LYON CONFLUENCE - PHASE 1 & 2

Ago Line a écrit:

Le pont rail du cours Bayard est en cours de montage

Et ou se situe t'il ce "pont rail" ? Je suis un peu perdu...

Aujourd'hui le cours Bayard bute à l'ouest contre la ligne de chemin de fer Perrache La Mulatière, il n'y a pas de passage. Le but est de faire un pont comme celui de la rue Casimir Perrier "prolongée" pour créer une pénétrante est ouest au nord du quartier.

Pour répondre à ta question sur le pont rail va sur le site de lyon confluence il y une photo dans janvier 2008.

Bienvenue Mono...euh non...Nonopoly

Voila la photo en question:



Source:
http://www.lyon-confluence.fr/

nonopoly a écrit:

Aujourd'hui le cours Bayard bute à l'ouest contre la ligne de chemin de fer Perrache La Mulatière, il n'y a pas de passage. Le but est de faire un pont comme celui de la rue Casimir Perrier "prolongée" pour créer une pénétrante est ouest au nord du quartier.

Et devier le quai rambaud

Citation :

Des projets design flottent sur la Saône et dans le port Rambaud

Un quartier de constructions flottantes et futuristes. C'est ce qui pourrait voir le jour sur la Saône, dans le cadre du chantier urbain de Lyon-Confluence. Après une première phase d'aménagement des docks du quai Rambaud (2e), six projets fluviaux ont été présentés hier. « Ils accueilleront des commerces, des bars, des lieux de vie », prévoit Jean-Paul Viossat, maître d'oeuvre. Chacune des six plateformes flottantes dessinées par des architectes présente, sous des lignes contemporaines, une surface immobilière de plus de 400 m².

Reste à trouver les investisseurs privés. « Le prix du projet le moins cher est de 1 200 euros au m², mais certains coûtent le double », confie George-Verney Carron, assistant à la maîtrise d'ouvrage. Il affirme cependant que « tout est commercialisable ». « Je me fais fort de vendre tous ces projets car ils ont une gueule terrible », a assuré hier Gérard Collomb, président PS du Grand Lyon.



D. D. - ©2008 20 minutes

Source 20 Minutes.

Confluence : et maintenant des îles flottantes


Le projet de la Confluence excite l'imagination des architectes et des aménageurs. Des îles flottantes pouvant accueillir restaurants ou commerces vont être construites sur la Saône


A la Confluence, l'imagination est au pouvoir. Alors que la première phase de ce qui sera le nouveau centre ville de Lyon sort doucement de terre (voir le Progrès du 21/2/08, Rhône-Saône Développement (1) qui, en collaboration avec Lyon-Confluence, joue pleinement son rôle d'aménageur dans la reconversion du Port Rambaud, vient de sortir un nouveau projet de ses cartons. Lequel concentre tant de talent et d'innovation qu'à lui seul il occupe près du tiers d'une exposition organisée en ce moment même à la Cité de l'architecture de Paris et consacrée à l'aménagement des fleuves.


Mais pour mieux comprendre il est nécessaire de remonter à l'origine de l'affaire. A savoir la reconversion du Port Rambaud, cette zone de huit hectares située sur la rive gauche de la Saône, à la pointe de la Confluence, ou presque. Le port étant désaffecté il s'agissait de lui trouver une nouvelle destination en accord avec le projet Confluence.
C'est ainsi que fut décidée l'édification de plusieurs immeubles tous signés par des grands noms de l'architecture (Rudy Ricciotti, Jakob & MacFarlane, Odile Decq), et devant accueillir qui des radios, qui un hôtel, qui le siège d'une entreprise. Alors que parmi les bâtiments existants seuls les plus remarquables étaient conservés et reconvertis. C'est le sort qui fut réservé à la Sucrière ou au « bâtiment des douanes » aujourd'hui rénové par Jean-Michel Willmote.
Reste que si la phase première de ce grand projet baptisé « les Docks » est désormais en cours de réalisation, elle laissait un goût d'inachevé à ses promoteurs.


Après réflexion, ceux-ci se sont donc tournés vers leurs architectes, mais aussi vers des nouveaux venus comme lyonnais Clément Vergely, pour qu'ils imaginent des équipements flottants sur la rivière, capables de recevoir du public et de l'activité. L'idée étant de prolonger le quartier en gagnant sur la Saône.
Chaque construction (entre 4 et 6 sont prévues) ne devront pas mesurer plus de 40 mètres de longueur (le gabarit d'une péniche freyssinet) ni dépasser une certaine hauteur afin de ménager la vue sur les balmes depuis le quai.

D'ores et déjà les premières copies rendues et présentées hier respectent ce cahier des charges tout en réservant chacune leur lot de merveilleux. Quant à la commercialisation elle devrait s'effectuer sur le modèle déjà appliqué aux immeubles du quai et qui a prouvé son efficacité.
Dans les faits, l'aménageur se charge de vendre clefs en main à la clientèle, sachant que des restaurateurs, des commerçants, des galeristes pourraient être intéressés.
« Je me fais fort d'en vendre à moi seul deux ou trois » s'est écrié hier Gérard Collomb devant les responsables de Rhône-Saône Développement qui ont toutefois précisé qu'il faudra attendre entre trois et cinq ans pour voir ce projet aboutir.

R.R
(1) Rhône-Saône Développement (RSD), filiale de Voies navigables de France et de la caisse des dépôts assure la maîtrise d'ouvrage et le pilotage de ces études.

Le Progrès 28/02/08

Les Douanes sous mantille de Lyon Confluence

La spectaculaire reconversion du bâtiment des Douanes anticipe en bord de Saône la profonde mutation amorcée de Lyon Confluence.

L'ancienne zone portuaire du quai Rambaud, en bord de Saône, frémit sous le vent du renouveau qui balaie la pointe de la presqu'île lyonnaise, à la confluence de la Saône et du Rhône. Les vieux bâtiments s'y réveillent tour à tour en attendant l'émergence des mastodontes annoncés pour voisins : le musée des Confluences au sud (Coop Himmelblau, architecte) et le pôle de loisirs au nord (Jean-Paul Viguier, arch.), sans oublier le futur hôtel de région (Christian de Portzamparc, arch.).

Après La Sucrière, silo voisin reconverti en centre d'art, c'est au tour de l'entrepôt des Douanes de refaire surface sur le quai. Tout coché de noir, ce volume massif aux percements répétitifs est devenu le repère visuel du parc développé par Voies Navigables de France (VNF), en partenariat avec la SEM Lyon Confluence et la Caisse des Dépôts. Demain, de nouvelles constructions rivaliseront d'intérêt, jalonnant le quai de leurs architectures signées Jakob & MacFarlane, Rudy Ricciotti, Odile Decq... Dans l'immédiat, le bâtiment des Douanes rénové par Jean-Michel Wilmotte tient le haut du pavé. Il fait l'actualité de cette zone de huit hectares, délaissée par le transport fluvial - parti vers les quais du Rhône et de Pierre-Bénite - désormais dédiée à la culture, à la communication et aux médias.
Exploiter les atouts naturels

L'aménagement projeté par Rhône Saône Développement, filiale commune de VNF et de la Caisse des Dépôts, a pour objectif d'exploiter les atouts naturels et le patrimoine bâti du site pour dessiner une promenade au bord de l'eau, flanquée d'activités tertiaires, d'espaces culturels et de commerces. L'ambition avouée est d'ériger là l'un des pôles d'excellence de l'agglomération lyonnaise, conciliant agrément, loisir et travail conformément à l'option retenue.

Rénové de fond en comble, le vieil entrepôt des Douanes construit dans les années 1930 s'inscrit dans ce contexte innovant. La reconversion entreprise dans l'esprit du cahier des charges établi en 2004 par l'architecte François Grether et le paysagiste Michel Desvigne tire profit du volume bâti par un traitement unitaire : un caillebotis de métal laqué noir recouvre la quasi-totalité du bâtiment, du sol au faîtage, rampants de toiture compris. « Cette peau grillagée forme un filtre sur la maçonnerie existante et devient une matière vivante sous la lumière », commente Jean-Michel Wilmotte, qui en attend « des effets cinétiques anoblissant le bâtiment ». C'est pour l'architecte une manière de répondre à la volonté de l'aménageur d'inscrire l'art dans la zone, notamment en associant un artiste à chaque projet architectural afin d'affirmer l'identité du lieu. En façade, cette grille formant mantille découpe les baies existantes de 3 mètres de côté et recadre à l'horizontale les nouvelles ouvertures pratiquées pour éclairer les plateaux aménagés dans les étages. Décollée de la façade, elle laisse passer la lumière à travers sa maille de 18 × 4 centimètres et révèle la maçonnerie d'origine préalablement rénovée. En toiture, la mantille recouvre le complexe de couverture, dont les bacs reposent sur une charpente neuve.

Au faîtage, elle est remplacée par des lignes de brise-soleil au-dessus de la verrière de l'atrium central et de l'étage technique. Selon l'angle de vue et l'incidence de la lumière, le volume ainsi caparaçonné revêt des nuances changeantes, passant du noir intense au gris nuancé, comme autant d'effets occasionnés par la trame. L'uniforme ne lasse guère et l'animation procurée par les balcons suspendus séduit, invitant à d'agréables pauses avec ou sans cigarette. Par leurs structures en saillie, ils réinterprètent sur le mode mécanique les plates-formes de chargement de l'entrepôt d'origine. En pignon, deux escaliers de secours accrochent leurs vrilles sculpturales. Toutes ces pièces rapportées, réalisées en acier galvanisé et peintes en argent métallisé, accentuent l'aspect modulaire et utilitaire de cet accastillage.
Ambiance industrielle

Au final, seul le coin du bâtiment initialement affecté aux bureaux des Douanes est épargné par la mantille. Ce pan de mur est par ailleurs reproduit en réduction sur le quai par le plasticien Krijn de Kooning en guise d'intervention artistique, conformément à l'obligation faite par l'aménageur. Une redondance qui laisse espérer pour l'avenir de meilleures alliances. « On a simplement conservé la silhouette du bâtiment et mis en exergue les plates-formes », résume Jean-Michel Wilmotte, qui s'est fait assister pour les travaux de son confrère lyonnais Philippe Folliasson. La silhouette est toutefois exaltée par les pignons à redans - ou en pas de moineau -, qui redécoupent le bâtiment dans son environnement et contribuent à forger le caractère signalétique de cette balise plantée en bord de Saône, sous le regard de Notre-Dame de Fourvière.

Les ambiances intérieures sont au diapason de la mantille, « apparentées au monde industriel », selon le voeu de l'architecte. « Les prestations y déclinent un vocabulaire mécanique, laissant toute la tripaille en vue mais très soigneusement rangée », décrit l'architecte, énonçant les matières et matériaux associés : sols de ciment ciré, paliers de tôle larmée, chemins de câbles et faux-plafonds tramés. Si le ton est industriel, la manière est pour le moins sophistiquée ! L'entrepôt originel délivre ainsi trois étages de bureaux au-dessus d'un rez-de-chaussée de commerces en phase avec la programmation : un restaurant et deux galeries d'art.

D'environ 1.000 mètres carrés chacun et divisibles, les plateaux répondent aux standards actuels de confort et d'équipement tertiaire. Ils s'organisent autour d'un atrium central qui concentre les circulations dans une ambiance piranésienne entrecroisant paliers métalliques et ascenseurs panoramiques. La vue sur le fleuve et Fourvière y est fastueuse, apportant une ample respiration aux espaces à la fois bruts et raffinés de l'entrepôt revisité.

FRANÇOIS LAMARRE


Source:
http://www.lesechos.fr/info/metiers/4694403.htm

La première pierre du nouveau siège d’Espace Group au Confluent

Le groupe de radio lyonnais débute ce soir les travaux de son nouveau siège social.
Il est situé quai Rambaud dans le 2ième arrondissement. La cérémonie aura lieu à 17h en présence du président du groupe, Christophe Mahé, et du sénateur maire de Lyon, Gérard Collomb.
Rédigé le 04/03/2008

Source:
http://www.mlyon.fr/32814-la-premiere-pierre-du-nouveau-siege-d-espace-group-au-confluent.html

Première pierre d'Espace Group à Confluence

Hier, la première pierre du siège d'Espace Group dessiné par le cabinet d'architecture AAMCO a été posée, à Lyon Confluence, en présence de Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, et Denis Broliquier, maire du 2e arrondissement.
Le nouveau siège, réalisé par le groupe de promotion immobilière Cardinal, présidé par Jean-Christophe Larose, s'étalant sur 5 000 m2 et trois niveaux sur rez-de-chaussée, nécessite un investissement de 10 millions d'euros. « Nous souhaitions regrouper au sein d'un lieu unique nos différentes équipes », précise Christophe Mahé. D'autre part, il permettra au groupe de radios de passer au 100 % numérique. Créé en 1987, Espace Group possède neuf marques de radio, dont radio Espace et Fréquence Jazz avec 60 fréquences et fait partie des leaders des indépendants de la radio FM.
Caroline Auclair

Source: Le Progrés

Espace Group pose la première pierre de son nouveau siège à Confluence

Début 2009, le groupe de radios fondé par Christophe Mahé inaugurera son nouveau siège au coeur de Confluence. Un bâtiment de 5 000 m2 doté d'un immense studio qui pourra accueillir 200 personnes Un bâtiment de 5 000 m2 pour un investissement de 10 millions d'euros

Hier, la première pierre du siège d'Espace Group a été posée à Lyon Confluence en présence de Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, et Denis Broliquier, maire du 2e. Christophe Mahé, fondateur du pôle de radios Espace Group, n'a pas cédé aux sirènes parisiennes et a préféré vivre à fond « un coup de foudre pour le site et surtout le magnifique projet des Docks ».
Le nouveau siège, réalisé par le groupe Cardinal présidé par Jean-Christophe Larose, occupera l'emplacement d'anciens hangars, le long des quais de Saône. Il devrait être inauguré début 2009. Le bâtiment sera composé de trois étages. Le rez-de-chaussée sera destiné à l'accueil et aux studios. L'un d'entre eux pourra accueillir un public de 200 personnes qui sera visible de l'extérieur, à travers les immenses baies vitrées.

Une boutique et une cafétéria
à destination du public
« Une idée qui s'inscrit dans l'esprit des Docks », commente Gérard Collomb, car les promeneurs seront bientôt aussi nombreux que sur les berges du Rhône. L'espace accueil comprendra aussi une boutique et une cafétéria à destination du public. Les deux niveaux supérieurs seront traités en espaces de travail ouverts, organisés en U vers la Saône. Le premier sera occupé par l'espace de direction et de réception, largement ouvert sur des terrasses surplombant la Saône. L'une d'elles disposera même d'un bassin d'agrément.
Dessiné par AAMCO architecture, le bâtiment répondant aux normes HQE (haute qualité environnementale), forme un parallélépipède qui se creuse vers le haut. Ainsi au dernier niveau, ne subsiste qu'un petit tiers de l'emprise. Les façades sont composées de béton brut et d'ouvertures vitrées disposées en alternance. L'agence Damien Gauthier-Trafik s'est servie d'une structure remplie en verre clair pour développer un projet artistique. Sur le toit, les terrasses ont été intégralement recouvertes d'un plancher en bois traité.
Ce nouveau siège de 5 000 m2 nécessite un investissement de 10 millions d'euros dont 1,5 million consacré au seul aménagement intérieur. Une grosse somme, certes, mais le groupe dispose d'une surface financière importante puisque le chiffre d'affaires et les effectifs d'Espace Group ont presque quadruplé en trois ans. « Nous souhaitions regrouper au sein d'un seul lieu nos différentes équipes », précise Christophe Mahé.
D'autre part, il permettra au groupe de radios de passer au 100 % numérique. Créé en 1987, Espace Group possède 9 marques de radio, dont radio Espace et Fréquence Jazz avec 60 fréquences, emploie environ 170 salariés et fait partie des leaders des indépendants de la radio FM.
Caroline Auclair

Source: Le progrés

Pour info, j'ai récupéré mon appareil photo !!! je vous promet d'aller faire un gros reportage à la Confluence dès mardi prochain...(et voui, je bosse ces jours ci ! ;-)

Un petit tour sur les chantiers... de la Confluence (Cf : pour la place des archives et le parking souterrain aller dans le thread correspondant.) Le 11/03/2008

Le Musée de la confluence :







Immeuble en réhabilitation ou en cours de déstruction ?? Si vous le savez, vous pouvez m'informer !







Les Docks :









La futur localisation de "Radio Espace"









Futur siège régional d'Eiffage :







Apperçus divers :















Chantier du futur siège de Région :







Immeuble SNCF :

Citation :

Immeuble en réhabilitation ou en cours de déstruction ?? Si vous le savez, vous pouvez m'informer !

Vu la taille du bras de la pelle, je pense que le batiment va être détruit.

T'as peut être raison mais alors que font les gars au niveau du toit ?

Sinon, belles photos bis, sympa ce petit reportage.

Malgré les apparences la démolition n'est plus un métier pour les bourrins et l'entreprise en charge de la démolition doit faire le tri. Le bois d'un coté, les gravats d'un autre et l'acier encore d'un autre cotés. Lorsque c'est facilement faisable cela est fait sur site comme ici pour le bois qui constitue la charpente. il s'agit bien d'une démolition vue la pelle, et l'intérêt architecturale limité du bâtiment.

Merci pour ta réponse vino. Je savais pas qu'on faisait le tri lors de démolitions, mais c'est tant mieux. En fait je ne m'étais jamais vraiment posé la question de ce que deviennent les gravats.

Icendie d' un entrepot dimanche

Ago Line a écrit:

Icendie d' un entrepot dimanche

Oui, il parait que c'était assez impressionnant d'ailleurs !

Photo sur PSS et SSC

Projet de Halles à Lyon Confluence

Des commerçants du marché Saint-Antoine portent le projet d'un marché couvert rassemblant des produits de terroirs, l'habillement, l'art et la création. Des chapiteaux seraient en outre consacrés aux cuisines du monde


Michel Dulac (fleuriste), Denis Jouvray (fromager) et Tita Saouci (confiseries d'olives, condiments provençaux), soutenus par Alain Guillon (TPE Actions Rhône-Alpes/Toutes petites entreprises), verraient bien ces Halles dans le quartier en devenir Lyon Confluence. Selon eux, il s'agit d'un secteur porteur pour un projet innovant qui n'a pas pour objectif de faire couler les marchés lyonnais. « Ce type de structure existe dans d'autres villes : Bordeaux, Périgueux, Vichy Il faut que Lyon s'y mette aussi pour la survie des producteurs français, afin de faciliter l'arrivée de jeunes commerçants non sédentaires (en particulier, revendeurs de produits de terroirs), et d'apporter à la clientèle des horaires mieux adaptés aux nouveaux modes de vie », considèrent-ils.

Par là-même, ils sont convaincus que la Ville de Lyon doit remettre à plat le règlement des marchés « en perte de vitesse la semaine ». Ces Halles aux baies vitrées, avec toit ouvrant, fonctionneraient en non-stop et disposeraient d'un parking. Elles regrouperaient des producteurs et revendeurs représentant des terroirs de France (foie gras, confiseries, vins ). « Les clients, parmi lesquels les touristes de plus en plus nombreux à Lyon, trouveraient des produits labellisés et biologiques. Et nous espérons que les restaurateurs, moins présents sur le marché Saint-Antoine qu'avant, prendront le chemin de ces Halles pour la diversité et la qualité des articles proposés par des professionnels rigoureusement sélectionnés », soulignent les porteurs du projet.

Paniers producteurs et ventes-flash

« Ces Halles pourraient aussi rassembler les petits producteurs en fruits, légumes et fleurs, non intégrés dans le futur marché de gros de Corbas », poursuivent-ils, tout en insistant sur la nécessaire attractivité des prix pour que ce lieu soit accessible au plus grand nombre. Ce qui n'est pas le cas, selon eux, aux Halles de la Part-Dieu. Des paniers producteurs à partir de trente euros et livraisons à domicile sont envisagés, de même que des « ventes flash » (invendus des producteurs) à prix réduits pour les retraités et étudiants. Dans ce même bâtiment circulaire, on trouverait l'habillement (articles invendus de boutiques spécialisées), l'art et la création, et des démonstrateurs d'ustensiles de cuisine à prix d'usine. Un kiosque à musique serait implanté au centre de ce marché. Et au coeur d'espaces verts, prendraient place, durant plusieurs semaines, des chapiteaux consacrés aux cuisines du monde, via la gastronomie, l'art et la décoration.

Christel Reynaud
Le Progrès 13/03/2008

C'est un projet innovant... Après, il faudrait arriver à localiser ces nouvelles Halles, qu'il faudrait vraiment différencier avec celles Paul Boccuse.

l'idée est belle et permet de crée une activité dans ce quartier qui avait été oublier. cela permet de ne pas oublier que c'est le quartier du marché gare.

vino a écrit:

l'idée est belle et permet de crée une activité dans ce quartier qui avait été oublier. cela permet de ne pas oublier que c'est le quartier du marché gare.

Bien vu le lien avec le marché-gare... Qui va disparaitre, un jour ou l'autre... vivement le phase 2 du projet !

Lyon Islands Ilot B - Confluence

Lyon Confluence — Francois.B - mars 2008

Lyon Islands s’affirme comme le nouveau programme immobilier phare de Lyon. Au cœur de la Confluence, dans le 2ème arrondissement, Lyon Islands propose des prestations très haut de gamme. Implantées sur un site d’exception, les résidences offrent de magnifiques vues côté quai, côté parc ou côté Presqu’île. L’architecture est contemporaine, les appartements, du 2 au 6 pièces, dont certains en duplex, bénéficient de beaux volumes avec beaucoup de lumière et sont très ouverts sur l’extérieur.

La Confluence comportera 128 000 m² de logements et bureaux, répartis en ilôts mixtes au nord de la Place nautique. Les ilôts dits “mixtes” accueilleront également services et commerces. Ici : projet pour l’ilôt B, par les architectes Massimiliano Fuksas, Vincenzo Amantea, Clément Vergely et Franck Vella. Livraison prévue en 2009 Bouwfonds-Marignan

• Lyon-Urbain.com