Musée des Confluences

Prémices de reprise de travaux....



De plus en plus de personnes travaillent dans les algécos....



Passage de la petite navette sur le Rhône...

Les engins de chantier envahissent de plus en plus le site
Sans doute les travaux préparatoires pour la mise en chantier.










Depuis quelques semaines le drapeau flotte à nouveau.

MERCI BEAUCOUP POUR CES MINI REPORTAGES!
VIVEMENT QUE LE MUSEE SORTE DE TERRE... IL S'EST TELLEMENT FAIT ATTENDRE QUE J'AI DU MAL A Y CROIRE AUJOURD'HUI

Musée des Confluences : Michel Côté s'explique

publié le 03.06.2010 04h00

Le directeur du musée des Confluences, qui repart au Québec à la fin de ce mois, s'explique sur les raisons de son départ. Soit quatre ans avant l'ouverture de son projet

Pourquoi quittez-vous Lyon avant l'ouverture du musée des Confluences ?

J'estime que le projet est sur les rails, le chantier redémarre, les collections se sont développées et les programmations d'ouverture sont bouclées jusqu'en 2015. J'ai donc accompli ma mission. Il y avait une fenêtre de tir qui m'a permis d'accepter la proposition du Québec.
En quoi consiste-t-elle exactement ?

Le 1er août, je serai directeur général du musée de la civilisation de Québec, qui est un complexe muséal d'Etat, comprenant cinq institutions québécoises représentant 250 salariés et 700 000 visiteurs chaque année. On m'a demandé de réfléchir à leur cohérence. C'est un poste intéressant, qui m'a été proposé par un chasseur de têtes québécois, et j'ai été retenu parmi une centaine de candidatures.
Pourtant, vous ne quittez pas définitivement le musée des Confluences. Comment allez-vous travailler pour le musée tout en étant à Québec ?

Les modalités de ma collaboration sont en cours de négociation. Ce qui est sûr, c'est que je vais envoyer ma démission et que je ne serai donc plus salarié du Conseil général. En revanche, Michel Mercier (le président du Conseil général, ndlr), m'a demandé de devenir le président du comité de programmation du musée, ce que j'ai accepté. En fait, c'est une collaboration entre les deux musées, celui de Lyon et celui de Québec, que je propose. Ce qui signifie que nous pourrons coproduire des expositions, par exemple, afin d'en diminuer les coûts. Je reviendrai donc à Lyon de temps en temps.
Comment votre équipe a-t-elle réagi à votre départ ?

Je sais qu'elle est déçue et aurait aimé que j'aille jusqu'au bout. Je suis venu en 1999 pour redéfinir un projet culturel : d'un côté, Raymond Barre voulait un grand musée des sciences et de l'autre, le musée Guimet était dans un état qui nécessitait une rénovation. J'ai alors proposé un établissement qui réponde à ces deux attentes et aujourd'hui, même s'il n'est pas sorti de terre, le musée des Confluences est déjà doté d'un réseau, le club d'entreprises fonctionne, la fondation est en marche. Pour moi, il existe déjà. Et puis un musée est fait aussi de tout ce qui ne se voit pas : le nettoyage, l'inventaire, la conservation, la documentation : nos conservateurs sont débordés, vous savez !
Tout de même, ne regrettez-vous pas qu'un tel retard ait été pris ?

Bien sûr, j'aurais aimé que cela aille plus vite. Mais un projet de cette nature ne se construit pas à tous les coins de rue. Le Mucem de Marseille était déjà lancé quand je suis arrivé, et il n'ouvrira qu'en 2013. Le Louvre de Lens, c'est pareil. Cela dit, c'est vrai qu'on a joué de malchance, qu'on a perdu deux ans à cause d'une entreprise, et que si on avait choisi de faire une boîte carrée, ce serait allé plus vite. Mais on construit pour la durée, il fallait donc une forme architecturale forte et au Confluent, aux côtés des Wilmotte et Portzamparc, vous aurez ainsi un ensemble de grands gestes architecturaux, c'est important pour une ville. Le musée marquera son époque. Et il est aussi indispensable à Lyon que ses orchestres, son musée d'art contemporain et son musée des Beaux-Arts. Il permettra aussi de compléter l'offre touristique.
Que dites-vous de son surcoût ?

Il faut comparer ce qui est comparable. Le musée coûtera un peu plus de 200 millions d'euros, tout compris : le jardin, le parking, les expos, etc... alors que les chiffres avancés au départ ne comprenaient que le gros œuvre. Quant au budget de fonctionnement, il s'élèvera à 15 millions par an, celui du musée Guimet était de 6 millions. Mais le musée des Confluences offrira deux fois plus de surfaces d'exposition et aura une vraie politique de revenus. Nous louerons des salles, par exemple. Regardez les Nuits de Fourvière, elles ont un budget de 8 millions et ne durent que deux mois, donc tout est relatif ! De toute façon, les retombées de l'argent investi dans la culture sont toujours très difficiles à estimer.
Qu'est devenu le mammouth du musée Guimet, cher aux Lyonnais ?

Il est dans des caisses, au centre de conservation. Mais avant d'être exposé, avec le dinosaure, de façon permanente au musée des Confluences, il a besoin d'être restauré. Un comité spécial réfléchit actuellement aux meilleures solutions.

Propos recueillis par Françoise Monnet

Un musée des sciences et des sociétés explorant les thèmes « d'où venons-nous ? où sommes-nous ? que faisons-nous ? »

Expositions
3 000 m2 d'expositions de synthèse (permanentes) et 3 400 m2 d'expositions temporaires

Architectes
cabinet Coop Himmelb(l)au (Autriche)

Maître d'ouvrage :
Conseil général du Rhône

Musée des confluences: Un projet à 175 millions et des travaux qui reprennent

Evalué à 61 millions d'euros au lancement du projet, le Musée des Confluences devrait présenter une note de 175 millions d'euros, au grès des aléas d'un dossier particulièrement compliqué. Financé par le Conseil général grâce à l'argent de ventes immobilières et mobilières (les actions que le Département avait dans la CNR), le Musée des Confluences ne devrait donc pas entraîner d'augmentation d'impôts. « Nous avons même plus à vendre que ce que nous coûte le musée » assure le directeur général du Département, Pierre Jamet. « Et la tendance des prix auxquels nous vendons est actuellement bien orientée ». Le Conseil général a ainsi fait l'inventaire de terrains ou d'immeubles lui appartenant et dont il n'avait pas forcément l'utilité pour obtenir le financement nécessaire à son équipement culturel phare. Après un long feuilleton judiciaire -qui a pris fin au printemps-, les travaux sont d'ailleurs sur le point de reprendre sur le site du Confluent. L'ouverture du musée est pour l'instant annoncée pour le premier semestre 2014.
F. G.-L.

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/3248514/Musee-des-Confluences-Michel-Cote-s-explique.html

04-06-2010
C’est reparti pour le chantier du Musée des Confluences

Après deux années d’arrêt en raison de problèmes administratifs, les ouvriers sont de retour depuis le début de la semaine.


L’entreprise Vinci va dans un premier temps procéder au nettoyage du site et à la remise en état des locaux avant d’attaquer le gros œuvre en août. L’ouverture du Musée est prévue pour début 2014.

http://www.lyonmag.com/article/16747/c-est-reparti-pour-le-chantier-du-musee-des-confluences

ils font des sondages ?
je croyais que les fondations etaient terminées
non?

Les 2 machines rouges que l'on voit sont des foreuses de pieux de fondation.
le sol où sera construit le musée est un sol de mauvaise qualité, et le nouveau constructeur estime qu'il faut d'autres pieux afin d'assurer la stabilité de l'ensemble.

voici une page intéressante concernant ces machines :
http://www.google.fr/images?hl=fr&rlz=1T4HPEA_frFR348FR348&q=pieu+de+fondation&um=1&ie=UTF-8&source=univ&ei=Cj8RTPvKJ6qg4QaAhJmCCA&sa=X&oi=image_result_group&ct=title&resnum=4&ved=0CDUQsAQwAw

Cet après-midi, 34° à l'ombre, un grand coup de chapeau aux personnes du chantier qui travaillent par cette chaleur....ainsi qu'au photographe...







Une pelleteuse sur une barge retenue par un pousseur effectue des travaux jusque dans le Rhône....

La deuxième naissance du Musée des Confluences

publié le 25.07.2010 04h00

La reprise du chantier s'est faite sans bruit. Et pourtant, compagnons et engins sont désormais à pied d'œuvre, sous la direction du groupe Vinci. Ouverture prévue en 2014

C'est en toute discrétion et dans le courant du printemps que le chantier du Musée des Confluences, situé comme on le sait à la pointe presqu'île lyonnaise, a retrouvé un début d'activité. Douché par la succession de contretemps et d'incidents - les travaux ont été interrompus à plusieurs reprises et un premier entrepreneur a jeté l'éponge après seulement quelques semaines de labeur - le conseil général n'a sans doute pas souhaité s'attirer le mauvais œil par une communication trop intempestive. Ni rallumer la polémique qui accompagne ce projet depuis sa naissance et dans laquelle le coût de l'édifice, revu à la hausse en raison notamment des incidents évoqués plus haut, est un sujet central. Comme souvent dès qu'il est question d'architecture ambitieuse et de bâtiments monumentaux.

Enfin, force est de constater que depuis que les engins de chantier, désormais pilotés par ce géant des TPE qu'est le groupe Vinci, ont réinvesti le terrain, les travaux n'ont pas pour autant pris un tour spectaculaire. Et pour cause : « Dans un premier temps il s'agissait pour nous de réinstaller ce chantier selon nos normes, de nettoyer les lieux, bref de tout préparer avant de débuter le gros des travaux proprement dits. Nous serons vraiment à pied d'œuvre en septembre, date à laquelle quatre grues seront déployées sur le site », explique Julien Garrel Luya, ingénieur chez GTM. Propos d'ailleurs confirmés par Pierre Rimattei, l'homme en charge du dossier au conseil général : « Il s'agissait aussi de procéder à des travaux de terrassement complémentaires et de remettre en condition les ouvrages déjà réalisés par l'entreprise précédente, à savoir le groupe Fayat ».

Bref, les pieux et les barrettes destinées à assurer les fondations du futur musée ont fait au cours des semaines écoulées l'objet d'un traitement de remise en état - « contrairement à ce que l'on a pu dire ces premières installations ont été réalisées dans les règles de l'art », assure Julien Garrel Luya. Mais d'autres travaux de fondation sont également en cours. Plus légers, ils sont destinés à consolider le terrain là où sont prévus les cheminements de ce qui sera le jardin. Enfin, la construction des bases qui, à l'automne, accueilleront les grues, est au programme de cet été.

Et déjà, avec ces premières opérations de terrassement, un petit miracle s'est produit. Pour peu que l'on examine le sol avec attention on peut voir se dessiner les contours du bâtiment. « Bien sûr, nous ne sommes pas à l'abri de nouvelles mauvaises surprises. Mais, pour le moment, je peux le dire : le chantier est maîtrisé et bien maîtrisé », assure Pierre Rimattei. Lequel fixe à quarante et un mois la durée des travaux à accomplir en attendant l'inauguration.

René Raffin

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/3538245/La-deuxieme-naissance-du-Musee-des-Confluences.html

quelqu'un a t il des nouvelles de ce chantier?
il n'y a toujours pas de grues et l'activité ne semble pas vraiment intense.
les fondations continuent elles de poser problemes ?
le grand chantier sort il de son bourbier ?
le departement est fier d'avoir un budget de plus de 200 millions pour ce projet sans s'endetter...
ça commence a prendre des allures blingbling
et le rayonnement de ce projet n'est de plus en plus que de façades
et quand je dis "façades" je suis plutot sympa
vu qu'il n'y en a pas l'ombre d'une.
on va passer du musée des civilisation au chantier des civilations.
et ce chantier a bien des choses a nous dire sur l'organisation et les transferts de la décentralisation
faisant des fiefs , les departements.
bon! je m'égare,

Je suis passé à proximité du chantier vers 18h et il y avait encore de nombreux travailleurs qui s'activaient. Un immense camion grue ainsi que diverses pelleteuses étaient en mouvement.
Non franchement je ne trouve pas que ce chantier tourne au ralenti.

idem je trouve le chantier actif même si rien ne sort encore de terre

A votre avis si le PS passe au prochaine cantonales le projet pourrait t-il être mis en péril ?

Quelques prises de vues datant du jeudi 7 octobre....

Montage de la 1ère des 4 grues :

les travaux avancent enfin !!!

Il va y en avoir des interférences entre les grues sur un petit espace.
Elles ont peut être été dimensionné pour le levage de charge lourde ou un planning un peu serré.

il va falloir faire confiance à la synchro

hâte de voir le musée "sortir de terre" en tous cas !

Le montage des grues s'effectue à raison d'une grue par semaine.
La semaine prochaine la 3ème sera mise en place, suivie de la 4ème la semaine suivante.






Le chantier est très actif, très bien organisé, il y a près de 40 personnes sur le site.



Les techniciens s'affairent sur l'armoire de commande de la future grue G4



Mon APN est entrain de rendre l'âme aussi les photos de la nouvelle maquette (pourtant bien réalisée
avec beaucoup de détails) sont de mauvaise qualité.
J'en poste malgré tout quelques-unes.

Coté Ouest



Coté Nord-Est



Coté Est


Coté Sud-Est



Coté Sud-Ouest



Coté Nord ( Cliché de meilleure qualité )


Je vous conseille pour ceux qui le peuvent, d'aller sur place
afin de voir cette nouvelle maquette et poser des questions à la personne de l'accueil.

Il n'y a eu aucune modification du projet.
ce seront les mêmes dimensions, les même formes.
seul l'aluminium sera remplacé par l'acier inox pour des raisons essentiellement de coût.
l'acier inox courant ( non alimentaire ) étant moins cher que l'aluminium.


à proximité des techniciens procèdent à des travaux de forage-sondage concernant
la future construction du pont-passerelle pour la passage du Tram T1 vers Gerland.

Alors plus qu'une désormais si je ne m'abuse ?

Bonjour,

Petite rectification sur une erreur concernant les informations données sur la vêture du Nuage :
La tôle inox microbillée est plus chère que la tôle aluminium anodisée.

Seulement, l'inox était le choix architectural de base qui avait été remplacé pour des raisons économiques.
Le Musée sera ainsi doté d'une magnifique parure d'acier comme souhaité par l'architecte au départ !

www.mesaworkshop.fr