LYON CONFLUENCE - PHASE 1 & 2

C'est bien vrai le bâtiment c'est celui là... ( qui n'a rien d'exceptionnel )
Le long du quai Perrache.


Photos de Led Zep de SCC ( novembre 2009 )

Et bien... La CRCI perd un peu de prestige... Sa localisation aux Cordeliers était bien plus centralisé et plus prestigieuse ! je ne savais pas du tout que ce bâtiment était pour ce projet là...

L'îlot B se colorise.....


Mise en place du premier des arceaux de soutient de la toiture du pôle de loisirs et du commerce.







Réfection du portique sud ( à coté de la Sucrière )

Bonjour,
Alors voila je viens de trouver une publication très intéressante:
http://www.lyon-confluence.fr/data/publication/accueil_interieur.pdf

Allez la voir elle est superbe

Merci allezol69003 pour cette belle trouvaille.

Confluence : l'Internet en haut-débit oui, mais pas pour tout de suite

le 17.02.2010 04h00




Denis Roussillat ne décolère pas. Futur résident du quartier Confluence, il a tenté de s'abonner à une offre ADSL triple play (Internet Haut Débit, téléphone et télévision), mais a appris que le débit de la ligne de son nouvel appartement (compris entre 1,6 et 2,5 mega), commun à tous les habitants du Confluent, serait insuffisant pour pouvoir profiter pleinement de l'offre. « Je comprends difficilement, que, dans ce quartier neuf, qui se veut la future vitrine du centre de Lyon, nous ne puissions avoir un débit offrant au minimum une utilisation normale de l'ADSL haut débit », déplore-t-il. Stéphane Penin, directeur des relations avec les collectivités locales à France Telecom Rhône-Alpes, rappelle « qu'indépendamment du fournisseur d'accès choisi, tous les quartiers ne peuvent pas avoir accès aux mêmes débits, car le débit d'une ligne ADSL dépend de la distance avec le central téléphonique et du type de câblage. »

« Dans le réseau actuel, pour augmenter le débit à Confluence, il faudrait construire un central téléphonique à proximité, ce qui n'est évidemment pas un projet viable. La solution va donc passer par le déploiement d'une nouvelle technologie : la fibre optique. Elle va permettre d'obtenir des débits très élevés, pouvant aller jusqu'à 100 mega, sur tout le Grand Lyon et quelques communes aux alentours, » poursuit-il.

Ce projet va s'accélérer dans les prochains mois et devrait aboutir d'ici à 2011. Ce qui permettra ainsi à tous les Lyonnais, dont Denis Roussilat, de bénéficier enfin d'un accès très haut débit à Internet.

Intéressant. Est-ce que Lyon suit la mode des villes nord-américaines pour Internet en installant des bornes internet sans fil gratuites un peu partout dans la ville?

Pour ceux que ça intéresse:
www.zapquebec.org

La Banque de France acquiert 6 000 m² à Lyon Confluence.

http://www.webizimmo.fr/rs-la_banque_de_france_s_offre_la_confluence-zoom--265-1.html

Bis a écrit:

Et bien... La CRCI perd un peu de prestige... Sa localisation aux Cordeliers était bien plus centralisé et plus prestigieuse ! je ne savais pas du tout que ce bâtiment était pour ce projet là...

Je pense que tu confonds avec la CCI de Lyon. La CRCI (niveau régional) était à Monplaisir et les bâtiments ont été mis en vente en début d'année passée.

Pour mémoire
http://www.webizimmo.fr/rs-bureaux_de_la_crci_a_vendre-zoom--210-.html

Herzog et Meuron font rugir le cœur de Lyon
PAR PAULINE SIMONS
19/02/2010

C'est le plus grand chantier architectural de France. La première tranche des 75 hectares du quartier de la Confluence vient d'être livrée. En 2020, le centre de Lyon atteindra enfin la pointe sud de la presqu'île. Jacques Herzog et Pierre de Meuron nous présentent leur ambitieux projet.

Lyon est située à la confluence du Rhône et de la Saône. Mais la ville avait presque fini par l'oublier. Quand, au milieu du XIXe siècle, les berges des deux fleuves furent consolidées, des activités habituelles de la périphérie s'y développèrent : à proximité de la zone portuaire, où les bateaux déchargeaient les denrées essentielles - sucre, sel et vin -, s'implantèrent le marché de gros, la gendarmerie, la prison, la SNCF, un cirque, mais aussi la prostitution. La gare de Lyon-Perrache - encore appelée le blockhaus -, à laquelle fut adossé en 1976 un centre d'échanges, fermait ce quartier marginal du traditionnel fief de la bourgeoisie. Et pourtant, le site de la confluence avait un atout majeur : sa situation centrale inscrite dans la continuité du centre-ville historique. Malgré l'autoroute A7 qui longe le Rhône, la presqu'île ne manquait pas de charme avec ses kilomètres de quais, babillant sur les berges douces de la Saône face aux collines vertes de l'ouest. Quand Raymond Barre devint maire de la ville, en 1995, il prit le taureau par les cornes : après un premier programme totalement irréalisable, il créa en 1998 une société d'aménagement urbain afin de piloter un nouveau projet. Le concours fut relancé en 2000. Il s'agissait de construire 75 hectares en direction de l'eau et de redensifier le centre-ville tout en profitant d'un site unique et emblématique. Gérard Collomb, proche de Raymond Barre, connaissait le projet sur le bout des ongles quand il prit la tête de la Mairie en 2001. La première phase de la Confluence, confiée à des architectes internationaux, fut lancée deux ans plus tard avec l'inauguration d'un nouveau tronçon du tramway destiné à desservir la pointe de la presqu'île. Elle touchait la partie ouest depuis le cours Charlemagne jusqu'aux rives de Saône, du côté de l'ancien port Rambaud et de la sucrière, où se tient depuis 2003 la Biennale d'art contemporain.

Les premiers logements situés autour d'un plan d'eau viennent d'ailleurs d'être livrés, et la deuxième phase du projet est déjà lancée. Sa réalisation a été confiée aux architectes urba nistes Herzog &de Meuron. La commission, présidée par Gérard Collomb, aujourd'hui sénateur-maire de Lyon et président du Grand Lyon, a frappé fort en choisissant l'un des cabinets les plus en vue sur la scène internationale. On lui doit, entre autres, le Prada Aoyama Epicenter à Tokyo, l'Allianz Arena, nouveau stade de Munich, en Allemagne, le « nid d'oiseau » à Pékin, site principal des Jeux olympiques de 2008, ainsi que la Tate Modern de Londres, désormais suivie d'une extension des galeries d'exposition et du traitement des espaces extérieurs. L'équipe Herzog &de Meuron, qui a eu pour mission de créer le plan de masse définitif, est une nouvelle fois associée à Michel Desvigne, chargé de l'aménagement paysager. C'est ensemble qu'ils avaient conçu le développement urbain de la ville de Burgos. Cette deuxième phase, qui couvre 35 hectares au sud-est, côté Rhône, s'est articulée autour de trois zones complémentaires : le « quartier », construit sur l'emplacement de l'ancien marché de gros, le « champ », aménagement à dominante verte vers la pointe de la presqu'île, et enfin les « liens » (ponts, passerelles et rues), qui offrent une fluidité de circulation et une ouverture sur le Grand Lyon. Dans un premier temps, Jacques Herzog et Pierre de Meuron ont décortiqué l'histoire de la ville et réalisé une étude phénoménologique du lieu, afin de définir de manière harmonieuse et pragmatique la nouvelle image de Lyon. «Quelle ville voulons-nous vraiment et comment nous inspirer de son passé sans le dupliquer? Face à un phénomène de recentrage vers le cœur des cités, nous avons tenté de donner une réponse à cette évolution en insistant sur la mixité, qui rend les métropoles plus attractives. Mixité de fonctions d'abord, ayant pour conséquence une mixité de typo logies, explique Pierre de Meuron. Cela peut paraître utopique, mais cela vaut la peine d'essayer.» Le « quartier du marché », qui sera donc un périmètre où l'on habite, où l'on travaille, où l'on achète et où l'on s'amuse, prolongera le tissu urbain lyonnais. «Les blocs ne seront ni uniformes ni fermés. La perméabilité va de pair avec la qualité de la vie. Nous avons également tenu à conserver des éléments existants de l'ancien marché, afin de préserver l'identité du site et d'assurer une continuité architecturale.» Ces îlots d'habitation seront sillonnés de cours jardinées encadrant une place centrale arborée telle une clairière. La confluence sera verte et conviviale. Jusqu'à la pointe ! «La proximité de l'eau constitue un avantage incroyable. A nous de le rendre visible, mais aussi viable. Le problème majeur était de créer l'illusion d'un environnement naturel.» L'équipe Herzog &de Meuron a décidé de composer le « champ » en parcelles méandriques inspirées des anciens marécages cernés par des fossés tels qu'on les trouvait dans nos campagnes. «Les arbres feront les liens. Nous ne voulions pas de ruptures visuelles délimitant les espaces privés des espaces publics.» Dans cet environnement propice à la balade, où la végétation sera reine, on verra des bâtiments de faible hauteur dédiés à des activités touchant la culture, l'économie, l'enseignement supérieur, la recherche. A terme, le « champ » devrait accueillir deux tours hautes qui marqueront l'entrée de la ville. Reste la question des accès : essentielle pour une vie harmonieuse et pour le rayonnement de la cité. L'équipe a donc imaginé la « transversale », nouvel axe fondamental posé entre le quartier et le champ, qui se prolongera par deux passerelles enjambant le fleuve et la rivière d'est en ouest. A l'heure actuelle, nos architectes urbanistes ont été obligés de composer avec la présence impérieuse de l'autoroute A7 qui ternit les rives du Rhône. Mais des projets sont à l'étude. L'autoroute pourrait devenir à terme un boulevard urbain. Et la confluence, un paradis sur terre.

Source:
http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2010/02/20/01006-20100220ARTMAG00144--herzog-et-meuron-font-rugir-le-c339ur-de-lyon-.php

salut, petit vidéo sur le confluent de la chaine vidéo du site de la mairie

https://www.dailymotion.com/video/xcfd74_lyon-confluence_lifestyle

Rencontre entre Gérard Collomb et Pierre de Meuron (vidéo du 26/01):

http://www.lemoniteur.fr/133-amenagement/video/696133-defis-de-ville-autour-de-lyon-confluence-rencontre-entre-gerard-collomb-et-pierre-de-meuron

Quelques photos de ce jour.....



































Oups, ça penche un peu....

Lyon Confluence à la carte
Tout voyage de presse à Lyon Confluence digne de ce nom comprend désormais une halte au restaurant étoilé Nicolas Le Bec. Visite d’un quartier où la diversité est à l’honneur, l’analogie opère : Lyon Confluence s’arpente sur le mode gastronomique. Reportage, donc, sous forme de séquences culinaires.
publié le 24/02/2010

C’est l’histoire d’une régénérescence urbaine dont la première phase est en partie livrée - l’ensemble, 41 hectares, sera finalisé fin 2011 - et dont la phase 2, visant à compléter l’axe central "dans une logique de prolongement de l’île", selon Benoît Bardet, directeur de la communication de la SEM Lyon Confluence, a été confiée en juin 2009 aux architectes-urbanistes Herzog & De Meuron, en association avec le paysagiste Michel Desvigne.

A terme, Lyon Confluence ce sera : 150 hectares, 15.000 habitants (7.000 aujourd’hui) et 27.000 emplois (7.000 aujourd’hui).


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Parmi les caractéristiques du projet louées par la presse, la présence de quinze 'signatures' sur la première tranche. De Christian de Portzamparc à MVRDV, en passant par Rudy Ricciotti, Manuelle Gautrand, Odile Decq, il y en a pour tous les goûts, certes, mais surtout pour des palais avertis. Cette volonté de faire appel à des concepteurs de renom s’exporte au-delà du territoire géré par la SEM. Le quartier de bureaux de la Part-Dieu a ainsi été confié en décembre 2010 aux bons soins de l’étoile montante des études urbaines, l’agence AUC (Djamel Klouche). De l’entrée au digestif, la journée presse organisée par onlylyon* c’est l’urbanité à la carte et un dîner presque parfait.

Entrée 1
Semblant s’ériger en emblèmes de l’entrée sud de Lyon, les deux tours présentes dans les images illustrant la phase 2 ne sont pourtant ni représentatives du projet conçu par Herzog & De Meuron ni à l’ordre du jour. "La priorité ce sont les tours de la Part-Dieu (Oxygène et Incity ndlr). A Lyon Confluence, nous nous concentrons sur le plan masse", précise Benoît Bardet. Le secret de la recette des architectes suisses résidant dans "la conservation de morceaux de l’ancienne halle, qui seront intégrés à la ville future et constitueront des poches d’activités, le sel de la vie quotidienne (sic)". Le directeur de la communication de la SEM Confluence prend pour contre-exemple les Halles parisiennes. "Notre objectif est l’inscription dans l’histoire et la géographie du site". Dont acte : Lyon Confluences sera durable ou ne sera pas. A ce titre, le prix affiché de la garniture 'éco-quartier' de la première tranche s’élève à 4 millions d’euros.

Entrée 2
A la jonction du territoire de la Confluence et du reste de la ville, s’élève le pôle d’échange de Lyon-Perrache, sur lequel buttent automobilistes, vélo’v et piétons, dessinant ainsi une frontière tangible entre Lyon nord et Lyon sud. Mise en bouche amère. "A la fin des années 1990, les gens pensaient que la suppression du pôle conditionnait l’aménagement de Lyon Confluence", raconte Benoît Bardet. La tabula rasa était donc un scénario fortement envisagé et une SEM dédiée fut créée. Mais le coût - "le montant proposé à l’époque asséchait les finances publiques" - et la complexité structurelle du pôle - "le pôle d’échanges est trop lié à l’A7" - mirent à mal l’ambition.

Résultat : le concours remporté par l’équipe François Grether-Michel Desvigne en 2000 porte sur un périmètre écartant Lyon-Perrache. Selon Benoît Bardet, "le vrai problème" n’est pas tant le pôle d’échange que la voie ferrée nord-sud, "qui empêche les liens est-ouest". Celle-là est donc déplacée. Pirouette de communicant ? Si Benoît Bardet détourne l’attention de Perrache, il met, à juste titre, l’accent sur la géographie lyonnaise : "S’il y a une chose à retenir et qu’ont compris Herzog et De Meuron, c’est que l’urbanisme doit être impérieusement lié à la géographie", dit-il.

A ce titre, "la direction est-ouest est essentielle" et "le pôle à une valeur relative". Exit en tout cas Lyon-Perrache pendant 10 ans. Mais, "nous nous y penchons à nouveau à la faveur des nouveaux aménagements". Autrement dit, la première phase ayant redonné son piment à Lyon Confluence, les investisseurs semblent plus faciles à convaincre. "Le problème n’est plus un problème d’attraction et d’accessibilité mais de qualité et de confort", résume Benoît Bardet. Mission délicate remporté par l’atelier Ruelle en mai 2009. Si le sujet n’est pas encore d’actualité, une chose est sûre : Lyon-Perrache ne sera pas démoli mais amélioré. Prix du hors d'oeuvre non affiché.

Plat de résistance 1
Signé Winy Maas, Manuelle Gautrand, Eric van Egeraat, Combarel-Marrec et Pierre Gautier, le Monolithe (28.000m² SHON combinant bureaux, logements et activités), en cours de livraison, n’est pas compris dans le plan de route d’onlylyon. Vu de loin, RAS si ce n’est que couleurs et saveurs concordent ; les images ont tenu leurs promesses.

Plat de résistance 2
Le Siège de Région (44.000m² SHON) est à la croisée d’un programme tertiaire pour le contenu et d’équipement pour la forme. D’aucuns raillent la monumentalité du bâtiment. "Immeuble image", selon les termes d’Yvon Deschamps, conseiller régional délégué à la culture, le bâtiment est néanmoins une belle illustration du concept d’îlot ouvert inventé par son architecte Christian de Portzamparc. Monolithe n°2 "très fortement constitué par ses limites", selon la représentante du maître d’oeuvre, le siège est "creusé de l’intérieur", sculpté par un atrium, sorte de rue publique intérieure. Il permettra à la Région de rassembler, dès cet été, son personnel actuellement éparpillé sur huit différents sites. Prix affiché : 137 millions euros.

Farandole salée
Le long de la Saône, l’éclectisme est de mise. Conjuguant bâtiments industriels reconvertis et bâtiments neufs, les docks du Port Rambaud mêlent programmes culturels (la Sucrière, le pavillon des Douanes) et sièges sociaux (d’Eiffage, les locaux du Progrès). Les objets architecturaux se multiplient pour une addition globale sans doute relevée.

Trou lyonnais 1
Entre le bâtiment de Jean-Michel Wilmotte et le projet d’AAMCO architectes se dresse l’une des plus récentes livraisons, signée Jakob & Mac Farlane, le siège social du groupe BTP Cardinal dont l’originalité réside dans "le cône central qui le transperce". L’ouverture composée d’une poutre en béton cintrée est une prouesse technique. "Durant le premier mois, nous étions très attentifs aux oscillations du bâtiment pour vérifier qu’elles étaient conformes aux calculs espérés", explique Jean-François Larose, PDG du groupe Cardinal. L’ensemble est revêtu d’une résille orange, double peau servant de brises soleil dont la couleur et la dentelle confère au bâtiment un aspect capricieux. Impression confirmée par l’addition : 15 millions d’euros, "dont 15% de surcoût lié à la dimension HQE et 15% à la complexité architecturale". Le vide n’est pas donné.

Trou lyonnais 2
Précédant le projet Lyon Confluence, confié par le Département du Rhône à Coop Himmelb(l)au en 2000, le musée des Confluences peine à émerger, absence de plus en plus criante à l’aune des aménagements qui se multiplient sur le reste du territoire. Absence de plus en plus bruyante, aussi, à l’écoute de l’actualité : le 12 février dernier, la demande d’annulation du marché pour l’achèvement des travaux émise par le groupement d’entreprises mené par Léon Grosse - recalé à l’appel d’offre - a été rejetée par le tribunal administratif de Lyon. Seules les palissades bleues suggérant la forme du projet témoignent qu’un jour peut-être... Rires des visiteurs : "Il est bien comme ça". Prix affiché : 107 millions d'euros HT.

Farandole sucrée
L’intitulé est prometteur : pôle de commerces et de loisirs. La maquette est gadgétisée : les différents étages se dissocient sur commande pour une meilleure compréhension de l’organisation spatiale. L’agencement est typique d’un centre commercial. Quid des loisirs ? Et d’une. Réponse incomplète du représentant de l’exploitant et propriétaire Unibail-Rodamco, qui fait cas d’un mur d’escalade. "Qu’y a-t-il d’autre en matière de loisirs ?". Et de deux. La réponse se précise : Il sera essentiellement question de loisirs pour enfants... de spa aussi. "C’est tout ?". Et de trois. Réponse évasive : "Nous avons aussi le pôle de commerce de la Part-Dieu et notre objectif est de réaliser des pôles différenciés". L’assortiment attendu semble se réduire à un programme plutôt léger, à l’instar de sa couverture composée de deux hectares de coussins d’air en EFTE. La livraison des 70.000m² répartis sur quatre niveaux conçus par Jean-Paul Viguier est prévue pour avril 2011. Prix affiché : 250 millions d’euros.

Remontant
Dernière étape d’une visite au pas : L’ascension de la tour Oxygène, 43.000m² tout juste livrés, en attendant la tour Incity (qui dominera Lyon dès 2013 du haut de ses 200 mètres). Au sommet, Nathalie Berthollier, de la Mission Part-Dieu (Grand Lyon), présente les lignes directrices du projet d’aménagement 'Part-Dieu 2020'. Suite à une enquête menée auprès des usagers, la Part-Dieu est apparu comme un quartier "sans valeur émotionnelle", explique-t-elle. Pour cause : Il compte 860.000m² de bureaux et pratiquement pas de logements. Objectif de l’AUC, mandatée en décembre 2009 : faire de la Part-Dieu un endroit où il fait bon vivre, soit notamment décongestionner la gare, requalifier les espaces publics et décloisonner les équipements. Prix à déterminer.

Le repas fut (trop) riche mais un détour impromptu fait office de digestif. Erigées en 1934, les tours de Villeurbanne composent une référence architecturale et urbaine. Si elles incitent à lever les yeux au ciel, il convient de rediriger le regard vers les rez-de-chaussée, peuplés de commerces, pour constater que la recette américaine de l’ancrage au sol fait aussi ses preuves en France... Et peut encore servir de modèle ?

Emmanuelle Borne

http://www.cyberarchi.com/dossier/urbanisme/index.php?dossier=74&article=13288

allezol69003 a écrit:

. Dont acte : Lyon Confluences sera durable ou ne sera pas.
http://www.cyberarchi.com/dossier/urbanisme/index.php?dossier=74&article=13288

bien entendu ne pas confondre construction durable et chantier interminable comme notre musée des civilisations departementales

Lyon 2e : incendie sur un chantier

le 16.03.2010 04h00


Hier vers treize heures, un incendie d'origine accidentelle s'est déclaré
sur le chantier du futur immeuble de la région, cours Charlemagne àLyon (3e). Le sinistre, qui s'est produit en étage, a été rapidement circonscrit par les pompiers. Cet incendie a entraîné des difficultés de circulation dans le secteur du confluent.

http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/2850483/Lyon-2e-incendie-sur-un-chantier.html

Voilà encore une vidéo sur La Confluence.

http://www.lemoniteur.fr/191-territoire/article/actualite/699856-lyon-confluence-le-sud-de-la-presqu-ile-rendu-a-la-ville

Petit rendu:



Trouvez ici
http://www.unibail.fr/unibail-rodamco/pdf/portfolio/France/CONFLUENCE.pdf

Balade en Confluences.....

Buildings of metal






Pôle de Loisirs et de Commerces
















Le pôle de Loisirs fait son cinéma.....




Le vaisseau Amiral...


Lyon Island, Verticalités....




Lyon Island, cuivre et claustras....




Lyon Island, mosaïques....






Monolithe....










Début de soirée sur le quai Nord....

Citation :

Confluence II: l'expo !

Écrit par Gérald Bouchon
Vendredi, 26 Mars 2010 01:21

Une nouvelle exposition à la Maison de la Confluence pour tout connaître de la seconde phase en cours.

L'exposition dévoile les grandes lignes de...

cette deuxième phase, située géographiquement majoritairement entre le cours Charlemagne et le Rhône.

35 hectares laissés libre après le départ du Marché d’Intérêt National, 35 hectares où s’inscriront les propositions résolument contemporaines de l’équipe d’architectes-urbanistes suisses Herzog & de Meuron, associés au paysagiste Michel Desvigne.

Le « quartier du marché » est un nouvel ensemble urbain inscrit dans le prolongement de la presqu’île, et le « champ », un espace à prédominance verte, à la pointe sud de la presqu’île.

Une exposition à voir jusqu’au 10 juillet prochain, du mercredi au samedi de 14 h à 18 h30 -
Maison de La Confluence 102, cours Charlemagne 69002 LYON

http://www.lyonpremiere.info/site/index.php?option=com_content&view=article&id=4352:confluence-ii-lexpo-&catid=7:lactualite&Itemid=15

Je conseil l'expo ! si quelqu'un a un petit appareil photo pour nous ramener quelques beaux clichés des maquettes !

Ces premières maquettes sommaires extraites de la maquette générale et de taille plus importantes donnent pour l'instant une idée de volume , de forme et d'occupation de certains lieux.
Les détails viendront plus tard dans le temps au fil des projets des différents ilôts.

Le pont des Girondins









Une partie du champ et ses lônes




Les 2 tours



La place centrale et ses grands arbres en face du siège de Région






Cette même place vue en image.



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La maquette générale de la Confluence.
- Ce qui est en blanc sont les futures constructions de la phase 2.
- Ce qui est coloré en plusieurs couleurs c'est la phase 1 en cours d'achèvement.
- ce qui est de couleur unie marron est l'existant, on remarque bien que certains de ces bâtiments resteront intégrés dans les projets de la phase 2.
- Les 2 IGH translucides sont l'hypothèse clin d'oeil qui devraient marquer l'achèvement de la phase 2.





Le champ








Vue générale en image.

Bonjour,

Je post un petit message de remerciement à tous les membres de ce forum, très riche et intéressant. Il me permet de suivre de près l'évolution architecturale de ma ville natale, ce qui me tient à coeur et me permet de préparer mes prochaines visites à Lyon.

Un grand merci à tous, continuez d'alimenter ce forum!!

Au plaisir de vous lire...

Cyril

salut cyril,

et merci également à tous les reporters.

ces maquettes donnent envie de voir s'achever la métamorphose du quartier !

mais c'est quoi ces 2 tours ? c'est vraiment prévu ?