Pierre Bénite: projets divers

Le Grand Lyon lance la station d’épuration du futur
28/03/2007
Rénové, redimensionné, le site de Pierre-Bénite dans le Rhône a été inauguré aujourd'hui. Coût de ce chantier d'envergure, débuté en 2002 : 140 millions d’euros.
Le Grand Lyon lance la station d’épuration du futur Moderne et respectueuse des normes environnementales, la station d’épuration de Pierre-Bénite (Rhône), a été réalisée par Stéreau, la filiale ingénierie et construction du groupe Saur. Construite en 1972, ses travaux de modernisation ont été entamés en 2002 et viennent tout juste d’être achevés. L’ensemble du chantier a coûté 140 millions d’euros, mais l’Agence de l’eau du Rhône-Méditerranée et Corse a apporté son soutien à hauteur de 40 %.

La station d’épuration dispose d’une capacité de traitement de 1 300 000 équivalent habitants par temps de pluie (1 000 000 par temps sec). L’installation peut aujourd’hui traiter annuellement 40 000 mètres cubes de matières vidanges, 20 000 tonnes de matières de curages et sables de prétraitement ainsi que des produits de balayage des chaussées. Son activité est divisée en quatre filières : l’air, l’eau, les boues et les matières extérieures. L’unité dépollue les eaux et épure les différentes matières dans le respects des normes environnementales de traitement des rejets urbains. L’unité compte donc obtenir dans l’avenir la certification ISO 14 001.

Etendue sur 17 hectares dont 6 nouveaux, la station de Pierre-Bénite se prépare déjà à l’évolution du Grand Lyon des 20 prochaines années.

Vue aerienne de la station en avril 2005:


Vue aerienne de la station le 24 janvier 2007:


D'autres photos:

http://www.pierrebenite.gfc-construction.fr/html/photos.htm

Les 18 grossistes présents à Corbas, et qui disposent d'espaces de vente d'une taille comprise entre 500 m2 et 2 500 m2 répartis dans deux bâtiments, ont rapidement trouvé leurs marques. « Il nous a fallu un mois pour nous adapter. Et puis, si les murs, la surface disponible et les conditions de travail ont changé, les hommes restent les mêmes », précise Patrick Perrodon, le directeur de Couleurs primeurs.