AEROPORT DE LYON - ST EXUPERY

Lufthansa étudie l'ouverture d'une ligne Lyon-Stuttgart

La compagnie allemande ajoutera en avril une cinquième liaison quotidienne entre Munich et Saint-Exupéry. Elle relie aussi Lyon à Francfort et Düsseldorf

La ligne aurait pu faire recette hier pour le déplacement de l'OL, mais elle n'est encore qu'à l'étude : Lufthansa envisage d'ouvrir une liaison entre Lyon et Stuttgart. « Ce ne serait pas avant le programme d'été, c'est-à-dire le mois d'avril, mais la décision n'est pas prise » a confié hier à Lyon, Axel Hilgers, le directeur général de Lufthansa France et Benelux, qui estime que bien qu'Air France assure déjà cette liaison, le marché pourrait permettre à la compagnie allemande d'assurer plusieurs vols quotidiens. Les liens avec l'aéroport Saint-Exupéry qui est pour Lufthansa la deuxième escale française après Paris, par ordre d'importance, en seraient resserrés. Elle est déjà la première compagnie aérienne étrangère de la plate-forme avec quatre fréquences quotidiennes avec Francfort, trois avec Dusseldorf, quatre, et cinq dès le 30 mars, avec Munich. Ces destinations ne sont pas une fin en soi, car la compagnie joue à fond la carte de ses trois « hubs » nationaux pour proposer 188 destinations internationales. 89 % des 171 345 passagers qui ont pris des avions Lufthansa en 2006 au départ de Saint-Exupéry sont allés au-delà de l'Allemagne par le jeu des correspondances. Pékin, Shanghai, Delhi, Moscou, Tel Aviv, Istanbul, Los Angeles, New-York, San Francisco ont été les destinations préférées des « Lyonnais ». La compagnie dont le nombre de passagers a augmenté de 5,6 % au cours des neuf premiers mois de l'année dispose d'une flotte de 430 appareils qui va s'étoffer ou se renouveler d'ici cinq ans avec la commande de 170 nouveaux avions. Son directeur général France se dit serein après l'annonce de l'ouverture d'une ligne directe Lyon/New-York en juillet par Delta, en partenariat avec Air France.

François Samard
Source: Le Progrés

Un projet de vol Lyon-Dubaï

La direction de l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry planche sur un projet de liaison Lyon-Dubaï. L'ouverture d'une ligne Lyon-Moscou doit être prochainement officialisée



La Chambre de commerce et de l'industrie de Lyon travaille sur le projet de liaison Lyon-Dubaï avec la compagnie Emirates. Plus qu'une destination, ce lien avec Dubaï devrait permettre aux passagers s'envolant de Saint-Exupéry de se rendre en Asie via un des plus grands hubs mondiaux. Aujourd'hui, Dubaï est accessible via Genève, Roissy et Nice où sont programmés trois vols hebdomadaires. L'aéroport de Dubaî a enregistré l'an dernier autour de 30 millions de passagers.
L'aéroport international d'une capacité d'accueil de 70 millions de passagers, sert de plate-forme de correspondance à la compagnie aérienne Emirates. Un second aéroport, le Dubaï World central international airport est actuellement en construction au sud de Jebel Ali. D'ici là, une liaison entre Lyon et Moscou doit voir le jour. Assurée par la compagnie Transaero, son ouverture doit être officialisée la semaine prochaine.

C.A. et F.S.

Source: Le Progrés

Le Kremlin, c'est moins loin


Et maintenant, Moscou ! Deux semaines après l'officialisation d'une liaison sans escale entre Lyon et New York par Delta Airlines, la compagnie russe Transaero a annoncé qu'elle lançait à partir de samedi la première ligne aérienne directe entre Lyon et la capitale russe. Le vol sera hebdomadaire jusqu'à la fin de l'année. En 2008, cette compagnie privée créée en 1991 opérera un aller-retour entre Saint-Exupéry et Moscou-Domodedovo le mercredi et le samedi.

Inaugurée quelques semaines avant l'ouverture des domaines alpins, cette liaison vise d'abord la clientèle des skieurs russes qui transitent aujourd'hui par Paris, Francfort, Genève ou utilisent des charters. « La première année, 80 % des clients de cette ligne seront russes », estime Boris Gulnitsky, directeur général adjoint de Transaero, troisième compagnie russe en nombre de passagers. Selon le comité régional du tourisme, Rhône-Alpes a attiré 157 000 Russes en 2006, soit deux fois plus qu'en 2000. Et près de 90 % d'entre eux ont séjourné en Savoie ou en Haute-Savoie. Mais l'aéroport de Lyon espère que de nombreux Lyonnais utiliseront aussi ce vol, permettant ainsi d'en assurer la pérennité. « Avec des fréquences plus importantes, cette liaison va séduire une clientèle affaire. Moscou n'est qu'à trois heures d'avion de Lyon. Il fallait jusqu'à présent une journée entière pour s'y rendre », indique Lionel Flasseur, directeur marketing des aéroports de Lyon. Le potentiel de la nouvelle ligne est aujourd'hui estimé à 80 000 passagers par an.



Frédéric Crouzet - ©2007 20 minutes

Source:
http://www.20minutes.fr/article/191609/Lyon-Le-Kremlin-c-est-moins-loin.php

C'est très bien tout ça !! les lignes se multiplient au départ de Lyon !! ce qui prouve l'attraction de plus en plus importante de notre ville... Et c'est également tant mieux pour les lyonnais qui pourront parcourir le monde à partir de Lyon... (sans passer forrcément par la capitale parisienne... !)

Air France casse les prix au départ de Lyon-Saint Exupéry

Réagissant à l'arrivée d'easyJet, la compagnie nationale met en vente des vols aller/retour à partir de 69 euros TTC vers l'Espagne et 79 euros vers l'Italie. Voyages à partir du 7 janvier



Air France a décidé de répondre avec vigueur à l'arrivée en force d'easyJet à Lyon. La compagnie low-cost qui assure déjà cinq liaisons en ouvrira, en même temps qu'elle implantera une base locale, sept nouvelles au printemps. Première réaction : Air France a mis en vente depuis le 28 octobre des vols avec un prix d'appel à 79 euros TTC l'aller-retour vers Madrid et Barcelone.
Hier, Bernard Bazot, le directeur régional d'Air France a annoncé que la compagnie allait encore plus loin. Pour des billets achetés depuis hier pour des voyages effectués à partir du 7 janvier 2008, les tarifs de ces deux destinations espagnoles baissent encore. Le prix d'appel est désormais de 69 euros TTC. Simultanément, les dessertes vers trois villes italiennes (Rome, Bologne et Venise) sont accessibles dès 79 euros TTC l'aller-retour. Un changement d'appareil renforce de 10 % la capacité en sièges vers Rome tandis que le premier vol quotidien du Lyon/Venise bénéficie d'un aménagement d'horaire (8 h 55 pour une arrivée à 10 h 05) afin d'améliorer l'amplitude d'un aller-retour dans la journée. Toujours en aller-retour, les villes allemandes de Düsseldorf, Francfort, Hambourg, Munich, Stuttgart sont affichées à partir de 89 euros TTC tout comme Bruxelles et Copenhague. Amsterdam, Birmingham et Zurich sont accessibles à 99 euros TTC.
Ces offres vont au-delà de la campagne nationale hivernale de la compagnie. Plusieurs des tarifs annoncés sont une exclusivité lyonnaise pour Air France. Ils seront applicables jusqu'à la fin du programme d'hiver fin mars, mais la compagnie laisse entendre qu'elle entend bien se montrer encore très attractive lors de l'instauration du programme été.

F.S.


La concurrence décolle, les prix atterrissent


Air France cherche toujours à soigner sa réputation de compagnie de qualité mais aussi à se défaire de son image de transporteur cher. Selon la compagnie, moins de 10 % des passagers de ses vols paient un plein tarif que de nombreux clients potentiels jugent dissuasif. L'arrivée des compagnies à bas coût oriente toutefois sensiblement les prix à la baisse.
Sur certains vols, la compagnie nationale démontre même qu'elle peut être moins chère que ses concurrents low-cost pour peu que l'on additionne un certain nombre de prestations annexes parfois obligatoires. Le client a donc tout intérêt à prendre sa calculette pour étudier le coût final de chaque vol au cas par cas.
Dans l'immédiat cela est évident, mais tout en décidant de relever le défi du prix lancé par ses concurrents, Air France laisse aussi planer quelques perspectives moins heureuses. Si ses bénéfices devenaient trop réduits sur des destinations lucratives, elle pourrait renoncer à assurer des liaisons beaucoup moins rentables.

Source: Le Progrés

Une nouvelle compagnie aérienne pour Lyon-Copenhague

Transporteur danois, Cimber Air propose six fréquences hebdomadaires

Une nouvelle compagnie aérienne, Cimber Air, opère désormais à Saint-Exupéry pour assurer la liaison entre Lyon et Copenhague. Liaison sur laquelle la compagnie SAS effectue déjà six vols par semaine.
Compagnie danoise créée en 1950, Cimber Air propose également six vols hebdomadaires. Un vol aller-retour tous les jours donc à l'exception du samedi. Le départ a lieu de Lyon à 18 h 20 pour une arrivée à 20 h 30. Dans le sens inverse, le Canadair RJ200LR de 50 sièges décolle de Copenhague à 15 h 45 pour un atterrissage à 17 h 50.
Cimber Air est la deuxième compagnie à Copenhague en termes de vols. Entre Lyon et la capitale danoise, elle offre un service à bord gratuit et un prix promotionnel de lancement à partir de 93 euros TTC l'aller simple.
F. S.

Source: Le progrés

SAS ouvre une ligne Lyon-Oslo en mars prochain

Les vols auront lieu les lundi, mercredi et vendredi

La compagnie SAS vient d'annoncer qu'elle allait renforcer son réseau vers la Scandinavie depuis l'aéroport Saint-Exupéry. Elle ouvrira à partir du 31 mars prochain une liaison Lyon-Oslo avec une fréquence de trois allers-retours par semaine. Les vols auront lieu les lundi, mercredi et vendredi..
L'avion quittera Lyon à 21 h 20 pour atterrir à Oslo à 23 h 55. Dans le sens inverse, il décollera d'Oslo à 18 heures pour arriver à Lyon à 20 h 30.
Les tarifs, sous conditions, en classe économique débuteront, en prix d'appel, à 51 euros TTC l'aller simple.

Source: Le Progrés

Saint-Exupéry : la capacité du parking longue durée va doubler

Le parking P5 doit atteindre 11000 places d'ici l'été. Plus mauvaise nouvelle : l'abonnement annuel au parc de proximité P2 va augmenter de 26%. Explications


L'aéroport de Lyon-Saint Exupéry voit sa fréquentation se développer, notamment avec la montée en puissance des compagnies low-cost et le développement du « Hub » d'Air France. Ses parkings vont suivre le mouvement.
Un nouveau parking souterrain de courte durée de 2000 places doit être livré à la fin de l'année.
Le parking P5 de longue durée va également prendre ses aises. D'ici l'été, sous réserves des autorisations administratives, sa capacité devrait passer de 5500 à 11000 places. Un doublement impressionnant qui en fera l'un des plus vastes parkings d'Europe. Une étape intermédiaire doit porter l'accueil du parking à 7000 places en mars 2008. La fréquence des navettes gratuites de desserte de l'aéroport va par ailleurs être augmentée. Les tarifs de ce parc de longue durée vont subir une révision de 2 % mais surtout le forfait hebdomadaire ne sera plus à l'avenir de 8 mais de 7 jours. « C'est ce qui se pratique dans la plupart des grands aéroports » expliquent les responsables de la plate-forme lyonnaise.
Mais en matière de hausse des tarifs, celle de l'abonnement annuel du parking P2 est d'une toute autre ampleur. Son coût était de 702 euros TTC, il va passer au 1er décembre prochain à 888 euros. L'augmentation est de 26,49 %. Ce que juge « inadmissible », même après l'exécution de travaux, le directeur commercial d'une PME stéphanoise abonné à ce parking. Selon lui, une telle décision fait se questionner « sur la réelle volonté des pouvoirs publics de faciliter les échanges entre la région, les autres régions françaises ainsi que l'international qui est une source indispensable de croissance pour les PME régionales ».

Places réduites au P2
A l'aéroport, tout en soulignant que ce parc n'avait pas subi d'augmentation l'an passé, on justifie cette hausse par une redistribution de la vocation des parkings. On fait valoir que le parc P2, de 700 places, a des accès qui ont été fortement améliorés et que des aménagements plus généraux de l'aéroport ont réduit son nombre de places. Il est considéré désormais comme un parc de grande proximité dont la durée de stationnement n'excède pas une journée. Le prix de celle-ci (de 17 à 24 heures) va augmenter dans des proportions plus mesurées : de 12 à 13 euros. Les abonnés à l'année sont donc invités à se reporter sur le parc P6, un peu plus éloigné mais dont le tarif annuel n'a pas été révisé et demeure de 702 euros. En résumé, pour conserver ce prix d'abonnement, il faut désormais marcher un peu plus. La réponse a sa logique commerciale, mais elle a du mal à satisfaire un homme d'affaire pressé qui accepte difficilement que la prestation qui lui était fournie soit se dégrade, soit lui demande un sensible effort financier.
François Samard

Source: Le progrés

Air France veut rester en position de force à Saint-Exupéry

La compagnie a célébré hier les dix ans du «hub» eurorégional lyonnais. Le nombre de ses destinations a doublé depuis sa création. Son grand atout: la simplicité et la rapidité des correspondances



Entré depuis de nombreuses années dans le langage des habitués du monde aérien, le « hub » tient encore de la terminologie abstraite pour le passager plus occasionnel. En termes plus simples, le « hub » est une plate-forme de correspondances aériennes qui fait des aéroports qui en disposent des plaques tournantes du trafic, leur conférant ainsi un rôle beaucoup plus stratégique et important que les aéroports limités à des trajets de point à point. L'exemple du hub de Lyon-Saint Exupéry est à ce titre exemplaire du dynamisme qu'une telle structure apporte.
En fêtant en grandes pompes hier ses dix ans d'existence, les responsables d'Air France et de la plate-forme aéroportuaire lyonnaise ont dressé un bilan mettant en évidence le parcours accompli depuis le 27 octobre 1997. Pour l'aéroport, Guy Mathiolon, Yves Guyon et Philippe Bernand ont rappelé qu'Air France c'était plus de la moitié du trafic de Saint-Exupéry. Un partenaire qui demeure de toute première importance même si l'aéroport, qui doit atteindre un total de 7,2 millions de passagers en 2007, soit une croissance de 7 % par rapport à 2006, fait désormais une meilleure place aux compagnies low-cost.
En réalisant au cours des années écoulées d'importants travaux d'extension du terminal T2 et en mettant en service il y a deux ans « La Jetée », qui en est un prolongement qui améliore le confort et la rapidité des correspondances, l'Aéroport Saint Exupéry, avec l'aide des collectivités locales, a livré à Air France des équipements propices à son développement et à celui de ses filiales, Brit Air et Régional. Le groupe Air France-KLM a fait pour sa part de Saint-Exupéry un des cinq piliers de son organisation. A sa naissance, le hub lyonnais, le premier hors de Paris, comptait 12 destinations sur deux plages horaires, le soir et le matin. Il en totalise aujourd'hui 45 et une troisième plage horaire a été ajoutée en milieu de journée. Ce sont plus de 3,5 millions de passagers qui utilisent ce « hub » dont 834 000 sont en correspondance. Un chiffre multiplié par quatre au cours de la décennie. Avec des relations avec les grandes métropoles françaises et européennes, ce hub permet plus de 6 000 combinaisons.

Hub « low stress »
Philippe Bernand, le directeur des aéroports de Lyon, et Christian Boireau, le directeur général adjoint d'Air France et directeur commercial France, qualifient le « hub » de Saint-Exupéry de « hub low stress ». Loin des énormes plates-formes européennes, il joue sur sa fluidité et sa simplicité. Le temps moyen de correspondance est ainsi ramené à environ 25 minutes, ce qui tient du record tandis que le taux de réussite des correspondances est de 99 %. Des chiffres qui incitent Air France à vouloir maintenir sa position de force à Lyon.

François Samard

Plusieurs lignes renforcées mais Lyon-Orly presque abandonnée

Un effort sensible va être fait sur les lignes nationales Lyon-Bordeaux et Lyon-Toulouse

L'heure était à la célébration du fort et dynamique partenariat entre l'aéroport Saint-Expéry et le groupe Air France, mais l'ombre des low-cost et d'easyJet en particulier planait. Christian Boireau, le directeur général adjoint d'Air France, a préféré clairement évoqué cette nouvelle donne pour affirmer que sa compagnie entendait « défendre son hub bec et ongles. Nous voulons au minimum maintenir le trafic actuel ».
Il y a une dizaine de jours, Air France avait déjà annoncé une campagne de prix promotionnels depuis Lyon vers L'Espagne et l'Italie notamment, avec certains prix d'appel à 69 euros TTC l'aller-retour. D'autres opérations de ce type seront menées.
Si les prix baissent, l'offre augmente puisqu'elle est progressivement doublée cet hiver entre Lyon, Barcelone, Madrid, Rome et Venise.
Un effort sensible va aussi être fait sur les lignes nationales Lyon-Bordeaux et Lyon-Toulouse. Une fréquence supplémentaire pour la première et avions plus gros pour la seconde au premier trimestre 2008. L'offre va s'accroître de 25 % vers Bordeaux et de 34 % vers Toulouse. Des prix attractifs devraient également être annoncés vers ces destinations qu'easyJet desservira également au printemps.
Soucieuse de son équilibre financier, Air France va cependant, en début d'année 2008, arrêter sa liaison Lyon-Casablanca qui a attiré de nouveaux opérateurs et surtout abandonner, d'ici l'été, cinq de ses six liaisons avec Orly, seule celle permettant une correspondance avec les vols vers les Antilles étant conservée. Christian Boireau parle de réalisme face à la concurrence du TGV qui a fait sensiblement chuter la fréquentation de la ligne. Les vols vers Charles de Gaulle, sources de nombreuses correspondances, sont maintenus.
Air France réagit à la concurrence, mais son directeur général adjoint a précisé que la compagnie n'entendait pas faire un procès à Saint-Exupéry comme elle le fait à l'aéroport de Marseille : « Ici, nous ne jugeons pas que les conditions faites aux low-cost soient disproportionnées par rapport aux services rendus ».
F.S.


Source: Le Progrés

Lyon-New York vedette de l'été d'Air France

La liaison sera exploitée à partir du 18 juillet par Delta mais en partenariat total avec la compagnie française. Air France renforce par ailleurs son offre en sièges de 9 % pour ses destinations au départ de Saint-Exupéry


Annoncée à l'automne dernier pour la mi-juillet, avancée en février le 4 juin, l'ouverture de la ligne Lyon-New York se fera finalement le 18 juillet, avec un départ de la métropole américaine la veille à 16 h 30. Hausse du prix du baril de pétrole, récession aux Etats-Unis, mais aussi taux de réservation modeste pour le mois juin expliquent cette récente volte-face.
La ligne sera exploitée par la compagnie américaine Delta qui a signé une joint-venture avec Air France pour toutes ses liaisons transatlantiques entre la France et les USA. Sales Manager France de Delta, Béatrice de Rotalier précise que sa compagnie n'a pas voulu prendre de risque. L'ouverture de la liaison entre Orly et New York a, elle, été repoussée d'un an. Air France partagera recettes et dépenses de la nouvelle ligne. Bien qu'elle ne soit pas opérée sous ses couleurs, elle constitue donc indéniablement l'événement de son programme lyonnais été 2008. Les billets sont vendus, à un prix identique, par les deux compagnies qui multiplieront les correspondances possibles grâce à leurs hubs respectifs. Cinq vols auront lieu par semaine : il n'y en aura pas le mardi et le jeudi dans le sens Lyon-New York, le lundi et le mercredi dans le sens inverse. Un boeing 757-200 assurera la liaison, offrant 15 sièges en classe Business Elite et 155 en classe économique. Les passagers de la classe Elite pourront bénéficier du salon « Le Patio » qu'Air France ouvrira à Saint-Exupéry au mois de mai.
La réservation est ouverte depuis plusieurs mois mais en raison de son lancement en haute saison, la ligne ne fera pas l'objet de promotion lors de son ouverture. Le prix plancher en classe économique sera de 952 euros TTC. Bernard Bazot, le directeur régional d'Air France-KLM, n'écarte pas la possibilité de prix plus bas après l'été.
Des prix très agressifs, c'est ce que propose en revanche dès maintenant Air France KLM à Lyon sur des liaisons nationales et européennes, dont beaucoup sont par ailleurs renforcées. C'est la réponse au développement d'EasyJet sur l'aéroport lyonnais. Les premiers prix sont ainsi de 48 euros TTC l'aller simple vers Toulouse et Bordeaux, 77 euros TTC l'aller-retour vers l'Espagne ou encore 82 euros TTC l'aller-retour vers l'Italie. « L'aller-retour peut être effectué dans la semaine, sans obligation de passer un week-end sur place et les prix sont tout inclus, nous ne pratiquons pas la politique du mécano tarifaire comme d'autres compagnies », ajoute Bernard Bazot.
Air France poursuit pendant le programme d'été, les liaisons lancées cet hiver vers Birmingham, Hambourg et Florence. Elle ajoute une sixième fréquence quotidienne vers Bordeaux et une septième vers Roissy à partir du 12 mai, ce qui compense la réduction à un seul vol quotidien vers Orly. L'offre en sièges pour cet été, grâce essentiellement à l'utilisation d'avions plus gros, est en hausse de 9 % par rapport à l'été 2007.
En revanche, la liaison Lyon-Budapest qui était opérée, en partenariat avec Air France, par la compagnie Malev, est suspendue.

François Samard

Source: Le Progrés

Je ne sais pas si cette information peut être validée mais en me rendant dans une agence de voyage (Nouvelles Frontières) la semaine dernière pour préparer un séjour à New York en Septembre prochain, le voyagiste m'a indiqué que la nouvelle prochain ligne Lyon/New York (normalement prévue en Avril 08) allait être abandonnée avant même d'avoir vu (à nouveau) le jour....J'espère qu'il était mal informé ou que cela n'est qu'une rumeur car cela serait une bien mauvaise nouvelle à mon sens.

Toute ville a ambition internationale se doit d'avoir une ligne directe avec N.Y.C...c'est bon pour le tourisme, les affaires et l'image.

Quelqu'un pourrait-il confirmer ou non cette info?

Aux dernières nouvelles, la liaison LYS/NYC était reportée au 18 juillet après avoir été avancée début Juin.
Et ca ne sera pas un quotidien directement comme prévu, mais seulement 5 rotations par semaine...
Débuts difficiles pour cette ligne...

Merciiii Floo ! et Bienvenue !!

Derienn, je viens de découvrir le forum, plutot interressant ..!
Pour les infos sur la ligne LYS/NYC, un petit lien :

http://www.lyon.aeroport.fr/index.php?module=cms_portlet_communiques_presse&desc=default&action=getDoc&id_doc=502

Bonjour, je suis nouveau sur ce forum et je viens surtout pour m'informer sur les nombreux projets de l'agglo... J'interviendrais sûrement avec parcimonie. Pour dire bonjour, je mets juste ces infos que j'ai trouvé sur Ouest-France (eh oui, je suis Normand d'origine) concernant la liaison Lyon-New York.

"Le premier aéroport normand profite du développement de la plate-forme de Lyon Saint-Exupery, avec laquelle il est relié par trois rotations quotidiennes d'Air France (by Brit Air). À partir du 18 juillet, un vol Caen-New York sera proposé. [...] La liaison sera assurée le lundi, mercredi, vendredi et samedi. Départ à 6 h 25 de Caen, arrivée à 7 h 35 à Lyon ; puis envol à 9 h 30 de Lyon, pour arriver à New York à 12 h 15 (heure locale). Soit douze heures de voyage, un peu moins au retour. Coût annoncé par Air France : à partir de 797 €, plus 333 € de taxes, sachant que celles-ci peuvent fluctuer et être moins élevées. Clientèle visée : « Hommes d'affaires et tourisme. »"

La piste A de l’aéroport Saint-Exupéry refaite à neuf

Cette rénovation majeure a été anticipée de deux ans pour accueillir notamment les longs courriers des lignes Lyon-New-York et des Antilles


La croissance et les ambitions affichées de l’aéroport de Lyon/Saint Exupéry lui imposent de nouvelles exigences. Certes le doublement de ces pistes, vieux projet qui avait soulevé l’inquiétude de riverains qui demeurent sur le qui-vive, n’est pas d’actualité. La fréquentation actuelle de l’ordre de 7,5 millions de passagers par an, en nette progression depuis l’an dernier (+8,5%), ne devrait pas doubler avant l’horizon 2020. Quinze millions de passagers : c’est le seuil qui ferait envisager une éventuelle extension qui est régulièrement comparée à la construction d’un nouvel aéroport. De quoi faire réfléchir les actionnaires de l’aéroport.

Dans l’immédiat, l’heure est à la rénovation de la piste A de Saint-Exupéry, la piste majeure de l’aéroport, longue de 4000 mètres, sur laquelle s’effectue l’essentiel du trafic, la piste B, et ses 2800 mètres, étant utilisée lors des périodes de pointe générée par le «hub» d’Air France. Directeur d’Aéroports de Lyon, Philippe Bernand, souligne qu’il s’agit de la première remise à neuf de cette piste depuis vingt ans, des opérations d’entretien et de maintenance ayant bien sûr lieu régulièrement. Ce vaste chantier qui a exigé un investissement de six millions d’euros a été anticipé de deux ans par rapport aux prévisions en raison de la multiplication des vols long courriers au départ et à l’arrivée de Saint-Exupéry. Des liaisons ont déjà lieu avec l’Ile Maurice et la Réunion. D’autres vont être ouvertes, le 18 juillet prochain avec New-York grâce à l’alliance de Delta et Air France et pour la saison d’hiver avec des vols assurés par Corsair.

Or les avions des vols longs courriers qui sont beaucoup plus chargés en kérozène que ceux réalisant des vols plus courts exigent le recours à cette piste de 4000 mètres et elle doit se montrer résistante. Attendre ces nouveaux vols auraient sérieusement compliquer l’organisation du chantier. Grâce à une étroite collaboration avec le contrôle aérien, ce dernier qui a débuté le 19 avril et se terminera le week-end prochain peut se dérouler sans que les vols ne connaissent de perturbations. Pourtant la piste A est fermée du vendredi au lundi inclus et tout le trafic est basculé sur la piste B.

Depuis mi-avril, elle est remise à disposition de l’aéroport, après une visite de sécurité systématique, le mardi matin. Une opération qui demande aux entreprises et à tous les partenaires de l’aéroport beaucoup de rigueur et de coordination pour « une course contre le temps ». La piste A totalise donc 4 km de long mais aussi 60 mètres de large. C’est donc sur 24 hectares que le nouvel enrobé est déposé avec l’aide d’une quinzaine d’engins. La piste sera rehaussée de 5 centimètres, ce qui en augmentera la portance et la résistance.

François Samard

Nouveauté st ex :

http://www.lyon.aeroport.fr/index.php?module=cms_portlet_communiques_presse&desc=default&action=getDoc&id_doc=624

Chiffres de Mai :

http://www.lyon.aeroport.fr/index.php?module=cms_portlet_communiques_presse&desc=default&action=getDoc&id_doc=623

Ligne Lyon-New-York, deuxième essai de décollage

ÉCONOMIE - Fermée il y a huit ans pour cause de faible rentabilité, la ligne aérienne Lyon-New York reprend du service cette semaine avec le départ pour la Grosse Pomme d’une délégation lyonnaise emmenée par le maire de Lyon Gérard Collomb. Guy Mathiolon, président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Lyon, revient pour LibéLyon sur cette deuxième tentative de décollage…

Qu’est-ce qui a permis de relancer la liaison aérienne Lyon-New York ?
C’est la compagnie Air France, qui a désormais des relations privilégiées avec Delta Airlines, qui nous a informé que son homologue américaine envisageait de recréer cette ligne. Avec l’appui du Grand Lyon, nous avons entamé il y a deux ans des négociations avec Air France, Delta Airlines, et les services de l’aéroport Saint-Exupéry. Lorsque les compagnies décident d’ouvrir une ligne, c’est en général parce qu’elles considèrent qu’il y a un marché. Ces dernières années, le potentiel de l’agglomération lyonnaise a évolué. La manière dont elle est perçue sur le plan international a attiré l’attention sur la possibilité de redémarrer cette liaison.

En 2000, la ligne avait été supprimée car peu rentable. Aujourd’hui, qu’est-ce qui a changé pour qu’un nouvel essai soit effectué ?
Lorsque les négociations ont débuté, il y a deux ans, Delta Airlines était sur le point de signer une alliance financière et commerciale avec Air France. Il faut rappeler qu’en 2000, cette ligne avait été créée contre Air France et ses concurrents. Résultat, des compagnies comme Air France ou Lufthansa avaient affiché des tarifs beaucoup plus avantageux pour tuer la ligne et cela avait visiblement très bien fonctionné. La politique tarifaire de la compagnie n’était pas compatible avec le marché et à sa concurrence. Aujourd’hui, l’opération se fait avec le soutien d’Air France. En 2000, nous n’avions également pas assez mobilisé le monde économique autour de la pérennité de cette ligne.

Comment assurer la pérennité de cette ligne compte tenu des difficultés actuelles du secteur aérien ?
Il est vrai que ce n’est pas la meilleure période pour effectuer ce lancement. Nous avons un problème lié au coût du carburant, qui vient s’ajouter aux difficultés générales des compagnies aux Etats-Unis, et de Delta Airlines en particulier. Il va falloir être très vigilants pour s’assurer que la ligne soit pérenne car il existe un certain nombre d’incertitudes et de menaces. Pour cela, nous avons beaucoup travaillé avec une structure qui s’appelle le Club des entrepreneurs, une association composée de chefs d’entreprises de la région. Avec la Chambre de commerce, ils soutiennent cette ligne et incitent les acheteurs des grands groupes à l’utiliser de manière privilégiée.

Quel type de clientèle est visé ?
La clientèle d’affaires est particulièrement ciblée, puisque c’est celle qui en général assure du volume et une rentabilité par siège. Mais la clientèle publique est aussi visée. New York est l’une des destinations les plus prisées dans le monde, et qu’il existe à Lyon une communauté américaine loin d’être négligeable grâce aux accords entre entreprises et universités. Cela créé une clientèle potentielle assez importante.

Quels sont les enjeux associés à la réouverture de cette ligne et les retombées économiques espérées ?
Si l’on veut que Lyon continue à progresser en termes de métropole, il faut que son aéroport suive ce développement. L’idéal, ce serait d’avoir, via New York, une ligne pérenne sur l’Atlantique Nord. Car depuis l’aéroport de New York, où va atterrir le vol, il sera désormais possible de reprendre un avion pour aller à peu près n’importe où aux Etats-Unis. De la même manière, nous travaillons sur une ligne à destination de Dubaï. C’est une plateforme qui pourra nous permettre d’accéder à l’Asie au sens large : Chine, Japon, et Australie. Mais l’enjeu, c’est aussi de développer le business et le tourisme entre Lyon et New York.

Propos recueillis par Benoit Pavan

Source: http://libelyon.blogs.liberation.fr/info/2008/07/ligne-lyon-new.html

Lyon-New York : jamais deux sans trois

On ne pourra pas reprocher aux responsables de la chambre de commerce et d’industrie de Lyon ni au président du Grand Lyon un manque de persévérance. L’histoire de la ligne Lyon-New York, qui contribue à apporter à la région lyonnaise un statut de grande métropole économique et touristique, tient en effet de la saga. À deux reprises déjà, dans un passé relativement récent, la voie aérienne sans escale a été ouverte entre Lyon et la bouillonnante ville emblématique de la Côte Est. À deux reprises, elle a été fermée après une existence courte, sans que le temps ne lui ait été donné de se constituer une clientèle susceptible d’assurer sa rentabilité. Et pourtant, à l’époque aussi les discours étaient enthousiastes et Lyon était fière d’avoir un lien direct avec Manhattan.

Lors du premier essai, une rivalité entre American Arilines, qui avait lancé son vol en mai 1989, et Air France qui lui avait succédé pour arrêter finalement la ligne en mars 1992, n’avait pas créé les meilleures conditions de réussite.

La seconde tentative, avec Delta Airlines déjà, en code-share avec Air France, lancée le 15 avril 2000 ne connut hélas pas un sort plus heureux. Le 31 août 2001, Delta, alors confrontée à des turbulences économiques décide de fermer la liaison avant même la fin du programme d’été. On accuse aussi, à l’époque, certaines grosses entreprises régionales d’avoir continué à faire voler leurs cadres sur d’autres compagnies, avec escale mais à moindre coût. Mais l’histoire sert de leçons.

F.S.

Source: Le Progrés

easyJet : ouverture des réservations sur la nouvelle ligne Lyon/Bastia

La liaison débutera le 12 décembre 2008
A partir du 12 décembre 2008, easyJet ouvrira la ligne Lyon/Bastia à raison de deux vols hebdomadaires puis de trois, à partir du mois de février 2009. Cette nouvelle liaison permet ainsi à la compagnie low-cost de franchir la barre symbolique des 400 lignes européennes. Les réservations sont d'ores et déjà ouvertes sur le site internet du transporteur à partir de 27,5euros l'aller simple.

easyJet a annoncé l'ouverture à la réservation de sa liaison aérienne numéro 400 en Europe – une liaison opérée au départ de la 20ème base de la compagnie, Lyon Saint-Exupéry.

En effet, à partir du 12 décembre, la compagnie low-cost offrira aux Rhônalpins deux vols par semaine - les lundi et vendredi en début d'après-midi - à destination de Bastia. De plus, à partir du mois de février 2009, un troisième vol hebdomadaire, le samedi, viendra s'ajouter.

Lancée au début du mois d'avril 2008, la base easyJet de Lyon Saint-Exupéry a transporté plus de 166 000 passagers au départ ou à destination de Lyon.

"L'été 2008 a été un véritable succès pour easyJet : une enquête indépendante menée par Skytrax auprès de plus de 4 millions de voyageurs nous a désigné comme la meilleure compagnie aérienne à bas coût au monde", a déclaré François Bacchetta, directeur général d'easyJet pour la France.

Les billets Lyon/Bastia sont d'ores et déjà en vente sur www.easyJet.com à partir de 27,5 euros l'aller simple toutes taxes comprises.

Source:
http://www.tourmag.com/easyJet-ouverture-des-reservations-sur-la-nouvelle-ligne-Lyon-Bastia_a27709.html

Ouai et bien ils feraient mieux d'ouvrir une ligne Lyon-Amsterdam parce que les prix sont pas franchement folichons pour l'instant avec Air France-KLM. Et ça serait quand même plus utile que vers Bastia.

Moi ca me dit pas mal de partir en Corse en vacances
C'est vrai qu'une ligne vers Amsterdam, ça serait sympa aussi!

Oui mais ils ouvrent cette ligne en plein hiver !!!!

Oui c'est vrai, je doute que les avions soit pleins durant les 6 mois les plus froid de l'année... Enfin ça c'est le problème d'Easyjet

Bilan « satisfaisant » pour le Lyon-New York


Le vol Lyon-NewYork a réussi son décollage. Relancée le 18 juillet dernier après plusieurs échecs, la liaison aérienne directe entre Saint-Exupéry et l'aéroport J.-F.-Kennedy a enregistré un taux de remplissage de 75 % au mois d'août selon Air France. « C'est tout à fait satisfaisant pour un vol qui vient d'être lancé », a indiqué la compagnie française, qui opère la liaison quotidienne en partenariat avec l'américain Delta Airlines. En juillet, les dix premières rotations ont attiré 2 335 passagers, soit un taux de remplissage de 68 %.



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Source:
http://www.20minutes.fr/article/247108/Lyon-Bilan-satisfaisant-pour-le-Lyon-New-York.php