Lyon.

Cet immeuble, véritable ensemble urbain, comprend 13.130 m² de bureaux, 8.800 m² de logements sociaux, 3.600 m² de logements libres et 1.100 m² de commerces.
Les 103 logements sociaux ont, quant à eux, été vendus à des bailleurs sociaux de la région Rhône Alpes, comme Habitat et Humanisme. Cet immeuble répond aux exigences de la norme HQE, en couvrant 80% des besoins énergétiques par des énergies renouvelables (chaufferie bois, énergie solaire en particulier pour l?eau chaude sanitaire).


La transaction de l'année

Le Monolithe croise plusieurs acteurs de l'immobilier d'entreprise : développé par ING Real Estate et Atemi, il est propriété de la SCPI Edissimo (la seconde plus importante SCPI française, qui l'a acquis en 2008 en VEFA pour 45,5 MEuros) et est géré par CAAM RE (Crédit Agricole Asset Management Real Estate).

GDF Suez regroupera l'implantation des futures directions régionales de différentes divisions de son groupe dans cet ensemble qui devrait être livré en juin 2010.

La transaction a été réalisée par le cabinet Jones Lang Lasalle, dans le cadre d'un mandat exclusif de recherche. Le conseil précise qu'il boucle, ainsi, "la plus grosse transaction de l'année sur le marché locatif lyonnais".

Sources : immoweek et businessimmo

Source:
http://www.webizimmo.fr/rs-le_monolithe_pour_gdf_suez-zoom--246-1.html

Extension du poste électrique Perrache-Confluence

Construit dans les années 1993, le poste électrique situé au Sud-est de la caserne de gendarmerie Guy-Delfosse, va être agrandi entre 2011 et 2012. Un bâtiment de 1 300 m2 accueillera un nouveau transformateur et un poste de répartition. « Une extension qui sécurisera l'alimentation électrique de la ville de Lyon et répondra à l'accroissement notoire de la consommation sur la Presqu'île », indiquent les deux responsables d'ERDF (Électricité réseau distribution France) et RTE (Réseau du transport d'électricité). Dans une démarche partenariale avec la SPLA Lyon Confluence, l'intégration environnementale du poste a été particulièrement recherchée par l'architecte, Michel Essertier. Le poste existant et son extension seront entièrement masqués par des murs en gabions et des plantations de bambous irriguées par les eaux du toit végétalisé. Un mail piétonnier longera ce poste.

Coût global du projet : 24 millions d'euros.