LYON CONFLUENCE - PHASE 1 & 2

Dans ce cas, ce n'est pas le projet qui irréalisable, non... C'est simplement un conflit.... Qui retarderait le projet... Mais qui le retarderai d'un certain nombres d'années...

Petit article trouvé sur Lyon en Lignes concernant la déviation de l'autoroute...

C'est un axe historique qui pourrait être éradiqué d'ici quelques dizaines d'années à Lyon, celui qui éventre la Presqu'île de Lyon, du nord au sud et d'est en ouest. C'est bien le déclassement de l'autoroute, dont on parle depuis tant d'années, qui semble toujours d'actualité. C'est en tout cas ce que pense François Gréther, architecte mandataire du projet "Confluence".
Cet axe, choisi à la fin du XVIIIème siècle par Monsieur Perrache, va peu à peu devenir celui du chemin de fer, puis de la route des vacances pour des milliers de français et d'européens.
Mais, avec la croissance importante du trafic automobile, cet axe a-t-il toujours sa pertinence historique ? Les lyonnais ne souhaitent-ils pas sa disparition au profit d'une presqu'île "réunifiée", et plus agréable à vivre ?
Pour cela, il faudra d'après l'architecte "faire passer l'autoroute ailleurs", et c'est là que le bas blesse. Les débats seront sans doute encore vifs dans le futur sur cette question...
Pourtant, la récupération de plus de 2km de rives sur le fleuve Rhône semble traumatiser de moins en moins de monde, contrairement à une époque où cette modification d'envergure aurait paru inenvisageable. Serions-nous en train de tourner une page ?

A l'heure où Lyon se réapproprie progressivement son urbanité, avec notamment le retour du tramway ou la redécouverte du vélo, c'est un projet urbain d'envergure qui s'organise peu à peu au sud de Perrache...

Quelques clichés sur les chantiers des Docks (photos datant du 23/03/07)















La Confluence accueille son premier hôte

L'agence Communiquez va emménager au sein de ce nouveau quartier de la pointe de la Presqu'Ile, le premier juillet prochain

Le 1er juillet prochain, le quartier de la Confluence accueillera son premier hôte. C'est le groupe Communiquez, regroupant Francom, BL-LB et Art Entreprise, qui va emménager dans l'ancien bâtiment des Douanes. Un investissement de plus de 4 millions d'euros consacré à la réhabilitation d'un immeuble de 4 000 mètres carrés. « Nous souhaitions conserver l'identité du bâtiment qui accueillait auparavant les bureaux des douaniers », raconte Georges Verney-Carron. Et si les ouvertures historiques ont été respectées, la lumière est encore plus présente grâce à l'apport d'immenses baies vitrées. Quant à la façade, elle sera entièrement habillée de métal, avec des effets de gris et de blanc.

Ce véritable pôle d'art et de communication va s'étaler au sein d'un bâtiment doté d'une architecture urbaine contemporaine. Georges Verney-Caron, président du groupe Communiquez a confié la réalisation de son futur siège à un binôme constitué de l'artiste Krijn de Koning et de l'architecte Jean-Michel Wilmotte.
C'est le groupe Cardinal, présidé par Jean-Christophe Larose qui est promoteur de l'opération dont les investisseurs sont le groupe Communiquez, Voies navigables de France et la Caisse des Dépôts et Consignation.
Un bel exemple de partenariat public-privé, né d'une rencontre entre les dirigeants de Communiquez et ceux de VNF, de la CDC et de la SEM Lyon-Confluence. « Le futur de la ville, c'est le quartier du confluent » clame le patron de Communiquez, entouré de ses associés : Florence Verney-Caron et Marc Marynower. Selon lui, « si une ville veut entrer dans son siècle, elle doit vivre avec ses architectes contemporains.

Car le patrimoine de demain se construit aujourd'hui ».
Un vrai tournant pour le groupe Communiquez, établi à Villeurbanne depuis 1983. Pour le pionnier du site, ce sera l'occasion de regrouper et surtout d'étendre l'ensemble de ses activités.

Ses agences de communication, de création d'identité, de production urbaine ainsi que la galerie d'art contemporain. Cette dernière devrait occuper le rez-de-chaussée, aux côtés de celle d'Olivier Houg. L'agence de publicité DDB Nouveau Monde, présidée par Franck Solomiac, devrait s'installer à l'étage au dessus. Tandis qu'au dernier niveau, toute l'équipe de Francom se réunit. « Nous accueillerons aussi le consulat des Seychelles », confie Florence Verney-Carron, consul honoraire de l'archipel. En tout 40 salariés travailleront sur le nouveau site.
L'an dernier, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 9,2 millions d'euros et une marge brute - bénéfice - de 3,8 millions d'euros.

Caroline Auclair
cauclair@leprogres.fr

Le Progrès jeudi 5 avril 2007

Les Docks attisent les convoitises

Le pavillon 8, situé à l'extrême Sud du futur quartier de Confluence pourrait accueillir le siège de GL Events aujourd'hui situé à Brignais, au Sud de Lyon.

Si rien n'est aujourd'hui signé, le groupe cotée en bourse, présidé par Olivier Ginon, qui emploie 3000 colaborateurs dans le monde, pourrait profiter d'un site exceptionnel doté d'une visibilité optimum L'autoroute du Sud est à deux pas.

Dessiné par Odile Deck et Benoit Cornette, ce programme de 6000 mètres carrés s'attache à reprendre à son compte en la réinterprétant l'architecture industrielle. Il est composé de deux parallélépipèdes désaxés mais non totalement perpendiculaires. Au centre, on retrouve un atrium ainsi qu'un plan d'eau intérieur.



La chaîne Euronews pourrait lorgner sur ce bâtiment car sa direction est à la recherche d'un site similaire et d'une surface équivalente.



Caroline Auclair

Description du pavillon 8

Entre Rhône et Saône, les docks sont une histoire interrompue. C'est aujourd'hui une autre histoire qui commence : le quai de l'art, les docks des arts.

La reconversion du quai Rambaud et de ses docks avec le développement de nouveaux bâtiments, c'est l'installation de nouveaux programmes dédiés à la culture, à la détente et à la promenade ; c'est aussi garder le lien avec l'histoire industrielle du lieu, à l'imaginaire qui lui est lié sans jamais le renier.
La typologie des bâtiments des bâtiments des docks conservés est singulière, accompagnée des constructions aériennes en structure métallique des ponts roulants encore présents, leur vocabulaire architectural participe de la mise en scène du port comme de celle de la reconversion de sa berge.
Par la mémoire des mouvements et transferts des marchandises, ces ouvrages métalliques marquent l'échelle et symbolisent le rythme du parcours. Leur mise en lumière participera de la scénographie de la mémoire comme de l'histoire présente.


La construction du pavillon s'inscrit dans une architecture singulière et reprend à son compte mais en la réinterprétant l'architecture industrielle. Constitué de deux parallélépipèdes désaxés mais non totalement perpendiculaires, l'espace du pavillon se déroule autour d'un atrium et au-dessus d'un plan d'eau intérieur qui reprend à son compte dans le bâtiment la présence du fleuve à proximité. Les planchers successifs, depuis le niveau inférieur - niveau du fleuve- ouvrent par leur décalage des perspectives sur l'eau. Plus encore, le volume supérieur en bord àfauxjusqu'en limite du quai, offre la vue panoramiquesur le fleuve. Portés sur trois poteaux/pylônes contenant un escalier pour l'un, les ascenseurs pour l'autre et des petites salles de réunion pour le troisième, les plateaux du volume supérieur sont suspendus à une nappe et deux méga-poutres tridimensionnelles croisées.

En longeant le quai, sous le volume en porte-à-faux, le promeneur lève les yeux et découvre en contre-plongée l'atrium au-dessus de lui. En baissant les yeux, son regard plonge jusqu'au bassin intérieur, prolongation de l'atrium dans le quai , sous un plancher de verre.

Le bâtiment des Douanes avance... !

Je recherche des informations sur le projet de port de plaisance sur le port Rambaud. Si j'ai bien compris, le projet s'est transformé en une simple halte fluviale à l'intérieur de la place nautique: ou bien est-ce que l'idée d'un port de plaisance est seulement repoussé à plus tard? La première concertation sur Lyon confluence avait montré que le port de plaisance plaisait (!) beaucoup, c'est pour ça que je m'étonne que l'idée ait complètement disparu.
Merci d'avance

Effectivement, la dénomination est bien HALTE FLUVIALE qui permettra l’amarrage de bateaux de plaisance pour une durée maximale de 48h.
Sur les ports de plaisance, les bateaux peuvent rester beaucoup plus longtemps... ! (il existe certainement des tarifications genre abonnements à l'année).

Par contre, je n'ai pas le souvenir, qu'en début de projet, la darse devait comporter un port de plaisance... J'ai toujours entendu parlé de Halte fluviale uniquement... Je ne sais plus combien d'emplacements sont prévus... ! Il faut rechercher cela...

En fait, le projet remonte à très loin... En 1997, au moment de la concertation entre VNF et la Courly au sujet de l'aménagement du Port Rambaud, l'idée d'un port de plaisance paraissait la plus probable: dans le Progrès du 13 avril 1997, on peut lire: "un espace sur lequel l'établissement public (VNF) souhaite voir se développer des activités liées à l'eau et un port de plaisance. Et si ce n'est pas un grand port, étant donné la superficie du site, il faudrait au moins un mini port car ici, précise M. Fay (responsable de VNF) transitent 2000 bateaux de plaisance chaque année."
Par la suite, le projet est signalé lors des expos de concertation du Grand Lyon et approuvé par les habitants.
Ensuite, il disparaît... pour réapparaître sous forme de halte fluviale dans le bassin
...d'où ma question précédente!
En tout cas, merci beaucoup!

Quand l'eau arrivera t'elle dans la darse ?

Je ne connais pas le calendrier previsionnel... Quelqu'un le connais t'il?

En attendant voila un article trouvé au sujet de la possible installation d'Euronews au Confluent:


Euronews se verrait bien au Confluent

On la disait en partance pour Bruxelles. Mais la chaîne d'information européenne Euronews, aujourd'hui à l'étroit dans les locaux qu'elle occupe depuis 1993 à Ecully, se verrait mieux au Confluent (Lyon 2e). Mercredi dernier, Mickaël Peters, le directeur de la chaîne, a rencontré à la CCI le responsable du groupe immobilier Cardinal, chargé de commercialiser les deux derniers immeubles du programme des Docks.En quête d'une meilleure visibilité à Lyon, la chaîne est très intéressée par cet emplacement, qui accueillera à partir de l'an prochain plusieurs sièges de médias locaux, comme le Progrès, TLM ou Radio Espace. « Sur le papier, le Confluent serait l'idéal pour rendre la chaîne plus visible. Car ce quartier est la nouvelle vitrine de Lyon. Mais ce n'est qu'une hypothèse parmi d'autres », indique Mickaël Peters. En effet, la chaîne a ses propres contraintes, comme le transport de ses 350 salariés, 24 h/24 et sept jours sur sept. « La ville de Lyon doit leur offrir plus de places de parking que ce qui est prévu », plaide le député UMP Emmanuel Hamelin, spécialiste des questions d'audiovisuel et ardent militant de l'implantation d'Euronews au sud de Lyon. « Au Confluent, les ressources limitées en parking seront partagées entre les entreprises et les activités. Mais le problème du stationnement n'est pas rédhibitoire », estime-t-on au Grand Lyon, qui a aussi proposé à Euronews un terrain à Vaise (9e) ou qui est prêt à autoriser l'agrandissement des locaux d'Ecully. Reste qu'Euronews doit se décider vite. Le groupe GL Event serait lui aussi intéressé par les futurs bâtiments des Docks.

F. C.


20 Minutes, éditions du 10/04/2007 - 23h17

Nouvel article du Progres:

Un pool radio à Confluence

En décembre 2008, Espace group, présidé par Christophe Mahé rejoindra le site de la Confluence au sein d'un immeuble à l'esprit «docks»


«J'ai été séduit par le projet de Confluence en 2002 », affirme Christophe Mahé, président d'Espace group, propriétaire de radios dont radio Espace, Fréquence Jazz ou encore Couleur 3. Un groupe qui ne compte pas moins de 140 salariés dont 90 à Lyon. A l'époque, peu de chefs d'entreprises croient en ce no man's land.
L'homme, réputé discret, rencontre Gérard Collomb et Alexis Perret, conseiller technique du président de la Communauté urbaine de Lyon, en charge de l'élaboration et de la mise en oeuvre de la stratégie de développement urbain de l'agglomération lyonnaise. Un duo qui se révèle alors particulièrement convaincant.
C'est le cabinet d'architecture villeurbannais, AAMCO qui est retenu pour élaborer le projet. La façade de béton sera habillée d'une double peau, végétale et minérale. « L'architecte Laurent Veauvy a choisi d'utiliser au mieux la lumière, la nuit, en ornant la façade d'une véritable sérigraphie. « L'immeuble d'Espace group fait partie d'une nouvelle génération de bâtiments », explique Jean-Christophe Larose, promoteur du projet. Il prend en compte la norme HQE, haute qualité environnementale ainsi que RT 2005, une autre nouvelle norme.
« Pour les respecter, nous sommes contraints de réaliser l'isolation de la construction par l'extérieur », poursuit le promoteur. Pour ce dernier, ce projet reste emblématique parce qu'il va accueillir un média. « Un dossier compliqué car la technique est omniprésente partout ». Selon lui, l'immeuble pourrait aussi bien s'intégrer à Amsterdam qu'à Berlin, des villes réputées pour leur avant-gardisme en terme d'architecture. Deux des façades surplombent les jardins aquatiques, deux ont une vue plus urbaine. Les deux premières déclineront le thème de l'herbe et les deux autres s'inspireront de lignes de chemin de fer. D'une surface totale de 5 000 mètres carrés, l'immeuble sera composé de trois niveaux. Le rez-de-chaussée sera doté d'un auditorium de 100 places assises, conçu comme un véritable plateau de télévision ainsi que de studio live de diffusion ouvert au public.
Quant au dernier étage, il est destiné à la direction et aux services administratifs.
En tout l'investissement devrait atteindre entre 8 et 10 millions d'euros.

Caroline Auclair
cauclair@leprogres.fr



Repères

> Espace group
En 1984, Christophe Mahé crée Classique FM. Il fonde en 1987, une agence de communication, baptisé 1515. En 1996, deux nouvelles radios complètent l'offre : Fréquence Jazz et radio Espace. En 1997, il acquiert Couleur 3. Puis en 1999, c'est ODS, présente à Annecy, Bellegrade, Belley, Chambéry, Cluses et Oyonnax, qui entre à son tour dans le giron.

Pour illustrer cet article, voilà un rendu de ce que sera la bâtiment... !

Et voilà quelques clichés de ce jour... Autour des chantiers...













Les bâtiments SNCF :







Plan du PRS 3 :



La Darse coté Est :

Merci pour toutes ces photos!

Voici un article du Progrés qui confirme la construction d'un Hotel Marriott 3 étoiles de 180 chambres. Il existe egalement un autre projet d'hotel au Confluent.

« Nous avons changé de division en terme de tourisme d'affaires »

Jean-Michel Daclin, vice-président du Grand Lyon et adjoint chargé du rayonnement international annonce la construction, après des années de suspense, d'un Marriott de 180 chambres à Confluence


>> Quel rang occupe Lyon en termes de tourisme d'affaires ?
Si l'on prend en compte le nombre de manifestations, Lyon est passé de 2004 à 2005 de la 77e à la 51e place mondiale et du 29e au 26e rang européen. En France, Lyon est toujours été troisième, derrière Paris et Strasbourg.
>> À combien évalue-t-on les dépenses quotidiennes d'un homme d'affaires à Lyon ?
Durant un grand congrès national, il dépense entre 200 et 250 euros par jour. En 2006, on a comptabilisé 5,27 millions de journées passées en ce qui concerne les manifestations et 1,744 million pour les congrès.
Des chiffres en forte hausse mais c'est surtout la durée de séjours qui s'est consi-dérablement allongée. Ainsi au lieu de séjourner en moyenne 2,9 jours, les touristes restent 3,66 jours en moyenne aujourd'hui, selon une étude que vient de réaliser KPMG.
>> Et ça rapporte combien à Lyon ?
Dans la même période, on est passé de 190,7 à 259,9 millions d'euros. Soit une progression de 36 %. Et 2007 s'annonce bien Nous avons changé de division en terme de tourisme d'affaires.
>> Et le réceptif suit ?
Nous connaissons au-jourd'hui des problèmes de logistique notamment en ce qui concerne les trans-ports en commun mais aussi les taxis.
Nous venons de passer un accord avec Kéolis afin que les congressistes disposent d'un pass spécial. Nous notons aussi un déficit d'accueil à l'aéroport et au sein des gares. Et puis il est parfois difficile d'arriver à faire déjeuner ou dîner 5000 personnes à la fois.
>> Quel bilan tirez-vous de l'ouverture de la salle 3000 ?
Elle nous a beaucoup apporté de part son activité propre mais elle contribue aussi à améliorer l'image de la ville.
Elle joue aussi un rôle de vitrine. La personne en charge du développement de Lyon à Londres affirme que Lyon a le bon profil pour séduire.
C'est une ville moins show off que ses concurrentes de la Côte d'Azur.
>> Les hôtels haut de gamme ne sont-ils pas trop peu nombreux ? Avez-vous des solutions ?
En 2006, la demande a augmenté de 7 %, en volume, pour les quatre étoiles. Nous allons vivre une période transitoire mais c'est fait, Marriott, va construire un hôtel 3 « étoiles plus » à Confluence composé de 180 chambres.
Il existe aussi deux autres projets à l'Antiquaille et à Confluence.
>> Continuez-vous aujourd'hui
à prospecter ?
Oui bien sûr. Au Mipim, des rencontres intéressantes ont eu lieu avec des hôteliers et je m'apprête à partir à Dubaï pour rencontrer des in-vestisseurs.
Le monde politique a enfin pris conscience de l'im-portance du tourisme d'affaires pour cette ville.

Propos recueillis
par Caroline Auclair

D'autres photos de ce jour 24 avril 2007 !







On creuse toujours le bassin nautique !





Un batiment qui devrait être détruit (on voit une pancarte de permis de démolir)

aaa c'est très bien qu'il soit démolis, il fait tache depuis l'autoroute

Le coup de jeune de la patinoire Charlemagne

Après une année et 5,2 millions d'euros de travaux, la patinoire new-look a été inaugurée hier avec notamment une démonstration des patineurs Isabelle Delobel et Olivier Schoenfelder

A l'instar d'un Confluent relooké pour l'avenir, la patinoire Charlemagne a subi son premier lifting après quarante ans de bons et loyaux services. C'est en effet en 1967 que Louis Pradel, qui ambitionnait d'accueillir les Jeux Olympiques à Lyon, lança les travaux de cette patinoire, alors accompagnée des piscines de Vaise et Mermoz.
N'ayant connu aucuns travaux majeurs depuis l'ouverture au public en 1969, la structure affichait clairement une certaine vétusté depuis quelques années. « Des gouttes d'eau coulaient régulièrement du toit et détérioraient la qualité de la glace.

C'est réussi
Aujourd'hui, ce problème de condensation a disparu et le complexe est magnifique », note ainsi Muriel Zazoui, entraîneur des patineurs Olivier Schoenfelder et Isabelle Delobel, champions d'Europe en février à Varsovie. Ceux-ci ont d'ailleurs participé à l'inauguration officielle de Charlemagne, hier après-midi, en offrant cinq minutes de démonstration aux 200 spectateurs présents - après une exhibition de jeunes hockeyeurs du LHC - et en recevant du maire de Lyon Gérard Collomb la médaille de la ville.
Enthousiaste, la patineuse estimait simplement qu'« on peut faire de beaux événements ici ». Les hommages fusaient ensuite de toute part pour cette rénovation de l'architecte Lyonnais Laurent Bansac, ancien hockeyeur à la patinoire Charlemagne.
Le maire du 2e arrondissement Denis Broliquier soulignait notamment « que le voisinage ne se plaignait plus de nuisances sonores ». Au total, 5,2 millions d'euros ont permis en une année de rénover entièrement la toiture, les installations de ventilation et de chauffage et une nouvelle production de froid pour la glace en réduisant la pollution. Gérard Collomb se montrait particulièrement satisfait « de cette deuxième jeunesse offerte à cette patinoire qui accueille 140 000 personnes par an. Elle retrouve à présent tout son éclat et augure de belle manière le pôle du Confluent ». Une rénovation qui pourrait peut-être aboutir un jour à des Jeux Olympiques à Lyon
Jérémy Laugier



Un complexe aquatique à venir ?

Le maire de Lyon Gérard Collomb a profité d'un zoom sur le Confluent hier pour annoncer, en plus de gymnases omnisports et du stade Sonny Anderson, « la future construction d'un complexe aquatique du côté du Marché Gare dès le début du prochain mandat ». Les travaux d'une piscine olympique et d'un bassin ludique pourraient démarrer fin 2008, début 2009, le cas échéant

J. L.

Source: Le progrés

Situation de la Place des Archives :



En vert les deux immeubles de bureaux prévue et en rouge l'enplacement du futur parking souterrain :



Projet d'ensemble :


- Création d'une place, traversée par les vélos, les transports en commun ( dont le trammay à 10km/h ) et les voitures ( à 30km/h maximun ).
- Déviation d'une partie du trafic routier vers le pont Kitchener via le quai Rambaud.
- Le dépose munite du parking souterrain évitera les stationnements sauvages.
- Plantation de dizaines d'arbres et d'arbustes dont différentes variétés de pins.
- Pose d'un sol en pierres calcaires.
- Instalation de bancs en bois ainsi que de fontaines.
- 1 parking souterrain.
- 1 mur végétal le long des rampes d'accès.
- Une voûte ouest plus accessible avec la création de 300 mètres de pistes cyclable pour mieux relier la place carnaux et la place des archives.
- CREATION DE 2 IMMEUBLES DE BUREAUX de 7 niveaux avec une hauteur de 25 mètres environ:
- Time Square : 3 567 mètres carrées de surface.
- Espace confluence : 3 580 mètres carrées de surface.


Chiffres :

- 6 500 mètres carrées d'espace public ( un peu moins qu'un terrain de football ) .
- 94 sources d'éclairage.
- 632 places de parking dont 58 de courte durée, 12 places pour personnes handicapées, 10 places pour voitures électriques, 60 places vélos et 20 places motos.
- 25 mètres de profondeur ( 1 immeuble de 5 étages ).
- 30 vélos à la station Vélo's.

sources: panneaux d'informations devant les archives municipales

Rendus :





sources: panneaux d'informations devant les archives municipales

La place des archives vers l'ouest :

Rendus :


sources: panneaux d'informations devant les archives municipales

En février 2006 :



Le 4 Mai 2007 ( panorama maison ) :





La place des archives vers l'est :

Rendu :


sources: panneaux d'informations devant les archives municipales

En février 2006 ( avant la démolition des immeubles ) :



En Mars 2006 ( démolition en cours ):


sources: panneaux d'informations devant les archives municipales


Le 4 Mai 2007 :

Merci pour toutes ces belles photos PerfectShoot ! et je te le dis ici, Bienvenue à Toi sur Lyon Urbanisme !!!
Il y'a un petit moment que je ne suis pas passé Place des archives mais ça m'a tout l'air de bien bouger !!! Tant mieux !!

24-05-2007
24 mai - Conférence ponts, voies navigables et passage des fleuves

Maryannick Chalabi, conservateur en chef, service de l'Inventaire, anime le 24 mai, 18 heures, à la Maison de la Confluence une conférence sur les ponts, voies navigables et passage du Rhône et de la Saône.
Entrée libre. Renseignements : 04 78 38 74 17.

Un stade pour Sonny

C’est dans une ambiance chaleureuse que Sonny Anderson, l’ancien avant-centre brésilien de l’OL, a inauguré hier après-midi le stade portant son nom dans le quartier du Confluent en plein réaménagement. Agé de 37 ans, Sonny Anderson fêtera son jubilé lundi 11 juin au stade Gerland en présence de ses compatriotes, notamment Ronaldinho (FC Barcelone) et Bebeto.

Source:
http://www.metrofrance.com/fr/article/2007/05/31/08/5607-37/index.xml

Confluence : la place nautique prend déjà l'eau

Bonne nouvelle, alors qu'un tiers seulement de la terre a été évacué, la nappe phréatique pointe déjà le bout de son nez sur le chantier. Dans deux ans, une fois achevée, cette place Nautique, centre de la Confluence, sera presque aussi grande que la place Bellecour


C'est un bien beau trou qui a été visité hier par Gérard Collomb, de passage à la Confluence. Un trou d'environ dix mètres sur dix et profond d'un mètre cinquante. Un trou pour moitié empli d'eau. Mais attention pas de n'importe quelle eau, puisque celle-ci était en provenance directe de la nappe phréatique. Une eau précieuse en quelque sorte, que le maire de Lyon a pieusement puisée à l'aide d'un seau rose pour mieux admirer sa limpidité.
Que d'histoires pour un seau d'eau ? Peut-être. Il n'empêche, ce trou, cette flaque, préfigure ce qui sera en 2009 la place Nautique, à savoir le centre d'attraction du futur quartier de la Confluence. Pour donner une idée de ses proportions, précisons qu'avec son bassin de deux hectares et ses quais d'une surface analogue elle sera à peine plus petite que la place Bellecour.
Flanquée au sud par le pôle de loisirs et son centre commercial et au nord par les premiers immeubles d'habitation, elle sera directement reliée à la Saône. Mais pour cela, il faudra attendre le printemps 2008, soit le temps nécessaire pour finir d'extraire 175 000 m3 de terre -un tiers a déjà été évacué depuis l'ouverture du chantier, le 16 octobre dernier. Et, surtout, de continuer à installer les parois moulées qui plongent à dix mètres de profondeur. Une opération qui a débuté au cours de ce printemps et sera achevée à la fin de cet été.
« Les choses avancent »
Le temps de commencer à installer, aussi, les deux passerelles qui traverseront le bassin et d'enfin aménager le pertuis permettant l'accès à la rivière. A la suite de quoi, il faudra encore un an de travaux pour procéder aux finitions.
Pendant ce temps-là, que ce soit au sud ou au nord de la place, le paysage aura bien changé. En effet, si à l'automne le maire a déjà prévu d'inaugurer le nouveau siège du Progrès, rue Montrochet, les travaux du pôle de loisirs vont débuter ce mois (livraison 3e trimestre 2009). Alors que, de l'autre coté de la darse, les travaux de terrassement des deux premiers îlots d'habitation vont également commencer.
« D'ici à cet hiver, les grues peupleront le ciel » se réjouissait hier Sylvie Josse, chef de projet. Alors qu'en se frottant les mains, le maire lançait : « Les choses avancent ». Avant de se tourner vers le marché-gare et d'annoncer qu'après le déménagement prochain des grossistes, « il sera temps de s'attaquer à la seconde tranche de la Confluence ».
R.R

Source: Le Progrés

Je tente d'aller faire un ou deux clichés avant la fin de la semaine !!! Concernant la darse... !

Sinon autre petits articles différents sur le site de Lyon Confluence :

30-05-2007
Inauguration du stade Sonny Anderson



Mercredi 30 mai a été inauguré, par Gérard Collomb et en présence du footballeur, le stade Sonny Anderson. Situé à l'angle du cours Bayard et du quai Rambaud en face des collines arborées de Sainte-Foy, cet équipement sportif conçu par Jean-Jacques Hollard est l'un des premiers du nouveau quartier de La Confluence.

09-06-2007
Visites des chantiers

Découvrez La Confluence pas à pas en participant aux visites guidées des chantiers les samedis 9, 16 et 23 juin.
Départs réguliers à partir de 10h jusqu'à 17h depuis la Maison de la Confluence, 102 cours Charlemagne.
Renseignements et réservations : 04 78 38 74 00, info@lyon-confluence.fr

Est ce que des personnes pourraient être intéressés ??

Encore un article sur la place nautique:

Lyon-Confluence : extraction «des premières eaux» de la place nautique

La future place nautique du quartier de la Confluence à Lyon a franchi une nouvelle étape ce lundi. Le maire de la Ville a récupéré les «premières eaux» du grand bassin autour duquel va s’organiser la vie du site qui se veut à la fois aquatique, vert et attractif. Focus !

Promoteurs, chefs d’entreprise et journalistes étaient présents lundi pour assister à l’extraction des «premières eaux» du futur grand bassin de plus de 2 mètres de profondeur de la place nautique du quartier de la Confluence à Lyon.

Pour l’instant, il ne s’agit que d’un trou d’environ 10 mètres sur 10 et profond d’1 m 50 rempli d’eau à moitié mais d’ici 2009, la place nautique prendra la forme d’une véritable petite rivière qui entre dans la ville. Ce lieu s’organisera donc autour du bassin qui aura une surface de 2 hectares, une profondeur d’environ 2 mètres et des quais piétonniers qui s’étendront sur près de 900 mètres. Le quai du nord, large de 28 mètres, hébergera des immeubles d’habitation et celui du sud, large de 17 mètres, abritera un pôle loisirs et des commerces. «La place nautique sera vraiment l’endroit autour duquel les projets vont se construire», a souligné, Gérard Collomb, le maire de Lyon lors d’une conférence de presse.

«La Confluence, objet d’attractivité et de plaisir»
En effet, «ce parc portuaire» va devenir l’élément central de la Confluence. Des passerelles vont être installées pour passer d’une rive à l’autre : une de 17 mètres de portée et de 4 mètres de hauteur au dessus du niveau de l’eau qui assurera la continuité de la promenade des quais de Saône et une seconde qui engendrera le bassin au centre. De plus une petite halte fluviale sera aménagée pour les bateaux de plaisance. Gérard Collomb s’est félicité de la progression et du dynamisme du projet : «ce qui était hier l’objet d’industrie est aujourd’hui l’objet d’attractivité et de plaisir notamment pour des entreprises comme Eiffage et Elyo qui ont prévu d’y installer leur siège», a-t-il déclaré.
La cohérence du projet a été confiée à l’architecte urbaniste François Grether et au paysagiste Michel Desvigne.

A noter qu’il faudra attendre le printemps 2008 pour finir l’extraction des 175.000 m3 de terre de la place nautique, l’installation des parois moulées qui plongent à 10 mètres de profondeurs et la pose des passerelles. Et il faudra encore un an de plus pour peaufiner les travaux. La fin du chantier est prévue pour 2009.

La réalisation de la place nautique fait partie de la première phase des travaux du quartier de la Confluence qui comprend également la construction de nombreux programmes immobiliers et d’espaces publics. Toute cette première étape de 41 hectares devrait s’achever à l’horizon 2015. Une deuxième phase de travaux est déjà en cours avec le lancement d’appels d’offres pour l’urbanisme, l’architecture et le paysage, la programmation et la concertation et le déplacement.

Diaporama:


Le quartier de la Confluence est situé au sud de la presqu’île lyonnaise (l’hyper centre de l’agglomération). Occupé jusqu’ici par des activités industrialo –portuaires et logistique et quelques habitations, la Confluence a pour objectif de devenir le nouveau quartier tendance de Lyon


Ce nouveau quartier sera doté d’une place nautique. Ci-dessus, on peut voir le maire de la Ville, Gérard Collomb, en train de récupérer les premières eaux du futur bassin à l’aide d’un seau rose pour mieux distinguer la limpidité de l’eau. Cette eau provient directement de la nappe phréatique


Le bassin du port, qui aura une profondeur de 2,2 mètres, nécessite l’excavation de 175.000 m3 de terres. A ce jour, près d’un tiers des terres ont été extraites, soit 50.000 m3.


La réalisation de cette grande place publique devrait encore durer deux ans pour une livraison en 2009.


Ci-dessus à gauche, le maire de Lyon Gérard Collomb, qui a annoncé que «d’ici la fin de l’année, les bâtiments vont commencer à se construire»


La première phase des travaux concerne 41 hectares dont 11 hectares de surfaces construites, 29 hectares d’espaces publics et 17 hectares d’espaces verts.


Les 900 mètres de quais seront surtout à destination des piétons et des badauds


Deux passerelles piétonnières vont être installées pour passer d’un quai à l’autre. Début des travaux prévus en septembre 2007


Le coût total des investissements pour la première phase des travaux est de 1,145 milliard d’euros


En plein cœur de la zone nautique, se situera un pôle loisirs et de commerces. Architecture originale pour ce pôle dont le toit sera en structure gonflable et animé de projections lumineuses





Détails techniques sur le creusement du bassin nautique

Tout d’abord, il faut savoir que l’eau du futur bassin provient de la nappe phréatique et non des fleuves de la ville. Ensuite, pour réaliser ce bassin, il faut retirer un mètre de terre «hors d’eau», puis excaver, par dragage, 2,2 mètres de terres immergées dans l’eau, pour atteindre le niveau souhaité du bassin. A l’issue de cette étape (fin 2007), le bassin atteindra 2,2 mètres de profondeur. Il restera alors à ouvrir sur la Saône, en bâtissant un pertuis, une voie d’accès pour les bateaux de la future halte fluviale. L’ouverture sur la Saône sera réalisée au printemps 2008.


Source:
http://www.batiactu.com/data/05062007/05062007-164557.html

De l’aluminium anodisé pour la nouvelle façade du Progrès

Source : Batiactu

Le futur siège du journal Le Progrès et de Télé Lyon Métropole sera le premier bâtiment à ouvrir en novembre sur le site Lyon Confluence, dans le programme de reconversion des «Docks». Sa façade en aluminium anodisé avec stores brise-soleil intégrés est en cours de brevetage.



«Nous voulions créer une nouvelle génération de bureaux en abandonnant le mur rideau au profit de la façade porteuse,» explique l’architecte Iwan Ponsonnet, du cabinet d’architecte Xanadu, qui a imaginé le projet. Les deux volumes parallélépipédiques du bâtiment ont effectivement été réalisés avec des façades porteuses et des dalles de grande portée, sans poteaux intermédiaires.

L’originalité du chantier réside surtout dans la façade en aluminium imaginée par les architectes. «Nous souhaitions rappeler les docks et les containers emblématiques de ce site,» confie Iwan Ponsonnet. Il fallait donc trouver une solution de pérenne à un coût accessible. L’inox brillait était un matériau trop brillant, les architectes ont ainsi opté pour l’aluminium anodisé deux faces. Les 4.000 plaques en aluminium anodisé de format 163,5 x 90 et pixellisées par des perforations de 10 à 20 mm, rappellent ainsi les plaques offset utilisées par les imprimeurs de journaux.



Inertie thermique
La conception même de la façade correspond elle-aussi au secteur d’activité qui l’occupera bientôt. «Un immeuble de bureaux classique est occupé 50 heures par semaine, seulement les jours ouvrables. Mais un bâtiment abritant un quotidien de presse est ouvert toute l’année, sept jours sur sept. Partant de cette idée, il était intéressant de profiter du principe de l’inertie thermique,» analyse Iwan Ponsonnet. La façade porteuse est réalisée en béton de 45 cm d’épaisseur, doublée d’une isolation extérieure de laine de roche, d’un pare-pluie et de la vêture en aluminium.

Les ouvertures en façade sont occultées par des stores mécanisés à un pli horizontal. En position fermée, on ne peut distinguer les vides et les pleins. Ouverts, les stores agissent comme des brise-soleil. «Le soleil s’infiltre par le premier trou, puis vient taper dans la face intérieure du store, de façon à rejeter la lumière qui se reflète sur le plafond de la pièce.»

La façade en aluminium anodisé avec les stores intégrés fera bientôt l’objet d’un brevet. Les travaux devraient durer encore six mois, et le bâtiment sera le premier chantier à être inauguré sur le site Lyon Confluence.

DIAPORAMA : http://dev2.batiactu.com/diapo/1603_de-laluminium-anodise-pour-la-nouvelle-facade-du-p.php

moi qui aime les métaux je pense être comblé une fois le batiment terminé !