Liens et Articles sur Lyon - Année 2009 - 2010

Antho a écrit:

En revanche, elle chute dans le classement pour la maîtrise des langues étrangères

Et comment on mesure ça ?

Citation :

Et comment on mesure ça ? Shocked

A mon avis, c'est trés subjectif... D'où les différences de classements d'une année sur l'autre

Le programme de la fete des lumières 2009 est disponible ici:

http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr

Une vidéo sur Confluence et la barre Balmont à la Duchère:

http://www.ducotedespros.tv/videos/du-cote-des-pros-en-region-lyon

Antho a écrit:

Une vidéo sur Confluence et la barre Balmont à la Duchère:

http://www.ducotedespros.tv/videos/du-cote-des-pros-en-region-lyon

Très intéressant ce lien !

L'immobilier de bureaux sera encore sous perfusion en 2010

le 10.02.2010 04h00

Sans l'appui des collectivités, très consommatrices de mètres carrés de bureaux, le marché de l'immobilier tertiaire neuf à Lyon ne connaîtrait sans doute pas la même résistance à la crise

Malgré l'absence de visibilité en ce début d'année et un bilan 2009 qui fait apparaître un recul de plus de 30 % de la demande placée en bureaux dans l'agglomération lyonnaise « au profit des renégociations de baux », insiste Thibaut d'Anterroches, directeur régional CBRE, le marché de l'immobilier tertiaire dans l'agglomération lyonnaise ne s'est pas effondré. Les renégociations de baux pour les grandes surfaces ont été intenses, délicates, de l'ordre de 10 à 15 %, « voire beaucoup plus », concède un professionnel sous couvert de l'anonymat. « Le marché s'est maintenu malgré tout au dessus des 150 000 m2 », souligne, plus optimiste, Laurent Vallas, directeur de Jones Lang LaSalle à Lyon. Cette année encore, l'immobilier de bureaux lyonnais sera soutenu encore très -peut-être trop- généreusement par le public-parapublic (GDF Suez, la CRCI, ERAI etc.) qui a représenté en 2009, 27 340 m2 de transactions réalisées contre, par exemple, 2 493 m2 pour les industries pharmaceutiques et seulement 1 500 m2 pour le secteur banques et assurances. Selon Thibaut d'Anterroches, « on peut d'ores et déjà tabler en 2010 sur 40 000 m2 du public-parapublic. » De quoi donc doper fortement l'activité. Concentrée à 85 % sur Lyon intra-muros et Villeurbanne, celle-ci ne pourra être pérennisée que si l'offre de bureaux ne se tarit pas. A ce sujet, les professionnels de l'immobilier sont unanimes : « On risque la paralysie d'ici la fin 2010. » Laurent Vallas de Jones Lang LaSalle évoque « un risque de tension concentré sur certains secteurs » (La Part-Dieu, Confluence, Vaise-Fourvière et le Nord-Ouest). Il va même jusqu'à annoncer que 95 % de la production à l'horizon 2013 sera livrée en 2010 soit 173 000 m2 (67 % de la production certaine serait déjà commercialisée). Des prédictions qui pourraient influer sur les valeurs locatives ou ouvrir la voie « à une offre alternative dans des secteurs géographiques moins prisés. » Dans ce cadre précis Gerland-Lyon 7e « offre au moins sept possibilités pour accueillir des ensembles de plus de 5 000 m2. » Un secteur qui, au regard de ses réserves foncières ,pourrait tirer la bourre dans les prochaines années au quartier émergent de Presqu'Ile Confluence (plus de 30 000 m2 de bureaux placés en 2009) mais qui ne volera sûrement pas la vedette -comme l'an dernier- à l'indétrônable Part-Dieu. Pour l'heure le marché de bureaux est considéré comme relativement stable eu égard à son taux de vacance de 6,2 % soit 200 000 m2 en offre immédiate ancien et 116 000 m2 en offre immédiate neuf, des chiffres à relativiser par rapport aux 4,8 millions de m2 de bureaux de l'agglomération lyonnaise (taux de rendement moyen : 6,4 %). Des indicateurs qui laissent à penser que les investisseurs vont revenir aux affaires sur des actifs sécurisés et même ultrasécurisés, c'est-à-dire entièrement loués.

Franck Bensaid

Le moment d'acquérir pour les PME/PMI

Stratégie patrimoniale, complément de retraite, les PME/PMI, les professionnels libéraux de l'agglomération lyonnaise sont passés à l'offensive malgré la crise. Environ 25 % du marché de la transaction en 2009 -en nombres- a été animé par des acquéreurs-utilisateurs (543 m2 en moyenne) qui, profitant de taux d'intérêt extrêmement bas, ont sauté le pas, se dirigeant vers l'acquisition au détriment de la location (en 2008, seulement 12 % des investisseurs étaient des acquéreurs-utilisateurs : 397 m2 en moyenne). Un marché (85 % des transactions concernent des surfaces de moins de 500 m2) plus propice puisque « certaines SCPI nettoient aujourd'hui leurs portefeuilles d'immeubles préférant gérer des copropriétés entières aux normes dictées par le Grenelle de l'environnement », souligne Thibaut d'Anterroches, directeur régional CBRE.

F. B.

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2686264,184/L-immobilier-de-bureaux-sera-encore-sous-perfusion-en-2010.html

Conférence de presse sur les chiffres clés de l'immobilier d'entreprise et du logement (28 janvier 2010):

http://www.entreprendre.grandlyon.com/fileadmin/user_upload/pdf/fr/Immobilier/20100128_immobilier_bilan_perspectives_ppt_conf_presse.pdf

L'hôtellerie de luxe peine à se développer à Lyon

le 02.03.2010 04h00


Si l'hôtellerie lyonnaise n'a pas été trop touchée par la crise, elle manque toutefois d'établissements de 4 voire 5 étoiles susceptibles d'attirer des congrès à Lyon

Des projets qui tardent à sortir du sol, des interlocuteurs chargés de les « vendre » qui restent très silencieux… Cela voudrait-il dire que l'agglomération lyonnaise n'est pas près de voir l'ombre d'un hôtel de luxe avant longtemps ?

« C'est notre talon d'Achille » confie Roland Bernard, président de la commission Tourisme de la CCI de Lyon, qui présentait hier les tendances de l'hôtellerie lyonnaise, « il existe aujourd'hui 12 000 chambres d'hôtel dans la région lyonnaise et plus de 60 % d'entre elles appartiennent à des hôtels économiques ou super économiques. Or, dans la plupart des grandes métropoles, cette proportion ne dépasse pas 40 %. Lyon a donc besoin d'une hôtellerie très haut de gamme ». S'appuyant sur quelques échecs liés à des exigences d'organisateurs de salons internationaux surpris de ne pas compter sur des chaînes anglo-saxonnes entre Rhône et Saône, Roland Bernard estime que Lyon a besoin « d'un grand porteur » capable de construire un établissement de quelque 300 chambres, notamment pour faciliter l'organisation des salons internationaux dans la région. Parmi les projets en stand by figure celui de l'Antiquaille, un 4 étoiles avec 85 chambres. « Le permis de construire a été déposé, mais le dossier n'a pas démarré », déplore l'élu consulaire et par ailleurs conseiller communautaire. Du côté de la Confluence où un Columbus à l'architecture audacieuse devait prendre place comme annoncé déjà en 2007, c'est silence radio du côté de Rhône Saône Développement en charge de ce dossier. Enfin il reste l'Hôtel-Dieu où cinq équipes d'architectes sont en concurrence pour cinq projets incluant chacune une enseigne hôtelière de luxe. Résultat attendu en octobre 2010.

De nombreuses incertitudes pèsent donc sur ce marché preuve s'il en fallait que la crise économique a aussi touché le luxe. « Les actifs hôteliers sont devenus plus difficiles à financer au vu des exigences des banques et de la dégradation des résultats opérationnels intervenue courant 2009 » note la CCI de Lyon dans son étude. Reste que pour le parc existant, le tableau n'est pas trop négatif. Avec une baisse du taux d'occupation de 4 % entre 2009 et 2008, ces établissements 4 étoiles lyonnais s'en sortent mieux que dans la plupart des autres métropoles françaises à l'exception de Montpellier et Strasbourg. Enfin Lyon affiche aussi ses deux 5 étoiles : le Sofitel Lyon Bellecour (164 chambres) et le Pavillon de la Rotonde à Charbonnières-les-Bains (16 chambres).

Vincent Rocken

Un hôtel écolo à Saint-Priest

Parmi les nouveaux projets de l'hôtellerie dans la région, figure un hôtel « écolo » à Saint-Priest. L'architecte lyonnais Hervé Vincent a été choisi pour réaliser ce bâtiment 3 étoiles par le groupe CSP, sur le nouveau parc technologique de l'Est lyonnais. Il a dû respecter une contrainte : rester dans le même budget qu'un hôtel classique en ciblant avant tout les économies d'énergie.

Ainsi une utilisation plus rationnelle va donc permettre des économies importantes qui passent par exemple par la suppression des minibars dans les chambres car ils représentent 52 % de leur consommation. Enfin, on consomme 20 % d'eau chaude de plus à l'hôtel que chez soi. Du coup, Hervé Vincent va utiliser un système astucieux : l'eau froide propre arrive dans un serpentin qui traverse l'eau évacuée. Ce qui lui permet de récupérer sa chaleur.

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2781265,184/L-hotellerie-de-luxe-peine-a-se-developper-a-Lyon.html

Et sur le même sujet:


Les projets hôteliers font du surplace
Créé le 02.03.10 à 06h45

Voilà un an que la construction du futur hôtel 4 étoiles de l'Antiquaille (5e) aurait dû débuter. Mais ce projet, comme trois autres de standing identique ou inférieur sur le Grand Lyon, peine à sor...

Voilà un an que la construction du futur hôtel 4 étoiles de l'Antiquaille (5e) aurait dû débuter. Mais ce projet, comme trois autres de standing identique ou inférieur sur le Grand Lyon, peine à sortir de terre. « L'enseigne Best Western retenue sur ce site n'a pas obtenu les financements », a indiqué hier Roland Bernard, président de la commission tourisme à la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de Lyon. Cette situation s'explique par la morosité du marché hôtelier de luxe, qui a souffert l'an passé sur l'agglomération de la baisse du tourisme d'affaires. Dans ces établissements, le taux d'occupation est passé de 61,3 % en 2008 à 59,2 % l'an passé. Le prix moyen d'hébergement, en hausse de 1,3 % toutes catégories confondues, est descendu à 121 € contre 145 € en 2007. Des tarifs peu attractifs pour les investisseurs. « La construction d'une chambre coûte 250 000 €. Pour s'y retrouver, il faudrait louer la chambre 250 € », précise la CCI de Lyon.
E. F.

Source:
http://www.20minutes.fr/article/387980/Lyon-Les-projets-hoteliers-font-du-surplace.php

Ce sont surtout les projets d'hôtels 4 * qui font du surplace.

Le chat de Gérard Collomb (hier aprés-midi):

http://www.chat.lyon.fr/chat/lyonville/french/s_318903

Pas grand chose de nouveau...

Je l'ai moi même suivi,
Je voudrais juste ajouter qu'il doit annoncer le projet des rives de Saône aujourd'hui
a mon avis ces l'information la plus importante qu'il est annoncer lors de ce t'chat

En même temps, un chat n'est pas fait pour révéler des infos mais juste pour amuser la galerie.

Lyon résiste à la crise
jeudi 4 mars 2010 16:49


Lyon (69) La chambre de commerce et d’industrie de Lyon fait le bilan d’une année de crise économique dans l’hôtellerie de la deuxième ville de France.


Selon l’observateur Deloitte, le Grand Lyon a bien résisté à la crise, avec une baisse modérée du RevPAR de 2,6 % contre 7,8 % pour l’ensemble du parc hôtelier français. À la chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Lyon, on rappelle que le schéma de développement hôtelier, dont Lyon s’était doté dès 2003 et qui avait permis de faire un constat précis sur la situation de l’hôtellerie, notait déjà l’existence d’un manque de chambres et en particulier d’un hôtel étendard haut de gamme pour la ville. La politique enclenchée en 2003 évoquait également la nécessité d’aider la petite hôtellerie indépendante à se rénover en augmentant les aides publiques à son égard. Ces mesures ont certainement permis au parc hôtelier lyonnais de limiter les effets de la crise.

En 2009, le développement de l’hôtellerie s’est poursuivi à Lyon, avec notamment l’ouverture du NH Hoteles de l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry. Le parc hôtelier a augmenté sa capacité de 1,4 % par rapport à janvier 2008. De 2004 à 2009, la deuxième ville de France a vu sa capacité d’accueil augmenter de 8 % (soit 848 nouvelles chambres par an), essentiellement dans les catégories 3 et 4 étoiles, avec l’ouverture de l’hôtel de la Cité
Concorde, le Pavillon de la Rotonde, l’Hôtel Ambassadeur, l’hôtel Grand Est, l’hôtel Ermitage, et le NH Hoteles. Pour la CCI, le parc est encore sous-équipé : “Nous avions prévu l’ouverture de 1 500 chambres. Nous n’en avons réalisé que 1000”, déclare Gérard Veilex, responsable tourisme à la CCI de Lyon.

Entre 2008 et 2009, en effet, l’hôtellerie lyonnaise a subi de la baisse de l’activité économique. Les taux d’occupation moyens ont baissé de 2,3 points par rapport à 2008 et se retrouvent au même niveau qu’en 2004. Mais grâce à des prix moyens qui ont augmenté de 1,3 % toutes catégories confondues (hormis les 4 étoiles), le parc hôtelier a su limiter la baisse du
RevPAR à - 2,6 % (+ 2,5 % pour l’hôtellerie économique, - 1,8 % pour la catégorie 3 étoiles, et - 8,1 % pour les 4 étoiles).

Mais le parc hôtelier lyonnais souffre encore de certaines carences : sa taille est trop restreinte (11 776 chambres contre 70 000 à Paris) et il manque de gros porteurs (63 chambres en moyenne en 2009), ce qui grève sa capacité à accueillir des congrès. Il y a également eu un ralentissement des ouvertures en hôtellerie économique en 2009, la ville peine à concrétiser certains projets et implanter des enseignes prestigieuses. “Certains projets ont été retardés mais sont en cours, déclare Gérard Veilex, comme à la Part-Dieu, où nous attendons l’ouverture de 314 chambres ou ce 3 étoiles de 131 chambres près d’Eurexpo. Les hôtels qui ont pris le plus de retard sont les hôtels haut de gamme, le 4 étoiles de
80 chambres, situé sur l’emplacement de l’ancien hôpital de l’Antiquaille, par exemple.”

Ainsi, Lyon, grâce à son schéma de développement hôtelier, a su définir une réelle stratégie hôtelière qui lui a sans doute permis de mieux résister à la crise. Reste à améliorer l’activité de ses hôtels, remplis à 68 % par une clientèle d’affaires, et faire en sorte que le tourisme urbain vienne compléter ce type de clientèle. L’ambitieux projet d’aménagement des berges de la
Saône pourrait jouer y aider. Enfin, Lyon attend toujours une reconnaissance de l’hôtellerie internationale qui lui permettrait de véritablement se positionner comme deuxième ville de France.

Évelyne de Bast

Source:
http://www.lhotellerie-restauration.fr/journal/hotellerie/2010-03/Lyon-resiste-a-la-crise.htm

A Lyon, le marché est prêt à repartir

Lyon n'a pas échappé à la déprime du marché de l'immobilier d'entreprise, mais a bien résisté.

La demande placée en 2009 (164.000 m2) est en recul de 30 % par rapport à 2008 qui avait été une très bonne année après le record toute catégorie de 2007 (287.000 m2 commercialisés et 1,13 milliard d'euros investis). En réalité, l'année de crise 2009 se situe au niveau de 2004 : « C'est une année moyenne pour le marché lyonnais », estime Didier Terrier, président de la FNAIM Entreprise.

L'un des faits marquants reste la pôle position prise par le nouveau quartier Confluence. Avec 30.000 m2 placés environ, il a dépassé La Part-Dieu et se pose désormais en challenger du quartier d'affaires « historique » de Lyon. Autres caractéristiques, on note une réduction des surfaces supérieures à 5.000 m2 (14 % des transactions contre 22 % en 2008). Côté utilisateurs, les secteurs public-para-public et les services aux entreprises ont soutenu la demande, tandis que les clients traditionnels banques/assurance et industries pharmaceutiques s'effondraient à 4.000 m2 (45.000 m2 en 2008). Enfin, DTZ note que l'offre de bureaux disponibles (363.000 m2) et le taux de vacances (6 à 7 %) ont conduit à « des valeurs locatives en baisse légère, entre 2 et 5 % ». L'investissement en baisse de 44 % (450 millions d'euros, dont 62 % hors de France) a aussi fortement subi l'impact de la crise économique.



Demande en hausse

2010 s'annonce sous des auspices plus favorables, selon les professionnels. Déjà, le deuxième semeste 2009 avait terminé très fort avec une nette hausse de la demande placée et des investissements. « Depuis cinq mois, on a enregistré une quarantaine de demandes supérieures à 1.000 m2 équivalent à 200.000 m2 environ », précise Laurent Vallas, directeur de Jones Lang LaSalle Lyon. Idem pour les investissements : « On a 100 millions d'euros de propositions d'investisseurs », calcul-t-il, optimiste. 95 % de la production à l'horizon 2013 (185.314 m2) sera livrée en 2010 et il prévoit même « une paralysie du marché et des tensions dans les secteurs Confluence, Part-Dieu, Vaise et Nord-Ouest ».

L'année en cours devrait donc voir une reprise d'activité pour répondre à un « équilibre maîtrisé » entre l'offre neuve et la demande d'ici à 2013. En attendant, comme le symbole d'un marché dynamique retrouvé, Lyon va inaugurer le 2 juin la Tour Oxygène (28.000 m2 de bureaux plus 11.000 m2 de commerces) développée par Sogelym Steiner. Et au Mipim, le Grand Lyon présentera ses trois pôles immobiliers phares : La Part-Dieu, avec la livraison confirmée en 2013 de la nouvelle tour Incity (40.000 m2 de bureaux), la plus haute de la ville (200 mètres) ; Confluence à Lyon (170.000 m2 de bureaux) et Le Carré de Soie à Vaulx-en-Velin (environ 500.000 m2 de tertiaire).

Claude Ferrero, à Lyon

Source:
http://www.latribune.fr/entreprises/tpe-pme/la-tribune-du-manager/articles-non-visibles/20100315trib000487436/a-lyon-le-marche-est-pret-a-repartir.html

Le Grand Lyon sur la Croisette pour « vendre » sa métropole

le 16.03.2010 04h00

Le Grand Lyon débarque aujourd'hui au Marché international des professionnels de l'immobilier (Mipim), à Cannes, afin de promouvoir la métropole et ses grands projets urbains

C'est dans un climat économique difficile à apprécier que le Grand Lyon se rend à Cannes pour participer au Mipim, le plus important forum mondial des professionnels de l'immobilier, une manifestation qui devrait accueillir jusqu'à vendredi 18 000 participants et 3 500 investisseurs provenant de 80 pays. On est bien loin de l'euphorie ambiante du milieu des années 2000 où le Mipim était un vaste terrain de jeu pour investisseurs prodigues.

Mais les professionnels de l'immobilier veulent croire en des jours meilleurs. Après une année 2009 à oublier au plus vite, le Mipim 2010 pourrait bien laisser entrevoir quelques éclaircies. David Kimelfeld, vice-président délégué au développement économique du Grand Lyon, sera en tout cas dès aujourd'hui dans les Alpes-Maritimes pour assurer cette opération promotion. Cette dernière balaiera même pour la première fois bien au-delà des frontières du Grand Lyon puisqu'elle mettra en lumière « une stratégie métropolitaine ». Gérard Collomb, président du Grand Lyon, mais aussi Maurice Vincent, président de Saint-Etienne Métropole et Alain Cottalorda, président de la Communauté d'agglomération Porte de l'Isère (Capi), « presque » unis sous une même bannière, seront donc en campagne « de séduction » afin de « vendre » la métropole. L'occasion de revenir sur le projet de la Tour Incity, le silence du Groupe Sogelym, la reflexion d'Areva -qui aurait lancé une consultation auprès de 1200 salariés lyonnais-, les tractations, l'absence de parking sous une tour de 40 000 m2 (Areva dispose de 500 places de parking sur son site actuel) etc.. Mais Incity, ne sera pas le seul sujet abordé. « On devrait beaucoup parler de la Part-Dieu, de ses évolutions, de ses transformations, de ses rénovations », assure David Kimelfeld. Pour Jacques de Chilly, directeur de l'Aderly (Agence pour le développement économique de la région lyonnaise), « le Mipim représente l'opportunité d'imposer la marque OnlyLyon. » Et d'assurer, avec beaucoup d'aplomb que « le Grand Lyon a toujours concrétisé ses grands projets urbains contrairement à d'autres métropoles montrant du virtuel qui ne s'est jamais fait. » Une façon à lui de couper court aux critiques même s'il concède « qu'on peut faire mieux ». C'est la sortie de crise qui servira de révélateur. Didier Terrier, président de la Fnaim entreprises avance avec un certain optimisme que « les investisseurs redeviennent actifs » précisant toutefois que « plus personne ne fait d'investissements à risque. » Brice Robert enchérit en arguant qu'aujourd'hui « les investisseurs ne font la queue que sur des actifs sécurisés ayant aussi des exigences sur les taux de capitalisation. » Le Mipim devrait donc révéler ses vérités et vérifier l'efficience de la « stratégie métropolitaine » définie par le Grand Lyon.

Franck Bensaid

Source:
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2850946,184/Le-Grand-Lyon-sur-la-Croisette-pour-vendre-sa-metropole.html

Lyon, rebondissement des prix immobiliers

Selon le groupe immobilier Seloger.com, les prix de mise en vente à Lyon ont augmenté de 1,2% sur les trois derniers mois pour dépasser 2.700 euros /m2 à fin février.

Cependant, sur un an, les logements anciens lyonnais "encaissent encore une moins value de 1,6 % " , mais cette baisse annuelle est moindre par rapport à celle enregistrée dans d’autres villes de la région : -5,2% à Saint-Etienne ou -5,7% à Grenoble.

Alors que Grenoble perd encore 1 % sur les trois derniers mois (2.570 euros/ m2), à Chambéry et à Annecy, "l’hiver a été plutôt favorable aux vendeurs" selon SeLoger.com qui note une augmentation des prix immobiliers de 0,8 % et respectivement 1,9 % sur trois mois.

http://www.directgestion.com/sinformer/filactu/5957-lyon-rebondissement-des-prix-immobiliers

Lyoncap
"
De Jakarta à Moscou en passant par New York et Buenos Aires, Courrier International (mai 2010) a rassemblé des articles écrits par différents journalistes et visiteurs étrangers en visite à Lyon. Leurs impressions ? Des décors pittoresques et une gastronomie de rêve. Une vision un peu "carte postale" de notre ville.

Ne connaissant de Lyon que son équipe de football, Alia Swastika, touriste, a exprimé dans le journal indonésien, The Jakarta Globe, son étonnement lorsqu'elle a découvert la ville. Elle ne s'attendait pas à trouver un charme pittoresque avec ses bâtiments anciens, ses monuments historiques et ses petites rues commerçantes. Des rues qui ont vite fait de la tranquilliser sur l'atmosphère de Lyon, qu'elle compare à sa ville : « Un dépaysement total par rapport au chaos qui règne à Jakarta », raconte-elle. Un seul regret cependant : le prix. Les petits budgets pourront sans problème visiter la ville, mais moins faire les boutiques. « De jolies bottes de mi-saisons et une superbe veste équivalent ici à environ deux mois de loyer à Jakarta. Mais au moins, j'ai pu les essayer », ironise-t-elle.

La journaliste américaine Sharon Blomfield a elle été subjuguée par les villages de la vallée de l'Azergues, dans le Beaujolais : « Pour les voyageurs qui mesurent la valeur de leur périple à ce qu'ils à ce ont découvert de l'âme d'un lieu, les villages de la vallée et leurs modestes fortifications constituent un trésor exceptionnel », déclare t-elle.

« Faire le pitre » dans les bouchons lyonnais

Dans le journal russe Kommersant week-end, Elena Tchekalova rapporte son expérience gastronomique des bouchons lyonnais : un délice. Mise à part l'énonciation de tous les plats qu'elle a eu le temps de manger durant son séjour (quenelles aux écrevisses, pâté en croûte feuilleté,..) la journaliste s'est aussi enthousiasmée de la simplicité des établissements. « Dans un bouchon, tout le monde peut se tenir sans façon et même faire le pitre, le temps d'une soirée. Et, bien sûr, se goinfrer au point de ne plus pouvoir marcher, en espérant qu'un taxi salvateur finisse par venir vous chercher ». Mais attention à ne pas se tromper entre bouchons lyonnais et restaurants lyonnais, comme le rappelle Ana Maria Shua dans le quotidien argentin Clarin. « Un bouchon authentique est un restaurant typique à l'ancienneté avérée », expose-t-elle.

Une réplique des ruines du World Trade Center dans l'Ouest

La ville de Lyon étant aussi connue pour ses festivals d'art et de musique, un journaliste australien s'est intéressé à la Demeure du Chaos de Saint-Romain-au-Mont-d'Or. « La dernière chose que vous vous attendez à voir dans un coin perdu de la France provinciale, c'est bien une réplique des ruines du World Trade Center », écrit-il. Le journaliste explique que cette « création artistique », a divisé les habitants de la ville ainsi que les autorités sur la définition de l'art.

Une question à laquelle les élèves de l'école de DJ de France n'auront pas à répondre lors de leur examen final. Créée à Lyon, l'unique école de disc-jockeys du pays a beaucoup intrigué John W. Miller, du Wall Street Journal. « Aux Etats-Unis, un certains nombres d'écoles proposent des cours, mais l'enseignement est loin d'être aussi développé et aussi académique qu'à Lyon », remarque-t-il.

Bouchons lyonnais, architecture pittoresque et arts sont les principaux atouts de la ville pour ces journalistes et touristes de quelques jours. Plus que ses pôles de recherches ou sa dynamique économique. Pour connaître toutes leurs impressions, Courrier International est en vente dès ce jeudi."

Lyon, nouvelle capitale du tourisme en France ? Les chiffres de Skyscanner
01/09/10 09:10

Les chiffres du tourisme à Lyon sont tombés, et ils sont bons. De quoi (re)donner envie aux touristes de (re)découvrir la capitale des Gaules et de la gastronomie

Lyon, nouvelle capitale du tourisme en France ? Les chiffres de Skyscanner

Au mois de juillet dernier, l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry a accueilli 811 742 passagers, soit une augmentation de 7,5% du trafic par rapport à juillet 2009. Un record historique pour l'aéroport lyonnais, juillet 2010 étant le meilleur mois depuis l'ouverture de l'aéroport, en 1975. Même conclusion pour les hôteliers : selon le Comité Régional du Tourisme (CRT) de Rhône-Alpes, 77% d'entre eux ont eu une "bonne fréquentation" en juillet.

Le site de vols pas chers Skyscanner a observé la même tendance. Alors que les recherches de vols vers la France ont augmenté de 27% sur les 6 premiers mois de l'année par rapport à 2009, les recherches de vols pour Lyon ont elles, fait un bon de 50%.

Mickaël Paris, Responsable France chez Skyscanner, commente ces résultats : "Étant moi-même originaire de Lyon, je ne suis pas surpris par ces résultats. Lyon est une ville dynamique recelant mille trésors, comme en témoigne son appartenance au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1998. Carrefour entre l'Europe du Nord et l'Europe du Sud, Lyon est facile d'accès, notamment grâce à la forte implantationdes compagnies low-cost."

François Gaillard, Directeur Général de ONLYLYON Tourisme et Congrès, a lui aussi une explication pour ces résultats :?Une importante dynamique de développement du tourisme d'agrément a été déployée il y a trois ans. Objectif : faire de Lyon une destination de short city-break incontournable en Europe. Pari en passe d'être réussi au regard des excellents résultats de cette année 2010 et après une année 2009 très peu impactée par la crise.?

Source:
http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW100901_00005122&numligne=0&date=100901