LYON CONFLUENCE - PHASE 1 & 2

salut
je suis allé à une des visites du chantier de la confluence, et vous encourage à y aller en masse car tres interressante aussi bien sur le projet en lui meme que sur le passé de cette terre qui a été gagné sur les marais qui occuppaient la confluence. Avec un acces privilègier au chantier et des explications sur chaque batiment en construction ou en projet.
Pour ma part j'aurai aimer une visite avec plus d'aspect technique ce chantier etant exeptionnelle aussi bien architecturalement que sur les points techniques qui seront mis en oeuvre.

PS: vous aurez droit à un magnifique casque frappé du logo de la confluence pour tout la durée de la visite et rien que pour cela sa vaut le coup

Le Confluent lance sa seconde tranche

Pour l'instant, il y a l'imposant marché gare, le chantier du futur siège de la région et des prostituées sur les trottoirs. Dans une dizaine d'années, les terrains situés entre l'autoroute A7 et le cours Charlemagne au Confluent (2e) devraient accueillir des logements, des bureaux, des jardins, un collège, une

piscine, une halte-ferroviaire, des bâtiments universitaires...

La seconde tranche de Lyon Confluence, la plus grande opération d'aménagement de l'agglomération, a été lancée hier avec le choix des urbanistes chargés d'élaborer le projet. La commission d'appel d'offres a désigné les architectes François Grether et François Leclerc et le paysagiste Michel Desvigne pour dessiner ce nouveau quartier de 24 hectares au sud de Lyon. Grether et Desvigne étaient déjà en charge de la première phase de 40 hectares, lancée en 2001, et qui commence à sortir de terre côté Saône.

« Le défi de ce territoire sera de conserver sa liaison avec le quartier ancien Sainte-Blandine, la première tranche très moderne du Confluent et Gerland, de l'autre côté du Rhône », explique Gérard Collomb, président (PS) du Grand Lyon. Les urbanistes devront surtout tenir compte de l'autoroute, dont la date de déclassement est toujours inconnue. « Notre projet sera donc évolutif dans le temps », indique François Leclerc.

Les architectes envisagent de construire, le long de l'A7, des immeubles « intelligents avec le bruit ». La suppression de l'autoroute permettra aussi à terme la création de deux ponts entre le Confluent et Gerland.

Source:
http://www.20minutes.fr/article/168960/Lyon-Le-Confluent-lance-sa-seconde-tranche.php


L'article du Progrés au meme sujet:

Confluence : lancement de la seconde phase

L'aventure continue. Alors que, côté Saône, les premiers bâtiments sortis de terre voisinentavec les prochains chantiers, Gérard Collomb a lancé hier la seconde étape du projet Lyon Confluence


En 2001, l'urbaniste François Grether - qui après s'être penché sur Gerland s'attaquait au projet de la Confluence - avait confié à un Gérard Collomb fraîchement élu : « Ce quartier, il faudra trente années pour le bâtir ». Six ans plus tard, le même admet s'être montré un peu pessimiste, même s'il ajoute avec raison : « qu'une ville n'est jamais terminée ».
En effet, alors même que, côté Saône, la première phase du projet Lyon Confluence est en train de se concrétiser - Le Progrès se prépare à déménager à l'automne dans son nouveau siège - Gérard Collomb et Gilles Buna, son vice-président chargé de l'urbanisme, ont annoncé hier le lancement de la deuxième phase. Laquelle concerne les 24 hectares que laissera derrière lui, l'été prochain, le marché de gros en partance pour Corbas. « Ici les choses vont vite. Le projet semble comme porté par tous les acteurs et notamment la population. Nous sommes devant une ville qui en veut » constate aujourd'hui François Grether. Les Lyonnais apprécieront.
C'est en février dernier que le Grand Lyon a lancé un premier appel d'offre concernant ce nouveau territoire à reconquérir. Il s'agissait alors de trouver les équipes de concepteurs appelées à « préparer le terrain » en matière d'urbanisme et de paysage, de déplacements et de concertation avec la population. Ce choix a été opéré et les hommes choisis ont été présentés hier par Gérard Collomb.

De fortes contraintes
A eux de réfléchir sur la meilleure façon de construire 450 000 m2 habitables sur ce secteur soumis à de fortes contraintes, dont la présence de l'autoroute n'est pas la moindre. A eux de concilier la mixité annoncée entre logements (50 à 55 %), commerces et activités tertiaires. De ménager à la fois l'accessibilité du site et la continuité entre le futur musée des Confluences, au sud, et le « vieux » quartier Sainte-Blandine, au nord. De s'accommoder, enfin, de la voie ferrée tout en anticipant sur sa modification (rétrécissement de la voie). On le constate, le pari est de taille.
Déjà, des pistes de réflexion ont été lancées concernant la façon de construire le long de l'A 7 sans pour autant élever une sorte de muraille de Chine destinée à lutter contre le bruit. Ou, encore, sur une nouvelle forme d'habitat incluant aussi des bureaux et des commerces.
Gérard Collomb et Gilles Buna ont également laissé entrevoir de nouveaux équipements publics. A savoir une école, un collège, une piscine de quartier, voire des bâtiments universitaires. Tant le maire de Lyon désire qu'une continuité existe entre Gerland et la Confluence.
Sachant que six années ont été nécessaires pour préparer la première phase, gageons qu'en ce qui concerne la seconde les premiers coups de pioche pourraient intervenir aux alentours de 2013

R.R



Les équipes choisies

- La programmation et la concertation ont été confiées à un groupement composé de trois structures : Sémaphores, Ernst & Young, Initial Consultants.
- L'urbanisme, le paysage et l'architecture reviennent à l'équipe constituée par les urbanistes François Grether et François Leclercq associés au paysagiste Michel Desvigne.
- L'aménagement urbain et la voirie seront pris en charge par un groupement réunissant les sociétés Opus, Girus et Item.

Source:
http://www.leprogres.fr/infosdujour/rhone/883704.html

Quelques photos du Chantier au 15 Juillet 2007 :

Le parc autos près de la Gare de Perrache et Time Square :


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La Darse... qui prend forme :


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Le Progrès / TLM :


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Une petite photo de l'avancement du chantier de Time Square place des Archives :


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Photos du 15 Aout 2007 :

Le PROGRES :

On dirait que les Studios de TLM ont déjà pris places... Puisque toute une ribambelle de voitures de la TV lyonnaise sont présentes !


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Les Douanes :


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Bâtiment détruit au fin fond des quais...


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Futur bâtiment à coté de celui du Progrès : LE SIEGE REGIONAL D'EIFFAGE


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Dernière mise à jour LE PROGRES : vendredi 17 août 2007

Time square : fin du gros oeuvre

Nouveau visage pour la sortie sud de la gare de Perrache


Après 166 journées ouvrées, Cédric Masson, conducteur de travaux pour la société mandataire Eiffage Construction Rhône, et son remplaçant actuel Vincent, vont terminer aujourd'hui le gros oeuvre du chantier « Time square ». Il s'agit de la construction, au profit de la SNCF, d'un immeuble de 6 niveaux hors attique (dernier étage de dimension moindre que le précédent) et de 25 m de haut. Il possède son propre parking dont l'entrée se fera par la façade du cours Charlemagne.

Commencé au début de cette année, cet immeuble qui offre un peu plus de 3 500 m2, va maintenant être livré à divers spécialistes : peintres, plombiers, électriciens, carreleurs, parqueteurs, ascensoristes et devrait être terminé pour noël prochain. La simplicité de son architecture et la présence de baies vitrées, en parfaite harmonie avec les Archives municipales voisines, se font remarquer et suscitent déjà les approbations d'usagers de Perrache quand ils surgissent en haut des escalators.

Premiers coups de pelle aux Archives

Le parc de stationnement Perrache-Archives de 630 places, entrera en service début 2009. Sa vocation est liée à sa situation : point de convergence des transports publics, TER, TGV, bus, métro, tramway

Le président du Grand Lyon Gérard Collomb, qui n'a jamais piloté autant de pelles mécaniques que ces dernières semaines, visitait hier le chantier des Archives, tènement qui s'étend au pied de l'escalator de la gare de Perrache.
Le parc souterrain qui s'y construit n'est pas seulement un énième équipement visant à libérer la surface et améliorer l'offre de stationnement. Au moins trois éléments le distinguent : tout d'abord sa profondeur - huit niveaux sous terre - constitue un parti pris techniquement audacieux le long de la gare SNCF. Autre particularité : conçu par le cabinet Arche, le futur parc sera végétalisé. De quoi absorber les émissions de CO2. Remarquable enfin, le fait que Lyon Parc Auto, qui accouchait hier aux Cordeliers de son 26e « bébé », n'est pas dans le coup. C'est Omniparc, filiale régionale d'Epolia, qui sera le concessionnaire, bientôt présent également aux Brotteaux.
L'occasion pour François Rivière son président de se réjouir d'intervenir sur Lyon. « Aucune ville ne gagne à rester dans ses remparts », confie le dirigeant qui estime ainsi « apporter un peu d'animation ».

L'espace public libéré
Parce que son arrière-grand-père fut chef de gare à Perrache, l'homme goûte particulièrement l'occasion saisie de garer, là, des tas de (petites) voitures au pied des (petits) trains. La position du futur parc au carrefour des TER, TGV, du tramway, des bus et du métro, sans oublier la navette aéroport, est en effet stratégique. « On est dans l'amorce de la Confluence », a rappelé Gérard Collomb évoquant « l'endroit fondamental que représente ce noeud intermodal ».
Après avoir choisi de développer « en lien avec la Région, le Conseil général et le Sytral une tarification unique s'appliquant aux différents modes de transport pour inciter les pendulaires à laisser leurs véhicules », le président du Grand Lyon a rappelé le deuxième volet de sa politique : à savoir, en plus de l'élargissement du stationnement payant, la réalisation de parcs souterrains « qui libèrent l'espace public et permettent sa revalorisation ». Effectivement, « les immeubles lépreux », dixit Gérard Collomb, que l'on découvrait au sortir de la gare sont tombés dans le cadre de la réalisation de la future place des Archives qui coiffera le parking souterrain. Et, petit à petit, effet d'entraînement oblige, des façades se rénovent, des pas-de-porte sont rafraîchis Perrache a la cote.

Dominique Menvielle

Source: Le progrés

Pour moi, le projet Confluence est une étape obligatoire pour la ville de lyon.
J'ai consulté les maquettes, les croquis, les expos...
tout me paraissait magique spectaculaire et simple à la fois.
Mais, aujourd'hui ma déception est grande les ouvrages en cours de finiton, vers la sucrière sont d'une banalité extrème, et ne me font pas rêver.
J'espère que cette impression n'est que passagère et que le confluent respectera la majesté de ses projets originaux.
Pour cela j'attend la finition conplète de ces batiments et la continuation des travaux.
La création d'un quartier d'affaire aurait été peut être plus intéressante pour le rayonnement de Lyon à l'international?

Effectivement les projets ne sont livrés que petit à petit et je pense que pour se rendre compte de la "grandeur" du projet, il faudra le regarder dans son ensemble... Car soi disant... tout a une cohérence... On attend donc de voir... surtout que le chantier du Pole de loisirs commence tout juste !! Wait and see...

En attendant, quelques photos de l'avancement des divers chantiers :



le futur siege d'Eiffage Rhone Alpes :











A l'intérieur des Douanes :



L'art contemporain s'invite sur les Docks :





La Darse :















Le stade Sony Anderson :

Merci pour ces photos

Un palace à Confluence

Signé Rudy Ricciotti, un des plus grands architectes mondiaux, le Columbus ouvrira ses portes à l'automne 2010


«C'est un projet radical », confie l'architecte Rudy Ricciotti, auteur de nombreux musées dont celui dédié à la mode à Milan, les Arts de l'Islam au Louvre et le Palais de la Mostra à Venise. « Nous n'avons pas opté pour une expression technologique mais une architecture d'accumulation ». Une façade fragmentée côté Saône, enrichie de reflets kaléidoscope et une atmosphère feutrée à l'intérieur avec d'immenses rideaux de velours de soie vert, à la gloire de la capitale des Gaules. Un projet dans le plus pur esprit du groupe monégasque Mac Culloch, fondé par le pilote de Formule 1 David Coulthard « et Ken Mac Culloch.
« Lyon va devenir la plate tournante de l'Europe », affirme Frédérik Aspegren, directeur européen du groupe. « Nous allons décliner notre concept : « il n'y a rien de mieux que chez soi ». En clair, chez Columbus on joue la carte place à l'extrême : ici, tout est facile. Le futur palace comprendra 100 chambres dont certaines auront une superficie de 65 m2, une brasserie à l'anglaise très haut de gamme, un lounge bar ainsi qu'un spa et une piscine au dernier étage. Le tout sur 6 000 mètres carrés. Le groupe Mac Culloch devrait investir environ 20 millions d'euros dans la construction du bâtiment. C'est le promoteur lyonnais Jean-Christophe Larose qui est chargé du projet. « Le groupe Cardinal a été le premier à croire au potentiel de Confluence. Le site dispose de trois atouts de taille : la Saône, la proximité de la gare de Perrache et de l'autoroute ». Selon lui, les clients futurs viendront parce que c'est Colombus. Une clientèle à très hauts revenus fidèle à l'enseigne et de ce fait quasi captive. Le marché lyonnais lui paraît aujourd'hui mature. Pour l'instant, le groupe monégasque possède un établissement à Monaco, sur le port et trois autres en Angleterre. Dans quelques semaines, un nouvel hôtel devrait ouvrir ses portes au sud de Londres. « Nous avons aussi des projets en Allemagne », confie Frederik Aspegren. Et si le projet lyonnais voit le jour, c'est grâce en partie à cet homme qui a suivi une partie de ses études supérieures au sein de la capitale des Gaules et est littéralement tombé amoureux de cette ville. La preuve, il a aujourd'hui un autre projet, à Vaise. « Sous l'enseigne Dakota, une déclinaison plus modeste de la marque Columbus »

Caroline Auclair

Source: Le Progrés

Quelques rendus:







Source: www.rudyricciotti.com

Confluent: les associations mobilisées autour des aménagements à venir

De nombreux représentants d'associations ont manifesté leurs inquiétude et leurs souhaits pour l'aménagement de La Confluence

Mardi soir, avant de rentrer dans le vif du sujet, le maire Denis Broliquier a insisté sur l'importance de cette rencontre destinée à recueillir l'avis des associations sur les aménagements à prévoir dans un futur proche sur l'emplacement de l'actuel Marché Gare.

Gilles Buna, adjoint au maire de Lyon en charge de l'urbanisme, et Jean-Pierre Gallet, directeur de la SEM Lyon-Confluence, ont apporté un éclairage sur les enjeux de cette deuxième phase. L'adjoint à l'urbanisme s'est engagé à aménager les 21 hectares en assurant la valorisation du site existant, quartier Sainte Blandine et quartier du bord de Saône tout en favorisant l'ouverture sur Gerland. Jean-Pierre Gallet a donné un pré-programme d'aménagement avec une part de 50 à 55 % de logements et de 30 à 35 % pour le tertiaire et les équipements publics tout en précisant que les travaux débuteraient fin 2010 sur une période de 10 ans. Il a ensuite engagé une réflexion sur d'autres possibilités telles qu'un poste de police, des locaux associatifs et sportifs, un bureau de poste

Concertation début 2008

La parole a ensuite été donnée aux représentants d'associations qui avaient posé par écrit des questions ou observations. « Mieux Vivre à Perrache » a fait part de ses inquiétudes à propos du stationnement et des équipements sportifs. « Le Comité Centre Presqu'île » souhaite une réduction du transit et l'amélioration des relations entre le sud et le nord de la presqu'île.« Comité Sud Presqu'île » et « Conseil de Quartier Perrache Confluent » ont à peu près les mêmes préoccupations qui sont l'amélioration des transports en commun, le déclassement de l'autoroute et l'ouverture sur Gerland par le pont des Girondins.Mardi soir, il n'y aura pas eu de réponses précises sur ces points mais le directeur de la SEM Lyon Confluence a proposé d'engager une concertation avec les associations dès le début de l'année 2008.

Le Progrès du 11/10/2007

Confluence: 150 ha d'aménagements d'ici à 2020

Tour d'horizon des principaux aménagements qui dessinent le futur quartier de 150 ha sur le site du confluent



D'ici à 2020, le centre-ville de Lyon aura doublé sa taille grâce à l'aménagement des 150 ha du confluent.
La création du futur quartier de « La Confluence », sur un site exceptionnel situé entre les deux fleuves, s'opère en deux temps. La première phase de cet immense chantier, le plus important d'Europe, a été lancée en 2003 avec l'aménagement de la ligne de tramway T1 cours Charlemagne.

Une étape qui s'étend jusqu'en 2013, à l'ouest du cours Charlemagne le long de la Saône. Après la livraison des chantiers de rénovation des bâtiments des douanes et de La Sucrière (voir visuels ci-contre), ainsi que la réalisation d'un terrain de foot et son club house : la prochaine échéance est le bâtiment qui accueillera le nouveau siège de TLM et du journal « Le Progrès » (fin novembre).

Une opération de 1,145 milliard d'euros pour 41 ha d'espaces verts, de places publiques, de bassins et parcs paysagés. Avec seulement 11 ha de bâtis, répartis dans trois îlots d'habitations, regroupant 620 logements. Les premières grues viennent d'être installées, la livraison est prévue pour 2009.
La conception urbaine de la seconde phase d'aménagement a d'ores et déjà été initiée.
Le développement se poursuivra à l'est du cours Charlemagne, à proximité du Rhône. Le projet s'échelonnera de 2010 à 2020 sur le site du marché gare (24 ha) qui déménage à Corbas en 2008.

Nathalie Garrido
ngarrido@leprogres.fr
Le Progrès 26/10/2007

Quelques photos du site en chantier... au 3/11/2007























Chantier Siege de la Région Rhone Alpes :

Perrache: Aménagement en cours de la place des Archives

Quatre mois de chantier avec une circulation réglementée

Après la réalisation de l'immeuble de bureaux Time Square (en cours d'achèvement), les pelleteuses, marteaux-piqueurs et autres engins du génie civil viennent de s'emparer de la place des Archives.
Rue Dugas-Montbel, Antonio et son équipe de la Sobeca percent une longue tranchée afin d'une part, de renouveler le câble à basse tension (20 000 v) qui traverse la dite place jusqu'aux abords des escaliers de la gare de Perrache et d'autre part, d'installer un nouveau câble (500 m de long) permettant l'alimentation de Time Square. Du côté ouest du Cours Charlemagne, c'est la société MGB qui oeuvre à la reconfiguration de la place elle-même. Cette semaine, Nicolas et ses spécialistes cassent le revêtement et procèdent au terrassement, pour permettre la pose de bordures de trottoirs et de pavés (chantier confié à une autre entreprise) qui sera suivie de l'aménagement du parvis (éclairage, végétalisation, enrobé et mobilier urbain). Cette succession de travaux devrait s'étaler sur environ quatre mois, occasionnant quelques modifications de circulation dans le secteur qui ne toucheront pas le tramway.

Le calendrier

Jusqu'au 14 décembre : fermeture Nord-Sud du cours Charlemagne entre la place des Archives et le cours Suchet (desserte maintenue pour les livraisons à partir du cours Suchet.
Du début janvier au 8 février
2008 : coupure de l'accès à la voûte depuis le cours Charlemagne et déviation par la rue Dugas-Montbel pour passer sous la voûte.
Du 11 au 29 février 2008 : fermeture de la rue Dugas-Montbel entre la rue Gilibert et la voûte, cette dernière étant fermée durant la dite période.
Le Progrès 5/11/07

Confluence: le chantier du pôle de loisirs est lancé

«Elément majeur» du futur quartier, il accueillera, dès 2010, des commerces, un cinéma, un hôtel, dans une ambiance où la quiétude sera privilégiée

Alors que le Progrès se prépare, ce week-end, a emménagé dans son nouveau siège de la Confluence (rue Montrochet) un nouveau chantier est lancé dans ce quartier en devenir que Gérard Collomb présente comme étant « le prolongement naturel » de l'hypercentre lyonnais.
Hier matin, en effet, le maire de Lyon flanqué de l'architecte Jean-Paul Viguier et de Guillaume Poitrinal, président d'Unibail-Rodamco (1) a posé la première pierre du futur pôle de loisirs et de commerces de la Confluence. Soit un vaste espace de 52 000 m2 destiné à abriter notamment des commerces (moyennes et petites surfaces), un cinéma, un hôtel, des restaurants, un bowling, et qui devrait ouvrir ses portes dans le courant du premier semestre 2010. Encore que l'expression « ouvrir ses portes » semble mal appropriée, ce bâtiment dessiné par Jean-Paul Viguier se caractérisant, non seulement par sa toiture en polyéthylène transparent changeant de couleur en fonction de la luminosité ambiante, mais aussi par le fait qu'il sera totalement ouvert sur son environnement. A savoir les rives de la Saône, la place nautique en cours d'aménagement et le reste de la Confluence.
« Nous sommes face à un centre commercial de la dernière génération » a d'ailleurs expliqué Guillaume Poitrinal, « un endroit de quiétude et de fluidité où le confort du public est privilégié ». Autre caractéristique, le développeur a décidé de privilégier, parmi les commerçants invités à s'installer, des enseignes nouvelles et innovantes plutôt spécialisées dans les loisirs, l'équipement de la personne et de la maison.
Et si des maisons comme Monoprix seront également accueillies c'est à la condition d'offrir un cadre et des prestations originales. « Ce bâtiment deviendra une attraction » a prédit Jean-Paul Viguier, « un élément majeur dans un quartier où beaucoup de monde veut désormais venir s'installer » a ajouté Gérard Collomb.
R.R
> Note
(1) Cette société spécialisée dans le développement de projets immobiliers commerciaux se présente comme le leader européen dans ce secteur. Ses investissements concernent essentiellement les centres commerciaux, mais aussi l'immobilier de bureaux et les centres de congrès. Unibail-Rodamco finance entièrement le pôle de loisirs à hauteur de 200 millions d'euros.

Source: Le progrés

La Confluence va s'amuser


Le groupe Unibail-Rodamco a posé hier la première pierre de son futur « centre commercial de loisirs » du Confluent (2e), destiné à devenir la pièce majeure de ce nouveau quartier érigé sur d'anciennes friches. « Ce sera son lieu de vie », estime Guillaume Poitrinal, président d'Unibail, qui va investir 200 millions d'euros dans cet espace de 52 000 m2 dont l'ouverture est prévue en 2010. Sous une toiture gonflable écolo de 2 ha, les sept pavillons de « pôle de loisirs » abriteront 18 restaurants et 60 commerces, ainsi qu'un multiplexe UGC de 3 500 fauteuils et un hôtel de 150 chambres. Posé entre la darse nautique et la Saône, ce centre commercial a été conçu pour être « un endroit de quiétude ». Plus de 7 millions de personnes devraient y passer chaque année.

F. C. - ©2007 20 minutes

• 20 Minutes
  
  Pose de la 1ère pierre du pôle de loisirs
  
  Le Sénateur-Maire de Lyon et Président du Grand Lyon, le Président du directoire Unibail-Rodamco et l'architecte Jean-Paul Viguier ont aujourd'hui, jeudi 29 novembre, posé la première pierre du pôle de loisirs et de commerces Confluence. Livraison prévue : 2010.
  
  
• Lyon Confluence et photos

Citation :

Shopping et loisirs se font écolos à Confluence
La première pierre du centre commercial a été posée hier.
L’attraction du pôle de loisirs sera son toit en matériau écologique.


L’attraction du pôle de loisirs sera son toit en matériau écologique. Photo: D.R


Pièce maîtresse de l’aménagement du quartier Confluent, le pôle de loisirs Confluence devrait ouvrir ses portes en 2010. La première pierre a été posée hier. Ce complexe de 52 000 m² coûtera 200 millions d’euros au groupe Unibail-Rodamco, qui exploite déjà le centre commercial de la Part-Dieu.

Au bord de la future place nautique, le bâtiment écolo a été pensé par l’architecte Jean-Paul Viguier comme “un endroit de promenade avant d’être un lieu de consommation”. “La climatisation sera naturelle. Elle ne consommera quasiment pas d’énergie”, assure-t-il.
L’attraction du pôle de loisirs devrait être… son toit, qui sera irisé le jour et éclairé la nuit. Il s’agit d’une structure gonflable réalisée dans un matériau écologique présenté comme une alternative au verre.

Le pôle de loisirs Confluence abritera un multiplexe UGC, un bowling, une dizaine de moyennes surfaces et une soixantaine de boutiques et de restaurants. “On va essayer d’attirer des enseignes nouvelles”, explique Guillaume Poitrinal, président du directoire d’Unibail-Rodamco, qui veut s’appuyer sur un concours de jeunes créateurs de marque et sur l’institut Bocuse.

Déconseillé aux voitures
Le complexe espère recevoir sept millions de visiteurs par an, mais il ne comptera que 1 500 places de parking. Le projet mise sur une desserte par transports en commun avec le tram T1 puis, plus tard, avec une halte SNCF située juste derrière. Mais le patron d’Unibail a aussi un souhait : “Etre le premier centre commercial d’Europe desservi par navette fluviale.”

Source : Metro.

Allé, c'est K'do, quelques photos de la confluence à ce jour, Mercredi 5 décembre 2007 :

Maquette du Futur pole de loisirs et de commerces :









Aviez vous remarqué ce faramineux parking adossé au Pole de loisirs ? Je pensais que le Parc auto serait souterrain, mais j'avais tout faux !



Nous étions en compagnie de l'adjoint au maire du 2eme arrondissement, qui présentait le projet à quelques habitants du quartier...





Il nous a parlé d'un éventuel pont qui pourrait etre construit entre les deux rives du Rhone, un pont qui prolongerait la rue Casimir Perrier... Le fameux pont des Girondins, ou passrelle... qui ne pourrait voir le jour que si l'A7 était déclassé...



Petite vue de la terasse panoramique...

















La Darse s'allonge... et va pratiquement arriver à la Saône...





Le Terrain du pole de Loisirs :





L'hotel de Région :

Citation :

Apparts à « énergie zéro »

Ce seront probablement les immeubles les plus écologiques de Lyon. Le jury de Lyon-Confluence a attribué hier aux groupements de promoteurs-architectes Bremond-Lipsky-Rollet et Atemi-Kaufman-Vincent la construction de deux bâtiments d'habitation entre la patinoire Charlemagne et le stade Sonny Anderson. Particularité de ces 139 logements : la facture énergétique sera très réduite grâce à des panneaux solaires, des pompes à chaleur ou un chauffage au bois. Ces appartements à « énergie zéro », dont 20 % seront attribués à des bailleurs sociaux, seront vendus entre 3 200 et 4 200 euros du mètre carré

Source : 20 Minutes.

Le groupe Progrès inaugure son nouveau siège à Lyon

LYON (AFP) — Le groupe de presse régional Progrès a inauguré à Lyon son nouveau siège mercredi, date anniversaire de la création du quotidien éponyme en 1859, et compte y développer le concept de "cross-média" en regroupant différents médias lui appartenant.

Premier chantier livré sur le site de la Confluence, un ambitieux projet de réhabilitation urbaine du sud de la presqu'île entre Saône et Rhône, le nouveau siège réunit sur 11.300 m2 les équipes du quotidien Le Progrès de Lyon et de sa version en ligne leprogres.fr, de la télévision locale TLM (dont le groupe est l'actionnaire majoritaire) et du quotidien gratuit Lyon plus.

"Le cross-média, c'est pouvoir s'appuyer sur tout le réseau de collecte d'information de façon à pouvoir diffuser une seule information quel que soit le support", a expliqué Pierre Fanneau, directeur-général du groupe Progrès.

"C'est un atout, une manière d'affirmer que nous sommes un grand groupe", a-t-il ajouté, face à un marché de l'information qui s'est "considérablement élargi" en termes de canaux de diffusion.

A l'aspect résolument moderne, le siège est composé de trois immeubles reliés par des passerelles et situés notamment à proximité du futur Hôtel de Région. Il rassemble 453 salariés -dont 200 journalistes- qui travaillaient dans les 3e et 7e arrondissements lyonnais, en plein coeur de la ville, et à Chassieu (Rhône), où se trouve le principal centre d'impression du groupe.

Réalisé par le cabinet lyonnais Xanadu, le pôle multimédia du Progrès a coûté 12,50 millions d'euros.

"Ce déménagement éloigne géographiquement l'ensemble de la rédaction du coeur de la vie lyonnaise, contrairement à la volonté exprimée par la direction générale par ailleurs, elle qui plaide pour un +Progrès+ qui vit avec ses lecteurs", déclarent conjointement les syndicats SNJ et CFE-CGC dans un communiqué.

"Il ne faudrait pas oublier que la direction générale mène actuellement une restructuration, sous la forme d'un plan de sauvegarde de l'emploi. Avec, pour objectif, la suppression de 250 emplois, principalement dans les services techniques", ajoutent-ils.

Le Progrès tire à 300.000 exemplaires et appartient à la société Est-Bourgogne-Rhône-Alpes (Ebra), le premier éditeur de presse régionale français qui contrôle également L'Est Républicain, Les Dernières Nouvelles d'Alsace, La Liberté de l'Est, Le Dauphiné libéré, Le Bien public et Le Journal de Saône-et-Loire.

Les 21 éditions du Progrès sont distribuées en Rhône-Alpes, Haute-Loire et dans le Jura. La Tribune-Le Progrès, diffusé dans la Loire et la Haute-Loire, a un tirage moyen de 85.000 exemplaires en semaine, 130.000 le dimanche.

Le groupe Progrès emploie un millier de personnes.

Source:
http://afp.google.com/article/ALeqM5jzg0N4An0cvVw-ffvQnE5fLu2uKQ

Avec un petit lien sur le blog spécialement créé pour l'occasion !!

Ici : http://blogactu.leprogres.fr/

10-12-2007
BREMOND et ATEMI choisis pour E3-E4

Les promoteurs Groupe Brémond et Atemi ont été choisis aujourd'hui par le comité de sélection pour réaliser les lots E3 et E4 soit 130 à 140 logements livrés d'ici à 2010. Associés aux architectes F.Lipsky-Rollet (E3) et H.Kaufmann-H.Vincent (E4), leur projet ont été retenus pour leurs qualités architecturales et environnementales.
Pour télécharger le dossier de presse et les images : www.lyon-confluence.fr/espace presse.

Lien : http://www.lyon-confluence.fr/data/presse/071210_DP_Lots_E3_E4_ssa.pdf